
 
		:  Les pectorale»,  de  rayons,  sent petites. L’anale a 18  rayons, et 
 la queue fortement foüjrchué 19? 
 Cejorsson, Wi marche  paï Landes gnomes,  forme  urT arSclé_ cfe  pêché  des plus,- importants  
 et  dont la descrrptîon'scrtlde f to t r ü ^ f o i .X Y o ^ 'G t t e h d e s ’Irtdusiriefcde's  eâ-üx, 2' vol.) 
 s a r d in e . — On a va desSa-rdinès se prendre à des ha-më^oWamorcés  aVec  
 desvers.il est probable  que1 eet- animal se' 'nourrit du  frardes-autres  prffeshnS1,  et il  
 est certairrquül déveffe lAiÿi petits crustâeèf tqui- habitenflîë^^ab'lé  et qiHl:,y ehérchë  
 sans rélâehei 
 La véritable pêehe de kèSaMi&'se fort àvèl  des nàppes de'file® ad&ntsSçygs  
 aj-lons la  décrire-telie, ■épre-riousil’ âvoqjsVriêxSeuter  dans  lefr baies -d^^onfeftnèau  
 et de Doüarnen‘é^4eç--jpoints de Frasée 
 lies- pêcheurs- p a r t e n t d ®   manière-à^bmînenéèï* Téni?jilIcBe-1 e  
 plus matitt'pos's-ibte.  Ils montent des barquebènss pontées; âêdéùx mâts incfiros^lr  
 l’arrière.  Les  fifets-'è’ô n â is teA ^  nojopês-nonjoilom^ees faites  en  f l l l a   
 maille a juste  la grandeur'nécessaire1 pour qsfelaL-Saxdine puissiÿ'ÿ- passer la tê te ||t  
 trouver  prise  p*f  les ouïesJ^|si®lèts''’Sont garnis  de^Sranbreux liép l^ â i3a;tête ;  
 Une fois-jêté§ à la mer,- IMy flottent'sans obstacle. 
 ■“ 'Les pécheurs-s^mt-ordinairement aiignnwanfe  de lrois^:riëppatrofi de l l t l i^ ^ R   
 un ouvrier et un  Chaque pièce^efilet a 20 mêtres-de long, sur 6 ^ ^  nôtres 
 de haut.  Une  fois parties,  les -barques 'Vonridans la -h a i^ f e i^ f e i t  à  
 Sardine,  cfest-à-d^éjetant de la rogqe- parcigctaiieusementMe temps  
 - -foreer-lbfitiîs|p|à monter' àVïaVsurfa<  lëjjBoai^Vimd’ ou luS^M^^ffim^Jb’nnë^àfl-  
 baine1. CetteroguëfelSâi-àmàs  de Morue-que l’oii^Mæ&SÉ^benan-fcde l^ îraP 
 vvége.>'^fes‘'igS|fs*tjaunâti f-s'JwMdmÿhfi b,  au '-premier  d  trPBs^iïble 
 mouille___ 
 La Sardine,  très-friande  q ïê -e il^ i^ ê h t^ riffi^ e i& ^ fy il^ ô iirriture^ 
 analoguë. ,'â. celle-1 »qü’eilé  recherché et poilr 
 baie, quitte de^<p8sét Vient à  ï&ons“de  su ij^ ^ îg i^me~ma-iutfli.v|j||é»»l‘ 
 quelquefois inutile  et que les  bancs  ou tMijpt^^^^pripoissoù'^assR.Tiîlwiniim!l p 8&  
 letrenouveléssanscesse,  autour  despêcheurs.  | 
 .Ba«^^^Ufc©u*femtrerfCï^uon mekària. me^oei^preflffloi  lilelr, VctfiL^î(l^Mipau,  
 auquej^il, reste-aerc^feMà l’arrière^se^maintient en ramant lëgèfef^tMâpôia^ t e ü   
