
 
		*50 GARNIER. 
 Le  :dosltl^|i“àessus de la   ligne latérale,  est  brun clair  demi-transparent ;  le s . côtés  * tÆiàa«É|B».  
 Liane sale, à. petites  écailles. Un arriére de la  lignée  latérale^ctLesl^àf-dire vis-à^yis .^u-eemgieflçeaient  
 de  la  deuxième  dorsale,  se  prouve,,de  chaque  côté,  urîe  bande  chevronnée  d’écailles  vert-jàùne  
 peu  foncé. 
 On  donne  aussi  le  nom  de Capelan  à  une petite ïfforue  de  la Méditérranée,s*qiî-éèmhl8' être  
 l‘te même espèce, et  en parcourt les .eaux en troupes  extrêmement nombreuses. L’-hiveivelte  se retire  
 dans les profondeurs,  et t’été,  elle  s’approche' des  rivages. 
 c a p e l a n .  Capelan fréjpiente  les  côtes-^et se prend, très-biem.à l’hameçon. 
  Quoi que-fort bon pour la table, on le garde, à cause de son peu-4b .grosseur,  
 pour amorcer les lignes à gros poissons. 
 ki  li se nourrit principalement de crustacés : on prétend qu’il demeure e$y$ôu,peç>  
 toute l’aim^e-dans  eBrtains^^dreitsj  habitude-qu’il aurais commune avec toutes les  
 espèces  de Morues ; t^ussi les- pêcheurs  de  Norwége,  qui  enspçennenÿ'd-jénqr^çs  
 'quantités,  n’èn iCômmencent41s  la  pêche  que  quand Ife -ont j»egCsopm»]ies parages  
 fréquentés p a rle s bancs, 
 lié  Gapelan  aimant 1p. voisinage  des} rophers, -on Jp, prend facilement à fond  
 dans  les  endroits oï f ie  sol.  est  très-bon  et'Pamorce a d éC ô u v e rÇ ^ ^ ^ ^S  âTeç  
 un morceau  de  pilono.'(Yoy." ce. mot-^Le' Capelan.mord Âp^élnenttet' ij e  sejjéfeud  
 point  : il meurt  presque  en sortant  de4’ea-u;_0)Mlg.prend aq^si dans Les panienSià  
 Crabes. Sur  beaucoup  de  côtes, on le prend  aux  filets  à MerlhfiÇ.ét^i le_ vend  
 avec  ce  poisson» le 
 C A H A M A S SO U .  Diable  de, mm? ou -Cotte-SJiMpon  à  l’embouchure  
 de la Segép. (Yoy.  Cotte  S corpion.}  4 
 C A R A N G U E .  — (Yoy.  S a crel.) 
 C A R A N X   T R A C H U R U S .  -   (Vqy. ÿ8Ê$jÊÈ  | 
 c a r d a ir e .  —  Nom  de  la Maie  Foulon  ou  Chardon.  (Voj.  lU ù  s 
 C A R N E T  DE R E C O N N A IS S A N C E . — On appelle ainsi Ufe tuhl'-mi  ,1'flv'df:  <l|L  
 c om s i’eau.ifâit l’onyeut pêcher, permettent, par l’aspect de l’eau iNwy,  c^irnd^ylfe  
 connaissance  des- qualités  du 'fond,  dë' préjuger  quel  «en ri'Mlé  i 
 espèces  on  peut y chercher.  La confection de  èe  carnet (est le  im»\ uJ 'teJj'Æalon#  
 de  la .pêche  à  la ligne popr, tout  amateur sérieux,  restent  quelque i temps, <da,ns un  
 pays nouveau  pour  lui» 
 C A R N IE R   D É P Ê C H É .  —On à beaucoup cherchôjeom-méTjt_(Vurstiwre ,*jyhjr  
 le pêcheur, uq-réceptacle commode  de tous les ustensiles  dont il a besoïn.‘X#plqs  
 usité  est un simple panier dé ménage! :  pour ;le -p|}eheur,>J?ampagÜârd,  qu^ejcojn-  
 naît que, la pêche sédentaire, »ce panier lui sert de-siégé- au  
 besoin,  et il  le'trouve  fèr|:cômmode.  Le .pêcheur plu^éïé-  
 gant a suggéré aux vanniers  de  lui eff coTd'struire un quPptft  
 ;ser porter  sur  le, dos,  au^mpy^n  d’pQ&• CQfii^ài^m,aÀs.BÉ  
 n’est  résulté  de celax qu’qn>engin'en6ombrc®:çt'péqiiQBi“  
 m o d e (/îÿ /l3 2 ).--, 
 , On >en, est^arriyé'alofS  au'~oAiTfibrtlçlë'l'|^éjaê,  ttjîodmt  
 cation  heureuse  du  carnier  de  chasse--au ..de t e l éarns,s-  
 Fiÿ.  132.  Pâmer de p che.  gj^rg  deMout  le mQud£» ,Noi^,.d ev crn §   avouer  que 
 nous sommes pour beaucoup  dans  la  modification que,,  sous* notre  direction,  un  
 des  plôs  habiles  constructeurs  de  Paris  a; fait  subir  à   la  .ëaiàassièrë  traditlOîi-  
 nelle (fig.  133}.. S 
 Le -chasseur se  glorifie  des  marques  sanglantes  que, le passage  du  g ib ie r,!^   
 prime ' sur  sa- carnassière,  son sac porte écrit en  caraotèresvindéléLwIcSife'.c.ertifioat 
 i ,   G A R É P ^ H E ,   P * 
 ■idê seS'  exploits  passés;  L ep ê c h e u r , r  lui;  ne  peut  rechercher  la   même  satisfaction. 
