ligne entrerait dans l’eau, et, par son poids, tendrait à ramener le pater-noster au
bord. - . ’
P A T E S D IV E R S E S . — (Yoy. A morces, Appât s , E schés, e tc .)
I. Pâte à boulettes pour Brême, Dard, Barbillon, etc. Prenez : • v
Levain de pâte que vous durcisse* de farine, suivant le besoin,
Fromage de gruyère râpé et mis à tremper dans du laH* - '
AU'pilé.
Faites tmftpâte un peu résistante. "
H.;0n se sert encore d e là même ôomposition, avec là modification imitante :
Au lieu d’ail, prenez de l’huile composée, contenant du musc, de l’extrait d’ab'slnthe, de
l’extrait de camomille, de la poudre de cumin. Cette huile, mêlée à la pâte, ttempêche de se
délayer à.l’eau aussi vite.
I I I .-r i Pâte pour la Brême en été :
Fromage de gruyère, poùTri et râpé;
Farine de seigle ;
Essence d’ants ; *
Un peu de sel de cuisine.
I Y .__Faites bouillir d u b lé dans du la it; quand il'e s t bien^ât||nÆ T ^ icas -
sez-le sur un feu modéré, ave&»du miel et un pêu de safran délayé^ a u ssï^Æ s du
lait. ■ \ . .
Y. 4 - ,Laissez tremper une nuit un d em i-bbisseau^e^ev^.I^ifes-)^p^mre à
demi dans de l’eau, avec‘-uae~demi-Mvre de miel et deux g ^ n ||'d n mû^ .B^tirez
du feu pour le s pétrir et en faire des b oû lm es” G | ^ pâte
Carpe. J.__ , V- -y, y
YI. — Pétrissez dans'vos mains pendant un quart d’heUTP^W^WuniP un
oeuf demie de p anrcuit de la veille, que .vous aurez d’aboi d n iM r o ^ ïïu ^ ;i‘tte
pâte ne doit jamais être employée quand e î l ë ; e h t a i g r ^ b i |^ ^ ^ ^ ^ ^ ® reni
saveur acide. S . v . ' , . ■ ’ - ' ,
Ordinairement ou colore cette pâte avec'un geai d ^ ^ o u g c ^ o u j j g j g g g g ®
pour lui donner la couleur de Saumon, de carotte fp
guère, blanche, que par.ûne eau trouble" Q p ^ s ’èniploib o çdm .fe ,^ n ,m pV^.ir ^
Gardons, Yandoises, Tanches et Carpes.
Y I I .__Mêlez du miel ou du sucre à fa pât^,^^-de.ssusSjlS|03 e l ^ g s t bfen
faite. Celte pâte est un excellent appât pourJa Ç * p ê d à n s ^ ^ ^ ^ ^ .I^ g g .w ût
et septembre. Elle-attire aussi les Chevesnes,-TancMsf ^ a r i d î^ ^ ^ Æ o s Gardons.
. - „A I
' ^ YÏII. — Prenez de km ied% K p a in sortant du.fbur, qu^oft? !**»? jÉ °
u n e petite quantité de pain rassis, pétrissez bien le-fout. Gmelpâte est r U S P '
q u f celle n°. YI, parce qu’elfê Se désagrège moins vite dans^eacf cm®an&r Om la
colore de. même en rouge ou en jaune. _
IX. — Faites bouillir dans de l ’eau du pain~3ê cM p i ‘où marc de suiffpassez
au tamis, délayez dans cette eau u s m orceau de pâin, et* pétrissez bien; a défaut
de pain de creton, mettez du suif ou du lard. On l’emploie pour Chevesnes ët Barbillons.
On peufr y ajouter encore du fromage aie gruyère. * '
X. — En automne oU peut faire une pâte jaune avec du fromage bien fort, pi
avec du beurre e t du safran, assez peur lu i domiét là couf eür ëitrpn. » *
XI. — En hiver on fait cette pâte .aVée du fromage, et tin p eu d’e s sen ceu e térébenthine,
pour le Chevesne. ■ ' . _ ‘ ... J
XII. — Pour la Tanche toute pâte est bonne si <Pc>n*y-mêle du goudron.
- i".'; .£ t litre . •
l l e l ........................................................ .............................. 1,000 gr.
Huile de.tonxlgliumj. A 1;. 1.. M gouttes.
AJèès c iém e n p o u d r e . . . . . . . . .............................. g gr. '•
'filsèiée SÉamlB. . . '*'■$ gr.
Musc., .... ..................... . . . . . . . . . . . . . . . /vt î vt I - #î - >^*, 4 gratos.
Fenouil.. „.y-, 60 grammes.
