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 car  ce  nom  doit  appartenir  aqx  M t ^ s  gQ^ee^çàAtj,, ^ -M a la rm a t& jiteB & Ç m àM ts la i& itQ p tte s  « I   
 quelques  espèces  accessoifes .peu-  îippQrtpte^ jftW-^^fcjiajSg, 
 Les Trigles ont  leoe'côtsjs  de  là fête  verticaux et  le museau t(^ bmbj£apidiemept<eij  ffi&SÎ ' ,|||  
 qui fait paraîfcre«la tête cgb f^ ^L ^ ei^ l^ \q -èom fa itétoSfil^em|^de  üiét.i  eciirKs^j^qünJ  
 faitparaftre comme évasée.-  ■  -   •  '  ■ 
 Les Scorpépeàfo&t également .partie ÿl^Æe  gèJMe.;i’leurs  moeurs,  
 plus grande partie des  espèces, -doivmt'êWdes plus .cp^mj^a^K^ron- ert prejuge -par 6 e~4 Bqp®P  
 sait En effet,  il est  ujmos&üile  de’&e mas egllliffi  ara tvp.e.de  la petit^^go^e n ^ j r (elle|d|lftt iltyis  
 partons^ le  Trigle, la -qualiflcatlén^^arcAeur.  Il Tgfup  r A ÿ a n i ^ m ^ i x ^ ÿ o d Ç ;   D ' 
 L ’obselvê^on  des- mdiviàus tscwmatés -dans Jés^^Smtfe^foVro^  .années au 
 Lord de.lamer, a rais W^^dorftiÿfi^fait.-JiiBttendù ehexuripQissok^ûe'celûi-fitse-s'eft'po&^vâit'eT.  
 riss.fi »appendices’1 musculeux  qu'il, posg è d y o u s } la  pq&f pig ret-gute^i^t^t^At  de pat^fr  
 Destiné  à-se glisser sous  les ‘iior^fW:et pai r L ^ e - ^  oÿes qu’il^SQUlèvej.te  ^ rnLi > ^ ^ 
 d’unegpuissante^oîii^ét donMuute-, Toi  p ie £ e | ^ 4 x ^ ^ f fiMt  nlf’ \t£l * k a r v ¥ ’r? j - 
 de cette façon,  rien néU’arrêtera  ppp^feâ giissèrl ^Cé  if est pas 't èUtSfwni  fK r -  •  rr-  
 tièrê  à '&r.&s»lligîdesjetTçrénèlës> .toujouçg  §p  oe ï f i l r e j   GfpsH&h'SÎ cè1itélgb^ttière®i’bÏ0 ii®^u.e ses  
 cleuSxdorsadf^peuvent'  s ^ ^ SOE g r é n   bascidantstaut-à  fait par.ujo^^ëpgg^m^s^ji^Jsii^Ksippi^’'  
 Safiffe en avant de la  premiè&sliernîère  précautio^-:  le premier, ni ycM-de 1 ï   a-e ,e-t 
 crénelé en’arrière, iu i aosMpouf^ffot§gêr1'IèS autrei: Bi< n plus',’ir^cmutieiii’  i h \ nj,  
 bla premier, est  aussi créftelêLmais-dans  la partie- seulement qui  qép a\^ 1s^ ô iffiV |   1<111..!k   ™ ‘ 
 »<■'■&■  protège  la membrane qui l’unit au^ u t re l^Us  petits quh'soat dei^ièïèi'i^^-Ksmju^'rafrèTO  
 latérales  somtpSe même, àe Véritables  chevaux  de-n-Ge  destins  ir'oardiitii de»e(rfp3  <lfiïtf^tj,’',m^lt  ,  
 dès -corps solides et à  saüfaoes rugueuse^, au  milieu doe^^tsj rampe  l&p^sston.  Enfin, ^ ^ ^m % e n   
 .  coin de cet animal est calculée pour que; où passeja tête tout le  corps passe sans difficulté. Les yeux  
 eux-mêmes  sont garantis par des èxpadSRms foliacées-du casqSÉ1feëtixr'et le  inlLoMî-pKffin bas et  
 en avanK’ttp d è m a n f ^ ^ p e  giissgr son^ppierres et.ies à lg i^ p 'i^ l^ So u le lew Ioe lÆ w é T V e r  •  
 TRIGLE A  CORPS CERCLÉ (Trigla  lineata,-  Liât}'.; —  AGaotKo.gtL-jSilfe^3wÉsëes.  