   La  proie  qu’il  reeMSfe&e - est  enduré  d’une  matière  gluante  e t   fort  
 .133-  -r- Carnassière  de'pêche. 
 odorante :  accumulation,  sur  les  parois  de.-', son 
 sad, "feu  feraif  rai  objet'dé  goût.  ë‘t  d-upé'  appyo-'J  
 che  fort'peu agréable.  Il  a  donc  fallu  modifier  r  àu^,sj 1  
 le  sac  d ép êch é  est fait en .étoffe  soppéïdLte  toilg de eam-  I  
 pemeni : >cèefetî uÉîê'4tëSl‘ê  de  fil  fort,  extrêmement -sersé^j  
 ’-‘mouillée,  dévient  très-Mdè? E u  carnier peut^d^nn  
 iP.lavge  mQ^ffiL'OJpporiun.  Mai&<âëM!n ’est ( j |â || 
 t lu t  r fu ^ p ^K v â iit  sejnr '1 
 blablexàfrÇeliîi  des^eamaSsières,  mais  se   déméntabfrféfïj  
 volonté  au-meÿen  d-ïijfi?labef'passant  dhu Vef|nYf--,&éyié’I  
 d’ànn'eaUx métaüïqiîes- fixés“d:krié' le h btd iiïù''M'ét- et dans  
 vlehsôÉ  du sacJAff.  133) .D e   cette manière.  le^ ie ^ t e y ^ ' | 
 ;Iç ffl|^,|e,davftj-‘t^oe^^pr.QLYêji#Lrien n,e  sent mauvais. 
 _ •  ‘file t1 retombe  un  Recouvrement  eni^-cWed 
 toile'' sis nihJ^SreS^aèv . Ce  recouvrement  1 3 ^ 
 ’ 'eStî'^Sëéâl<â&ë”'pênd®Qlb^§t marebêé^tf soléîfp%if,ga-'B| 
 '  rantLtle- poisson des'rayons directe;  Les  courroies mêpHpfbnt'^Tïr} to u t peut être  
 lavé,'  h ao u iflé^t^ ^ fe è um b ''^3 ^^ ^p ft!iîfii^j^'efi‘'^éîiant.' 
 A^&it&rierÉîcfiLgrand ,^ife (voy.  dans ’la   l 3 l )  pelivént 0tre  in ^ a lle s  I 
 "une  cSdiam<'é^^^Wté  de^pocSçéTdé  différentes  grandeurs bu  le jp '  
 îAô'%Jur®iete^«'sies u stensiles, ^es proyisitt^, ^ ?   lignes  dfe r e - H   
 change,  plombs}  etc. 
 '^^wé^.'bôn  dednethe,  dans^KfOiid. du filet RP (fig, 134),'u él^ |  
 d’h^^^ia^ùlfeè,s'pour4fe pôïs^ÿBt à mesure qu’onrïe prend, et au-  
 dessus, fUMÎÔFe"dei herbes mouillées  :  en rabattent lorecouvrement  
 iinjrappqth le' toyt-en bon-état, 'malgré une Gha-l^gAfeanicùlaire, 
 Lé’recouWeïrie#êSî'M^^çêro  înd^êgèrisafi'le‘-p^u'-'îâ' 
 • loe'moMenef1 ’}parheiblp#i'lt!<einpêche  que  par'  rhaM^cén-'ne 1 
 s’engii^^anM'tes mailles  du filet.  Si  le pêcheur préfère conserver  
 't§fs:HR>isgcjns  dan'si.Reau,  jl ie.peut«sans  plus  de  difficulté}  eAt^-j  
 s e r van,Çd^®| R our riche (fig.  80). 
 - -  -ït®®  sommes - d’avis»q®fe} teut pplsSlôùi  sorti 
 dè l’eau, ni-yliioit  plus'ÿfeïïtrer avàfdd’ailnr à la cuisine. 
 134. —  Goupe  
 de  la  ^lÉmssière  
 de  pêcEe,  suivant  
 AEouGD. 
 Lorsque,--cependant,  on  désire  en  èfesçrveb,  il  faut s e  paunir  d'un  petit filet  
 cèrple'-^voy.  RoaRRicua)  dans-'îejjp^'pp place  lespoisson;  pendant  qu’t®,  | ^ p -   
 on met  le   filet  àd ’eau. Quand  hh  martdie,  on. le  pend  à  soi  par  un  porte-mous-  
 q u è lOE y îù t  à l’une mæ houmês' de la Bandmffièré, eLl’oii  dmqpro le  tout sâi&S’em*  
 apercevoir,' Cette,préC&.utioh''pe«t être admise1 dans la pêché sédentaire’!  mais,  dans  
 to a teg fe i pêches à la mouche, e lle   est  inexécutable* (Yoy. Panier et<SA£-Dfi KâcnÉ^fc 
 C A R O U S C H E   o u   C A R O U C H E   N O IR E .  —   N om   v u lg a ir e   dm   C a r ra s s in ,  
 esp èceS i Carpe,  (Yoy. Garr-assin.'}' 
 C A R O U S C H E   B L A N C H E ,  Soin  du  Ôyprin s tr ié  dans le département de  
 la  Moselle.  Ce Cyprin porte,aussi  le  nom  dpgCtojw de Kollar (jQyprmus  
 (Yoy; mes- mots*)  ‘ 
 C A R P E  [Genre]  (Cyprinus,  Lin  ). — Malacopt  abé.  Cÿprfh.- 
 Groupe  facile  à  distinguer  dans  la  fafiiillej  /éicze^  tout  particulier,  trapu,  vigoureux;.écailles