 Julyentÿ ipais avahçantile^'ajas'ipossîbleÇjuste  assez pour qhfr-ffem et -Vetemlç^bien  
 dans ïl'eau.  Alôr^rlcbout  à  l a m e l l e   palion  jette  de  la ioeue par  
 -côté du filet ei^feQSêgdiaess&dt le moins noinlperfees.vïS@i|^-rejSîoJ!£trent l ^ R t ,   
 se précipitent yersj’appâl,  el, l;^àfr>iupc*e.n id^figrdi-t1  he'prerii^pfe^Sl^æ-''âSs-rbhii--  
 que WmÈb ouyêïl% oir elle ?èsfrretenue  p a r lès  ornes,g qt- d’rrh  'M 
 d é ^ fe ^ tin ii^ ^ -^ ^ fm iC fc fe -rê h è rf e ^ ^ ftéeoûte.de 80 à 120 f i^ ^ L e  tonùean,  
 cherché  à  l’écon omiser.  Ils  y mêleist- du sable .qui,  auxjpeux  
 paraît un moment auga f e ter la provende,  
 i ^ l s  seïserveht ausri>ée^M6&?rr(p^.1eemat)i  appât formé de poisson, pÿddnéé,  
 tê te ^ e tc .,  broyés  et macérés dans Team  Iri ei|ifIdîmit  égalemenl:  la_gueldre  de  
 Crevettes,  la jfellÉ^âstrêusfe^eolte" qae-^®'pr^i'MaiSSérd'aire'àîâmér.  |p.ti|rhps  
 en temps, Je.,,patron se contente  de jeter une gra.nde^éÈeippéêid’eaæusuE la -mer^^ w   
 fait  du  bruit  et suffit  peur f a i S a r d i n e .  yf&kMdvant  la'pitfco'fêsque  
 expression du -p ê ffii^ # # ^ 6¥fe|on,1 quand ilpafjFe des g irlü à n |  fo llè â 'sÉ âS f^ ^B '  
 livrent,  d a q ^ to ù s'le s ^ n l^ ^ ra n fi^ 'd é ^ ÿ s .petitssggissç^Sj.argent^ 1"4. 
 Essayer de  décrire ^p^e^daÿiejis  d’une bande '4e Sardines  est impossible  :  ce  
 sont-deS1  'd’àf&jftgu- d» argent qul*pmféin.-t  et  r e l e n t   lès- 
 SARDINE.' 697 
 vagues, q'B’e-lfesàS'U'i.Ven'Uliiriiairent;.’Cæsbnt;;des-plongeon« fous,  des sautS insensés à  
 la po.ursuite^fe'bribesjd'e rogne'  p.%;dje- guel dre i^uÿ.tegcnbent dii;.blpjrd ;  le tout pour  
 ■ahputir  au-fi^È; perfide, dont.la  nàppe, flottanteféitimolle offre  toujours  une maille  
 ô.WVjerie  â4#fipi!frudente  qui n ’y regarde’ pa^  .de  près,.  Et  comment y  regarder  de  
 ppès-au milieu de  râigress® d’un festin si lihéraleteaênt servi»? '! -  
 I  Bfâu-à  peu 1%filet  sq.ïfemplit,  les  lièges;baissent dans  l’eau,:  les pêcfeeurs se  
 ■'Mtent d'gW tVcher^Ë bateau"la nappe  devenue  inutile,  et  de la  laisser aller à la  
 -  #ri>te'emportant  son butiri.  Une seconde, lui -succédé,vet la même manoeuvre re-  
 eommence tant-çpela SardÉnévent bien, travaillen.' Si,,, par ,-une eause.-subite,' le barïc  
 digpar&j&saitttQut à eoup^ on cfeerche un peut plus« Mri une meillenEo-iebance.  Plus  
 tard  onrecurileià les  filets  abandonnés,  efi ondes  déharrassera^de leur  cotte  de  
 jnaillé-î«l’argent en les remontant dans  le 'bateau::*. 
