
 
		verte.  A  chaque aspiration lè  p.oh§|^  humera (jjjÿair  nfj|9Dt| 
 pas faites pour supporter,  et l’asphyxia  s’er^uiv/p,, pop. de  suit^rnaïf  p f i^ p e u . 
 Il esthieu rare qüe le(!paispon p-ttei/i-t,s.j,npi.çlçLTi^.a^-Îïîs.me >  e Pas 
 une dernière fois pour essayer». a a m q y e n . d e s ^ c o j m e r   
 sa liberté  II le fait,  non plus  p a ^ j^ e ffo rts  jdg? .^ut^eonvul-1 
 Sj fS;  plus dangereux .peut-être,  parce 
 lutte est la dernière : âWautÿ garder t o p t ^ ^ , s a n ^ ç § i ^ ^ ^ ^ i ; ^ p f e , j l e K o n   
 aussi* tout est fini : fa tig u é ,4 p u ^ ^ 4 èm i-a sp h îy 4 ^M 9 p S frP ^ 4 ^ # ie^ O mme  
 une masse  inerte que  l’on rapprochera d ,q u $ ^ 4 du  Épsée 
 adroitement  .par-dessous,  le  -fera* » o n t ^  Heureux  m o i ^ e i ^ j ^ ^ | | ê p e u r  I  
 adroit!...  -  11  ,  .  .  .  ,  . 
 Quand il s’agit de s&geAvir, « ^Æ p p is è tt& ^ ^ p t p r e m ^ ^ ^ S ^ i p ^ c h e l a   
 canne quedîon tientnrdmairemept dans la main B W j l   
 oore-au poisson ,s& reprenait c o u r a g e ^ q u i lui 
 du petit filet ^certains  Tylsgcaifi,, CQmme^Jrui^ Je Barbillo^,,  1 
 battent jusqu’à  la mort. :  . 
 j  " Surtout,  pécheur, nmsaisissez jamais., m H H K H  ■ P §on P   
 au bord,  le ' moindre- effort,de  p a rie u r un  I n S ^ g a B j   j 
 celui-là, vous ferait p e r d r c ^ m . s ^   j  MWÀ 
 avec la  cannA^vous n’avez pas d’Épmsettq^  ï ^ ’ 
 tachez de lui passer un couteau pu un petit.? h oH % d ^ ^ s ^ d a p s ^ e |^ ^ ^ ^ .|ir e z  à  
 tous;  -'-v.  §§É  M H   § 
 Si vous n’avez  à  votre portée ,que 
 doucement  et. avec.prudence. La.brusquerie.ne M^ntfqp^u^Jnec^  11JfiI 
 défavorables, quoique vous.fWsifiz^voi*s ne 
 tare, efestim qui reste votre .ennemi-,  puisque  vous 
 du poisson.  -   1  .  -  , 
 Une foisle poisson dansa’É p u i s e t t ^ t^ p Q l ^ ^M l 1^  • • ‘  
 tienne vous aurait  guère permis de  faire  ! 
 trouver suc Jes mailles un point d’appui suffisant  et 
 bien pris!  '  ,  .  3» 
 '  Ætest alors qu’il fautse:.sècvirLdu dégorgeoir 
 Si, au  contraire,  pêcheur,  vous possédez  un, i p o u l i n g t e ,  — ce  
 que nous  conseillons toujours, même pour pêcher des  goujons, — le poisson.feue  
 fuit sans  obstacle,  emportant le dard perfide qui ne le quittera que par male gance  
 et qui doit le ramener dans votre, panier".  . 
 Ayez soin surtout que le moulinet soitlibrept doux,. que.,le filpÿ&e faci&ment  
 dans les anneaux de  la  canne, car tant que  le pojg|0^ en jo u d ra , il faut q.u’ilpttire  
 à lui',  40 mètres,  50 mètres, si vous  les ayez... Quand.il| B K | serez  
 dans la position du premier pêcheur de tout'àl-’heure, mais,ave,c cetâmmpnse avantage  
 .que  le poisson ne pourra même pas.tendre le  fil que M M M i i P   
 et qu’il épuisera ses forces bien plus rapidement, le fil formant entre lui | t  y°^s' ^   
 intermédiaire, élastique  au  dernier- degré.  La canne,  entre.yos mains,,ji est p u  
 alora  qu’un!moyen  de  porterie moulinet, mais  rassurez-vous,  eU;§ .vous,servira 1 
 tout *à l’heure.  '  ■  ,  ,  „  , 
 m  Le .poisson saute,,  se débat,.va,  vient,  tire  sur;  le fil  auquel  la,force.de i eau |  
 ajouté enéoreeon.poids^.voici les  qui.arrivent.,, la .^p e .l Qtte m 
 tendue,  elle dérive au  courant,  c’est le  moment d’user  vivement du mouline  , 
 repliponner le fil peu  à  peu,  le  poisson Sotte  ou  se  tient entre  deux  eaux,  et se  
 laisse doucement a llirer  à vous.  Ne vous y  fiez  pas,  ses  forées  sont revenues. Il re part  
 àyé’c  une ardeur inouïe'...  mais il  use  ses  derniers  efforts...  il  est à  vous! Manoeuvrez  
 cette  fois-ci,  comme toul  à l’heure.  Déployez  toute la  prudence  et toute  
 ê tes capable pour empêcher que votre captif n’entortille la ligne  
 dans les herbes,  les racines, les pierres,' et ne  de décroelie, ce qu’il fait quelquefois  
 quand  il  est parvenu  au  bout de  la  ligne,  laissant celle-ci  tout  entière  perdue et  
 'ÎOTotmv rafrie poixr|Wp|cheur désappointé... 