 Long. maxsl=ç 0™,3 5 !. 
 '  Sÿii.  r S t r e a k e d  g w r n a r d , anglry=- R o u g e t'c am a r d ,  bret. 
 p e tous les Trigles, celui-ci  a la tête la  plus  verticale et le profil le plus  droil ;  son  corps jbJ.  
 comme cerclé par les files d’écailjes descendant delà cjête dorsale. ï,es j§p î5sofit tfetjt-,  jHnsajOTii: >  
 à pupille bleirioncé ; deux ou trois éjnSies  sur Porbije. 
 Tout  le  corps  est  d’un beau  rouge,  sauf le  ventre qui  est blanc. Les  longues pectorales sont  
 tachetées de bleu  et marquées  de quatre rangées de  taches  bleu foncé  qui  ressemblent à  une seule.-  
 ligne quand la nageoire est fermée.  - 
 D  = 4 o  +   16.  = ^ - ^ § T A   = . 
 Plus  rare  que les  autres espèces;  se nourrit,  comme  elles,  de  coquillages et de crustacés;  se  
 prend au Chalut.  .  - 
 TRIGLE CATAPHRACTE.  MalAHMAT.} ~ ■ 
 TRIPLE  GOURNAP  (Triala  <nirnardns*Xm-b -*   Aaanthopt.  à#^'C^HÎ'âs®êe^?*,— 
 Longueur max. =  0",50.  v  ■r  *-  '  - 
 Syn.  : G r e y   G u rn a r c l, angl. =  G ra v e r   s e c h a lm ,  ali.  —  C u c h illo , esc eacho, espag. — K n o r lia a n ,  
 p0 ll. —  G r e n d in g   g r is e , breton. —  K n o iid , irland. —  K n o t,  suéd. - 
 Couleur brunâtre  mêlée de gris. Les points gris qui se trouvent semés  çà et là sur sa peau, de-  
 puis la ligne  du dos  jusqu’aux lignes  latérales, sont souvent d’une  couleur'olive  verte et d’un  éclat  
 étonnant quand ces poissons sortent de la mer. Noël de la Morinière dit en avoir vu pêcher un,le 20 no-  
 vembre  1818, dont les  taches représentaient des sortes  de perles d’une  ço ^ a ty te  topaze-trèff-Viv<J. 
 Il  est très-abondant à  Douârnenez, vers la fin  de lajpêohe  i^ t o  Sardl'qç, et  l’on  qu-11 
 lui porte préjudice, parce  que, nageant dans  les couches intermediaires de  l ’eau, il effraye les  Sardines  
 et les éloigne du filet.  t j j f à   -  ,  ,  ' 
 Le  Gournau se distingue facilement des  autres -Trigles par sésf peçto,raies  8  ■ 
 corps plus allongé et plus  grêle,‘sans parler de  sa  couleur particulière.  Sa Icte est moins élevée que  
 celle du Grondin, et son profil a le_front concave ; de  plus, il porte  deux  ou trois 'petites pointes en  
 avant de la mâchoire  supérieure,  v,  ;  ,  .'  ■  y r - '•  " '   • j '   <■■■■■.  ^   - 
 ,  Les yeux  sont grands, à Iris bMne argenté,  à pupille noire, et  (gaqtt*  ^taft-pemeépine  
 sur le bord. La ligne latérale est remarqùaWe par  sa  forme en séle et  se's  éçailles-hlSfiffléte La  
 première dorsale est brune,  quelquefois piquetée  de  noir, la seconde plus pâle.  Les pectorales sont  
 gris  obscur, les ventrales et  anale presque blanches ou  incolores» || • 
 LIE  CH  D E L AG R A V C   a  l'.E  ?  • ' '  -NOÎJV D1QÏ,GÈN|^|ES^ECHÉS .■ 
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