688 A L M O N f l f tÉ S .
RAT tRT.TN f t . - r -X o m alhHHMBjf-
SA L IC O Q U E S (Edw-) - ~ Famille,de, décapodes macroures : crustacés, d9n>Jeiporps..pmn-
primé latéralement a l ’abdomen trèsrgrapd. Leur^téguipantS |îWt,simplemeijt,j^ar,ué^,
tenues externes portent, au-dessus de leur pédoncule, une lame mobile, très-jg£^nde^oyal^[ ou tiian-
gulaire. Leurs pattes soiif longues *
lames ÿdràadtales noiâlMéfeesi Wl
Espèces très-nombreuses et de petite"-taillé. Comprend-les Crangoniens, les Alphéens, les, Pa-
lémoniens et les Pénées.
— Ce mot est aussi àMiOjttxme ,<3,6 Çrevçttes. ..
S A L IE N S (Mugil). —...(Voy.
s a lm l e t . |K | y^y. Parr, djm^rMticle Saumon, ç’es11 e,^mômQiw jeqaK)n,
SALMO. —fVoy^AttM^^.gente)^
SA LM O AXiPHSfÜS. wj^N&î., .„
S A LM O J A R IO . —'(Voy, tRDITE^ÇQwkdNÊ.,)
SA LM O H U C H O . — “( Vo’y^ài. raoy hÈüS(c
SA LM O L A C U S T R IS . — Tùbite iïÉS * i f f i ||§ §
SA LM O M A R M O R A T U S . — (Voy. Truite commune, Yar'.i)
SA LM O P U N C T A T U S . — "(Voy.;ïamTE commune, Var.)
SA LM O S A L V E L IN U S . — (Voy. Ombre chevalier.)
SA LM O S A L A R . - ^ ( S otS-SaM os .coiprçBH,), :
SA LM O S Y L V A T IC U S .— (Voy. Truite commune, Var.) -
SA LM O T R T JT T A . — (Vey1JCRWxE saumonée . )
SA LM O U M B L A . — (ViH+iSAUMQ«-DMBLE'V)
S A LM O N ID É S (Salmouidæ, Val.). k ^ °m in a u | ;
2e ordre;de poussons osseux.
Cette famille a pour caractères s ^ ,f - u, ^ ..
hi ■ CorpsoWonig et couvert -dlécaiHes dures,.nides au toucher, âîsptfséêsfavé^.i6gft®rlt& LsS 'jpj,4P1'
sâle garnie de rayons mous,'la 2me, a d ip e u s e , reuiermaut une substance-graisseuse, et sans rayons.
Ces poissons ont une grande partie du bord de la .mâchoire supérieure formée-par les maxil-
laires, une rangée ded en ts pointues aux maxillaires, aux intermaxillaires, auxpalatins et aux man-
dibulaires, etc Deux rangées au voïner, sur la langue et leê pharyngiens, en sorte que ce sont les
plus complètement dentés de tous’les poissons. Dans les vieux mâles, dit-on, le bout de la mâchoire
inférieure se recourbe vers le palais, où se creuse une fossette pour la loger quand la bouche
se ferme, mais ce dicton de pêcheur mérite une^étude plus approfondie sur laquelle uous reviendrons
à propos du S. Bécard. Il est démontré que les Bécards sont mâles et femelles -mais d’un
autre côté, la Truite Saumonée a été, par nous, trouvée Bécarcle. Y aurait-il également deux va-
riétésiparallèles chez cette espèce de Saumon, comme chez le Saumon VomnMMW'
T o u t le" monde connaît larfotihetde ce^heatiiipolssonsi+L'feüirs ventrales répondent aujæigjKéu jjlè
leur première dorsale, et l’adipeuse à l ’anale. Leurs, rayons branchiaux sont-au nombre de » :
en
Leur estomac_étroit et long fait un repli et est suivi de très-nombreux cæcums. Leur vessie
natatoire est située d’un bout de l’abdomen à l’autre, et communiqué dans le haut avec l’oesophage.
Ils ont presqueftoujours le corps tacheté, et leur chair est généralement très-bonne.. i ”
Quelques-uns remontent les rivières, pour frayer dans des trous qu’ils se creusent, et sautent
même par-dessus les chutes et les cataractes, on en trouve. jusque dans les ruisseaux des plus
hautes montagnes ; d’autres sont sédentaires, et ue quittent ni les rivières, ni les lacs où ils
sont liés. .
La cuisson détermine chez la plup'àrt d e'b ï^ ^in éêo n s^ ïïu é coldratiôh de la_chaff eu rodge
assez intense- Deslandes a cru e rr trouver la catrae-en découvïant dans leur estomac un petit corps
rouge àemÙable à u n e grappe de,gpseiiesy„et! cédant ,facilement .sous la pression diü]«, doigt. >Ce{te
substance placée dans de l’eau chaude s’y dissout en la colorant immédiatement en rouge igtense.
" h a donc supposé que, pendant la cuisson, cette grappe se dissolvait, et, par
lïble^cformn uniquait- sa-cSifiéur'à'là" dÉkfr.
Cfependaut des objections sé présentent,- c’est que les extrémités d e là queu'èj'devralent elfe
moinr.rouges, ce qui n’est p a s, d éplus, à moins-que J» proportion de .liquidé rougp ue ffiMUpathe-
matiquemeut exacte,, il devrait s’en trouver en excès ^ans^J^uck/^ùlgsoi^gtMr.qujQnî^t^RgS) fte
.M iM R E' - D’EURO P®:- 689
elld reste Manche. Eiïfto4’le SSfQ’moa -f&mMmim Selon les espèces,
Qn peut#re; èriFfî^meitqûe^ îudê«u#küanrédM3BttC.f
Led Salnten^, ^-qu* % nos4’dal#^*oiYehtse dîvteé*
en'-1 » genres, ainsi qu’il suit :
fifthly 03!
j^Vj, tQfiJbi,e i l - g , _ — ” Eperlau b b d o b s \ ( ü !ii',r » » 'j v * 1 —
r -A S,auqionj’â j Im p . - ... ,.t — :..