 Si’fiet accident  arrive,  il faut  Lirer très-doucement,  peu à   peu,  en  rendant la  
 maitf;  sèàîvent le  poisson, ranimé par  la  souffrance,  fuit encore e t dégage la  ligné  
 ilës*$fjferés qui ll'm é o É te ^ B n ' sâfebfe;  cette position e st toujours périlleuse,  et  
 au moins  fort  délicate.  Éffè^e^véRi^dOnc*  d é  m aintenir la victime en belle eau,  
 même | | | | ’oidissant un peu la ligne. Car,  perdre pour perdre voire poisson,  il vaut  
 'rf^^T^m fira re  7è\d  que de^jjêSïrè la ligné  >*1 
 Argfsfe enfin le même  dénouement  que  quand on  a une  canne  sans moulinet ;  
 rfom’uëmrces?  flotte près  du rivage, il  faut  le noyer e t le re tirer avec  
 que’fSfrt à l’heure. 
 La durée  d’une lulte  semblable est  plus longue  qu’on  ne  le pense,  et. certains  
 poissons .de forte taille  exigent une  dèmi-beure, — ce qui est bien long, — d’efforts  
 llB ^ c ^ p tu é é k '^ Ë ^ e n è ^ T ru lf e fd ii'u n  Saumon vous emmène au galop  en remontant  
 la rivière  où  il faut le  suivre à toutes jambes,  heureux si,  au bout  d’un kilomètre, 
   il vous  laisse respirer,  et si,  avant ce temps-là,  un pont,  un arbre,  une roche  
 ifflf|vous  ont pas  fait briser  votre ligne,  à moins  que vous ne vous soyez mis b ra s-  
 ,  piat  ventifëf Éolîrfeité paftunë racine perfide ou  une pierre roulante,  ce 
 mfifficefln  b ai |ours4a|Mtte, m,aispas à la satisfaction des deux partners! 
 Il est un précepte  qu’il ne faut pas  un seul instant oublier,  c’est qu’unpoisson  
 n’esl. jamais  trop noyé,  et que si  la  ligne et l’hameçon ont résisté  cinq  minutes,  au  
 prmïer assaut, il n’y a pas de raison pour qu'ils  ne résistent pas  une demi-heure’et  
 pas  1 e* dern ier. 
 La m anière de  noyer les gros poissons  que l’on prend avec la ligne à la grande  
 voice est fin peu différente,  parce que le mécanisme d’une ligne  qui a  plus de deux  
 Jpjl  la  longueur  de la  canne, — sans  la soie  du moulinet, —  diffère évidemment  
 de  celui  d’une ligne  trois  ou quatre  fois  plus  courte.  La force de l’hameçon  qui,  
 dans  ce  cas,  retient  le  poisson,  le  norqbre  des pointes si c’est une bricole ou  un  
 gr%pin,  tout rassiîre le pêcheur qui prend moins de précautions. 
 Presque toujours le poisson pique,  gagne le fond et s’y tient un instant immo-  
 iSfe : il faut  le maintenir ainsi,  tournant la  canne de manière à  pouvoir lui eonser-  
 ver''tfifijjle.  son  élasticité.  Laissant  alors  le  poisson  prendre  sa  course  furieuse,  le  
 pêelïeurrSfiit  ses  efforts,  abandonne ou retire  de  la ligne au moulinet,  selon  le besoin, 
   e t conduit son opération  comme nous l avons  dit ci-dessus.  Seulement il faut  
 aixièner fié  poisson à terre. 
 Pour y parvenir,  quànd  toute la  ligne  mobile est  rentrée  sur  le Moulinet,  le  
 pêcheur placé sa canne parallèlement à peu près  au fil  de l ’eau,  et,  si le terrain le  
 permet,  marche à reculons jusqu’à ce q u ’il  a it tiré,  ou fait sauter  le poisson  sur la  
 rivé; «et l’àit  traîné  sur  la gbève  assez  loin du bord.  Il pose  alors  sa canne et court  
 au poisson,  Si là rive  est élevée,  Il faut qu’il se risque,  et,  prenant bien son temps,  
 amène à ses pieds le  poisson,  pose  la canne  à  côté de  lui à  terre,  puis  monte la  
 piècë'én prenant le  fil le plüà bas- possible  chaque  fois et sans secousses ;  ou bien,