Essence d’o p ium.. . . . . . .................................................... ' 2 —
"Essence, de lavande............................................... . 2 —
Laissez le toit wj^isep .qubize *jpurs, jp is ,fàitfiss f p^oyisipn de .fèvesjïe marais, les
pius"bwlfposâibl^iiaites-les cuire dansl’çauayec du thym, ou durpmarin;’,gwjiez-
lfls.»amc tuüe ■énmgl.e tour qu’eiiijyâhsorbent plus facilement, qt jetpz-y quelques
gouttes deJ^fasipn ei-dpssus., (
v JJV. — Les lentjnesi,r^Ées,i5j^0nt.0Q fait une farine eu les pilant, que,l’on,.re-
mètê gmpâfe-aaeç, des blapps a.’nÂ^ ’im do||y|pfdftme ensuite de petites boulettes,
âgg^trfe-liQinies ppuOe Barbillon ^sj^ otÎCyT
XY. —Prenez.de.la^groip^ farine . jilu fromage de gruyère
tii8llp%Pendant vingt-quatre heures dafis msTait*. |®e-h.é menm^ebdupbèneips pilé.
»M |®|ç-issez le tout.soigneiisempn&ij^^^^p q t^ ^nM |;fa.Mdq^)rlp farine pour H1
faffievuaÇsBàtq^ssez, résistante qui tienne- bien ^È^me^m^Tous, les^ppisspns.mor-
(Ioeë^WTc pâle /.qnahduaï^e^ molle, il faut fermer a la preimère.attaque.
AL..Xim £ m 5 ib ‘^e-.Sjact.ajiissi d é b o m m e ^M e ^ l e r j e - à H ip f t^ é u it e s * à ^ a , p la c e ï l é fa -
i droÆ&fa’jffid e ,,j\e q u |S & s s rt p a r f a it em e n t m
XYII. — L e p â ^M i rn d è fo n d p e u t em m M é ^ f e r ^ r r b td ^ ^ ^ u ë 'd e p a in b l a n c
,f^ ^ p | ë t r i t en^ M A e ^ B t J c y É S im p l em e n t miès^à l ’h am e ç o n . Â v e ^ é e t a p p â t
n â te s ^M f a n t s e s o u v e n ir q u e fU e à u ,J e , i j ^ ^ g t i s s a n t , e t e n
](irj|ii-nlfcp j f a u t y 'f a i^ ç a .tt ^ t i o n . L e n a r d , d p il’h ^ e c o n - d j a t .tô ù& ù jre );ïtre a p p a r e n t .
P À T O L l iE . — F i l e fm ^ i n n a p p e t r i p l e , q q e P ® Ç m 6 1 o ie d a n s le 5 e a r r o n d *
m aritiM n i p m i r n N.Y...,
P E A T f e CayBèaa.^eltez.les Poissons,-est nuo'aixpTOWrtAd’ecailles très-ytoiâbles dans leur
forme, leur consistance, leur grandeur. Elle est dans tous les cas lubréfiée par un mucus albumineux
très-épais et très-abondant qui se délaye difficilement dans l’eau, où il n’est pas insoluble absolument
comme on pourrait le croire ; ce mucus se congèle par la chaleur eiwW-coùche>%ifeisse,èt
blanffirâjre ; îb en e s t à peu près iitt jmnrfl •iiirttirirtrhn mouillé: ensuite; il se
délaye en longs filaments blancs et opaques.
P Ê C H E A F O U E T T E R . - r ^ o y ^ E o ttE T T E R [pêche « ] ;) J
P Ê C H E A L A B O U T E IL L E . ^B ^ tte , ..pêche, .qui n’est qu’une ingénieuse
K^M^Iion- ^ l ’emploi "des nasses, ne sert guejmtmla capture dès pep^;gç|à-
sto^yV^rons, Goujons,-qui, toutjeufQampo^aidjimÇjexcelleqte friturey toïit également
recherchés du pêcheur pour l'amorce de ses lignes^ i'
La B outqiüe. s e, fait ded.eux for m^jlbOEér ante s, mais toujouraen verre blanc ;
elle ,peut être fabriqué dans toutes les verreries. La,premilre. forme-ressemble
ab;spljxpaent à une grosse carafe commune d(^^,erond-serait saillant en cône à l’inté-
neur, eom^Lq çqlui de^toiiteilles -à vin ordinaire. L’extrémité de eeroône intérieur
est boisée etle^,bè/& de^cette ouverture restent inégaux^ et remplis d’aspérités qui
empêcheront les poissons, une upisrentrés dans la Bouteille, de ressortir par là, parée
qu us se piqueront le museajp-sESbroes aspérités.
Pour pêcher avec cet engiîÇ çh^ferme liè^goulot-de la carafe par un morceau