
 
		^vld’éé-au  milieu.  Les dents• s&ntp^ité'S^la-î)otfche  aussi,-Le nJS'dhotPe infériéüïfe'''dé{i8§se la-supérieure  
 et toutes' deux portent  une  Seule rangée -àedents. "Le palais*eWS langue portept des délits' en  
 cdrdes  fortes  et  serrées. 
 —  ‘iar ligne  latérale'présente  diverses!SiCuos^sRHtÿfe^tolÆ^gOidà'de*îa  secondé  dorsale; .d’ôù  efe 
 ‘''Si, £ 
 part directement  vers la .caudale  Deebÿ^^^OTéisëîï^aé n Jrffii uni JsoÇt^(dp|Ea®nç?dn(iûg('(,  i  ut  -  
 lagineuse,  renforçant,  en  quelque  sorte, l’action  des muscles  caudaires.  - 
 La  couleur ge'nérale  est  bleu  noirâtre,  diminuant d’intensité jusqu’au Meu  pâle vers  le  ventre  
 qui est mêlé  de l_auney^de|^agçi4 ÿ 7.j 
 Les  nageoires  soBt-e»mposëes',ai'hsr :  Pectorales =   35  à  37  rayons.  Dorsales =   tM pà^ljK$e 3  
 +   12,8  fausses,; Anales  8tjf«>ri.w!5ÿ 
 GERMON 1 -^jEeTpbfesoh  arrive  dans llrohi'e 'tiT^ltiKed*'f'l-neK 'fgffiiMiK'i  i&  
 Sgi^®Qél'queffilé vers .la  fin  de  i m K m p   aux  (fif,. fer]Ip 
 De, -jètè.’J’jPSBSBmK  ug^affinlofs ligRromvcl B 
 ..nqnfi.de -È^0te^^eiile.  Ibrêstè  dans :ceSi^àrij.é’s'!**iuSciS-eM*y&jte,e;>M^at. '■ai - ' m  
 dure six mois plus tard qùérS^^td^BÊrjrr;^ 
 Le GdrafeWdit sa proie'des MMetsfcjgaj dînes, '  aiîlU^Snpfi-oil'- qui 
 maspenf  par' Bal®s.  Quàiï&'lê§. Gerj®oi^ w ^ ^ ^ » 'È'ar M  surfcL-oei|j|jpcf nbfei^Bw  
 pêcheurs^WÿlbEt  facilement  une, bonne  eaptuiebeq. h^ |^vanL^solui^n.li  de-  
 mêmes  me^ël^qfîe pour l^Thon," mais'tenant ^compte  d^l^différencébèe faille  
 SM§l|rdbux poissons.  ‘ 
 . y x ^ , n c  i mon ruffiTo  pi e^mPjtffliioins^en^gmnde^  t- rd ^ ^ ^ r i^ s t aîi^de suivie  
 de Prbil  la ma^éhe dif’SSs'animaux,  par l’agitation  q r r t ^ '^ M f â l n t  ÜàüS la mer;  
 aussi-  estfilbÆaFe  qu&te^»Scbeurs  lfê.. { ^ ç ^ eM. . d e * q u a n d   unë-'Mis  il§  ont  
 'eu-comaissaneesde'leuiLarriVé'er cètte oêêaipS^ ilsmat remarqué que' ÎÂwôhe est  
 moins fSouB^“quahd Me?1 Gb'rifîon  fcLsê "îa • surfaèè mPl’eau  que  ïop'qu irtîc^e ®-uiie  
 êmàme^profondeur.  Le  Gefïïfon,  qui  a’iâ  vue  trèsmerçante,  s'élève brusquement  
 durnnumt^è méGÎpité  sdr  V&px^p^mAX^i  papne^Êhameçon, ÊéÈt,. d4ailleurs,  un  
 poisson tr^s-.f^aee':  on lefirend très-bien ay eç deEangulI-lé salée ; maisr fofsqu'o.n  
 ni en a^pas  .d’un iiponeeaU'diétolFe pour le faire-mordre. 