— Truitçjfevîte),., , - 3 ||É|
Féraîtiiouiing. .
ùummyïi^SI
. i pinl.ip.
Ouibré-che^Ler, Saumon, compiuiffi
' S.iuufnnTw a"Æ, ' 't
' uiom ,<T'Uiti i ojnrrmue i,,;
H m M J i énjnmaat|uii .jre^grâ qd ‘ ipimh A do a
Lqpgqiweides S|^Puiddsfcous|tue uno (SjSblMtfri mein mt n l t l N a t i o n par-
.pem^^milaue digsjoh |mme dg», ^pA"( <. el; dM.mi ukoridn'/ftr ^Sdapi'i-
«frconataiiees d.u mS'eu dans Jeqpel eqb'M PH
seuis, la difference des n o u m t u r e s p o s s ib le s a conslitue d s differences analogues (iitr-',vh>s 'df-
.vS^elsp'ftqe^et fart qua b u r o^iffsm. a di),Ltr-e..mo‘cfmL A W i m i i ■■ «.lununis at lei,-
" 1 lii'lPs.rep^i --(utefftla- u r r n v u r t& ^ u r ' I, Ui- d^Tls jiemJiruf-e-r-el» a.a rceJfahqueni i-,c/ dcs,
ipstrume^ls lads pool cffuper l a ^ f ^ J e e firjOgopos^ diJ B t f . l i r e a V e l le u rP P h ^ ^ t u i '^ lm t r '
» u L uiivuliui anom drs m K jw i i^ ih ^ le s preiiiK/llu
lnfiincs organcs chez les seconds, sent, des contrastcs qui s’adaplcnl mervi iUeusemcnt a la distinc-
« a p i s - « ' faire,
p i ® la forme dme«^, jusqn’Ala eoafeur fteaffies, qaTYue'loni^^W de
M i y i x la p p in g mints. 1 ^ 1 (ia nV l^ rlh py> 1 (.lic^ in £ p , :
T J a ^ U n p o w s o m B M l f ^ e f l t ^ d & j f u l^ l^ ^ f i^ s o ^ a u ^ s ^ r u i t e ^ i^ e j f r f t ^ d t r e t a o r g a -
»ttoi^salmoaique^Uaptfteaaia chasse # 550^ 0«? det^e^a^a-^oioratior^onkife, lynergiqm-
te>ln%eoiEes;®r.asses^W sfiautes»i F ^ e u ^ ^ f t U 6%;des Ferns sopt.blanches et «r'dJ».par<uiU» -
.lcsv,awi Lnijtisii)idili!},CDMjaAiysi^\iifeVo«zf el (W^.imles m^vus-.Ukui; Ws^ltin^les'rZ’
ds vtulnnl pfclfpr des /I ruitc^hl^iande J im ,iis^i.ui,es%d.i..sKlf y.
« M '- quMMmt illor-l«-, ill ruhei nF-rp'tils plats fq^ShtTuin^jt .ic plus
^llilll|P *■ ’ 'J,
d f§ .| g y& ^ y g ^ p -re®io&M 4 a ® ^ rpegts,r.i ij.rs.;an k»iaufl <Jds7 ?
d'erbbent longterups-leUiS oours s o ^ l ^ ^ j e r - t ^ l o ^ ^ q k ^ / ^ e J e j u ^ & S brisees
(Sssfbchefedoff^en (Krjjijie,, mills retoailis^ ij|f5p$jn d^e^H
dan^lesquelleb'lell'eub’abriit^^^ti^te®yo,qsdu.mjmeu;X^j3
E TOfe el r Afer^db^liDofee^des eufafts des teuftb^es^ t(fVecy3
Pp aSO N S CHANGEA#E DE OOOLBURi) '
SALMULUS. —t'-îVoy. Saumoneau;)
' Le S. S a lm u lu s de Turton est le P a r r (fig . 924), ,F ‘? - 9?4- ^ S" Salmulus de Turton ou Parr
ofr'ièViifth.ïùrfir.iiipriaant encore la livrée è bande«, et n’étant pas devenu .'•Wî, quandï]-(Iw.ud
I l f la ^remS ? J a l : - à la,mer, 'd’oùahreviendra deux« mois !aprèsî(iAi,>;jnin}/«‘Betat de feiiæi «RK cWImRbîV
SALONGlSTE. - %~%y. «RotÙwjle.) S •
. SALPA (S p a r u s ("Voy^ Sa u p k )
S AL VELIN (Voy^A%jtoN VÂLVÈLftr )
SALVELINUS (Salmo), W i( V fty.«1 QUffei:ïbÉBVittdES^*|^
SAME. —..Nom du Mulet ufyheth daa4plîK*lüas;■ iPM«(k3es -mériiîpBq^Mu Braâoej (Ve«.
Mulet céphale.)
SANDAT. T 0 % Sandre .uMmnnÈ.l
SANDRA (Lucioperca). — (Ypy- San-urÉ'^Krqp*.) , >
SANDRE D’EUROPE Xucmu^M s a n d r a :
J IkwïSw 1!11, B ° - E
Syü. : G j V ï f tW m , — • '$&<$$; B h rfisàK ,
S u n& er^m m b d rii ail. '»