 rt"  cette pêcl» Alémentaise e t pour laquelle îéeÿéndant une  certaine ha- 
 ■bittud'6'de manoauvre:est-nécessaire.  La 'distribution dnianogue n’est pas,non plus,  
 o u p ig iii^n q n i doive  se faire au hasard ; éest- derbleltet Ijon argént que l’on jette  
 à Tea^-i^S v « t  ® ^ ,si le pêcheur y  regarde à deux.fois .et s’efforce dé tirer le  
 :5^è%0uls--»W^^^|¥e' ^ sa  marchandise.  On prend  ainsi  jusqu’à 20  et  30,000  
 Sardinés dans 
 Üê ?®5t 'ié^ttf^tetepiontede Concarneau  alloue:-1es jours, 600)-barques» semblables  
 pêche. Essayoâisvüia oaoyten'îd© cescfionnéèspïie (Ménnatbrer cette manne bienfait  
 ,-s^tejque!.laiiu,^àppcsr-te  au pays.  En, admettant une moyenne  de 20 millü^rdê.  
 ^^ifidâÆ-ïpar batèau.ekpar j opiqist^de '600 barques àLlâ pêohetællfes-irapporleront,  
 ty$l"jfâti>nsAe  Sardines à la fin de la journée. Or, eetteSpéeheriure  pendant  
 8 mois,  dirispt^en  quaire  mois forts  et .quatre-mois! faibles  :  les  preig 
 ïipM O   iï#S-®®âipar jour,  les,-,agfeo®ds-à-ifit-seulement ;  noeanettons-queniS jours  
 4#  PÂsfe^  en_^ P ÿenn!e»par mpie^ total ld§n/;oMrs-'fcafe et 100 jàur,s faibles  : 
 Ib  VMÔiQOOjeOOT;..«éènt'tÿiMra  fa*leë;v600v@ÔOyO®O •;  total 
 p :3i)().001Wp^ 
 milliagd et demi- d& 'S-ardmeç-h! /  V-i’pour  un' seul petitT§d&ri. Et  toute fil.'  
 fpl^W e4pêqhei!»toute  lâlcôte  pêche jusqu’en?Espagne ! Etâtoute l’Espagne'pé-  
 toute l’E.ipfepédu Midi pêchêiLliL:<Angleterre ^te-m'&mejpêjh'ë-ïaussfe1..:  
 ii'>rd.^^^MA&j.Hiparaît plus,  le Hareng 1&-remplace.— Aarnirablerépar-  
 f  istion d u, grandrifsp6]|®at®fm'!'-' 
 W rfeW  pêche mervei|p,fqefipe manque pais toujouri.d’incid'enis désastreux. Tan-  
 1  gigantesque  qui,  semblable  à  un^taqiüèreau  apocalyptique!dé 
 :^ iè tFe s:d& l ^ l l  vient .mettre toutes les bandes en fuite; D’autres fois’e^ést le Maigre  
 qé'ii&’en mêle:, àooemie Bud#dfâlVQydfi&'à*oen aBticfevrUn autre, jo u r c’est le Milandre]  
 —®a  cousin-, ^ewuain du requin,'-,— qui,  content de »voir lescïSaediees maillées,  sé  
 lfte|àllftS;idiévore5 san|*sfe préoccuper shles maiDesdufidèt^ei happent dans.se'Sïden^  
 ligués e t  tranehantes.  Hélas !  il  arrive  à la fin qu’en, se^gaudissant  iirienveloppe  
 l%mêjÈ®é-dans le'ûlet-,,le  met  en piëôes  et feaifepai-fAtre bissé -à bord  à  coups de  
 §f.oc,  par les pêcheurs désolés, mais -se vengeant sur le  stupide dévastateur d«u mal  
 <iu .^^u,r a fait 1 On  lé ,pojft|>|p Mompheri©'®|is,  sur  une  ^râ®E6|‘onJe mène A* la  
 presse pour en tirer un_peu d’huile, mais léfiiet est-perdu et. la pêche arioeiée; .-sinon 
 P j^M eU onl' |t s   retire  lé-filet 46  1’»!»,  la 
 Siardinpfaÿspptendre  un petit cri-^n-',de-n|êm^îi^ tHàreng — cri  que  l’oneom-  
 pare à' «-gazouillement ®§faeâ%^^^#itd’ung. souris,  et  qui est  petist^êtm ^m