 Yefs Saint-JeamdèsLuz,  les 
 Gfl,nmto's»-ea-  mai,  et en  1 és.p^eft^nMè^rpiitVeTts.la fl0s,d’fptobne^('Pour cela,  on tend  
 si 1 ju-Biÿ^re~d u> 1 t.4i'atseutiMonguejneE&berterminée en fourrée? dans laquelle passe la  
 ,  îMBSBLdfijjin g t  à vingUcigq 'j|£ra§s^‘,  qui  dplt^ flotter %uwBflaù. .Gettô  perche  est  
 m,nntieÿMiaqitie|qu.fi^.s'ortet. à-bascule^ B manièrfe'iài pouvoir s’abaisser brusquement  
 au^lifgbdje^elever  ta   ligne.  Dès  pêcheurs  sJ&pjerçoivent  que le Germon 
 a mordu,  ils .abaissent l‘a i|^m ^ 0.jA^tatelotgui tient la JigæLe-  —• 
 ]â flLe‘ja,v| rvr^pi dité,gnl||jet qubflgfGermom • qsjfi|m§|.' jp,mt®nible  
 résistance et.quii^est,,toujours'à‘cî'atn^§iq;n’'^^,>^maPe la ligne  
 cOmm^pn-fd.'Enfinéflprsqa’onsuppoê^eiing  le-poids  dt^ y -Me  pig.  m   —  ijgae  à  
 spj^, éppigffife^rces^ du^pi^ ^ ^ ôafe.6mm-^n^'étjhaler;dou-  I  -  H H H .  
 cem||||ypuis plus fort.  Qu^dâ^^ong'Me-pre^McU’piveprès. de la barque, on le har-  
 ponne  avec  un i®(|ap3rlqs oriï?s 
 1 ^j^^rnrnmmmnle ]><uvh(,,Ta3ï ^ v n ^ 8 pirmKomî de.véritables  cannes gigan-  
 tesqnMCm?nportionné^S^||mis|nnee' dui.B  
 n 
 'insuffisante, ,°n  en  met  
 rird)îjjBBMgG^|^efii')H'de plusIcourteb&%-ppuÿèé I  
 ntdHfeÂ’Q au yen  banque’vire 
 de  l>or (ffem®hànsîe  c e t t e ' ' p e t i t e d e 
 rêJjj|BHBjjjjif cinq  mètres' d'eflong.  Les bar-  
 mmg d'e  bêche M ^ ^ p l^cope- quelqu^ms  
 troMÉiBes fefe^tant-sousde venYquê sur  
 l’iirierdm‘* ^ l é s i; 
 'Ges lignes M gÉ [u a tre -v in g ^ ç r^ ^ 8 e  
 lo4m   la^æjssd'iir'-est un  peu  inférieure  à  
 ee® du  petit  dmgbi(/ig.  412).  Il  m * à ^ 
 1 'L®^^bn?m'êrfi;'<'  temps,‘de plus grosses  
 et (j^Sn&fijmjs.  9 
 S ^ E a jq u t1-,  de' TIBBieu font  uiïe|pê-  
 f li i^iulio» il codeur p ftg d^^me'cnii.  sur un  
 1 l'^ÆfiMi’l^oi  &n_bout  de  la’ corne  db la  
 girtmeVwJdo, se  nomme  sabtàllé.  A une ex-  
 trénïité  se  monte  un  fil de  laiton d e ^ ’r^ S J   
 d'^el'èjitbjris,  plus  ou  mtlins'  fdrt,  suivant  
 JB é ta t,4«bia ; mer  et , la  force  présumée .du  . 
 pdiSp^'dans les- parages que d’on parcourt.  1  III  / / 
 Hé^etïl#^ê<|ondes lignes se nomment amu-  
 ?'es'#APr^s  yiennen|  lignes  de  Dalots  e tl  
 Charchigmts qn( sont placées  tout  
 à fait-à-l’extrémité de-barrière du bâtiment. 
 GeSi^ateaux pêchent depuis lès Glénans jusqu  
 a Saint-Sebastien  •  *is.  Gomon. 
 Nous;,avons  ,dit-que  l’amorce  que  mGermon  préfère, à toutes  est l’anguille  
 rai  mp-^alée  :  à défaut  toute étoffe  de  laine  est  bonne.  A  Bayonne,  on- coupe -en  
 .^^Içjpn morceau  de-b^sin blanc', que l’on taille en forme ; d e sardine, dans lequel  
 on caçhe^bhameçon.QÆp’.  413),  n’en  laissant sortir ’que la pointe vers  le ventre du  
 potssQn-amorce..Quelquefois  l’éclat  seul.de  l’hameçon  roulant  dans  l’eau  suffit  
 pour  que  le Germon  se jette  dessus;  il  faut  pour  cela vbnt’frais  et grand sillage. 
 En temps cajine, au contraire,l’amorce- ne fait pas suivre le poisson, et la pêche