
 
		d’éeailles ‘arrondies, d’une  din>ension  plug-grande -que  les  autres-,  et  suHesquéll:eMh- v6i1? dès points  
 noirs.  Il  porte  à lu  nageoire  caudale  une tache  caractéristique toujours,,uoîra ;r eLopi® dtSjtague du  
 Bogue par une hande d® dentSüSWS velours  pie^ues^sttuées de^rlèredas jn çJ^ i^ e ^p ^ i^ e tip h a iic ré e s  
 qui  bordent  .ses mâchoire^..., 
 *  D  = l f  +   S  P =  15".  V | 3 * 5-  A  =  3 +   n .  , 
 L’Oblade  estde  couleqr  gris  plombé,  argentée  sur  le  dos,  cettè  teipte.jpa|sa£it  gradgÿlement  
 au  blanc  d’argerit  pur  sous le  ventre.  Sur  les  flancs  on  voit  20 à 24  lignes  longitudinales  noires et  
 pat allèles, dont  10 au-dessus  de la ligne latéiale  sont  fines’’ébnMe^uri Sait de  plume. La « n e  laté-  
 ràle semble un  large  ruban foncé  étendu  sur  les  flancs:  Le boTd-de Poperoiile esbnoir.  Sans là caudale  
 et la dorsale  qui sont.un  peu  grises, -toutes .lesj-nflgeoires sont  blanches.'.'. 
 o b l a d e  o r d i n a i r e .  —   Appartient, par ses m oe u r s ^ t j® . forme, 
 au  grand-groupe  des  Dorades.  Tout  ce,rj\ic  nous  avons  dit deÇ'hcibiÜticies ®*cgs  
 poissons  peut lui être appliqué.-Cependant,  plus queues congénères, pïeig;a(|'toujours'il. 
 se  cache dans la vase dont sVchair prend le  ^ogt.  Il mord pju^difficUement  
 aux hameçons que les autres poissons - def,&.efte  famille $>on4’-y, pr&^oepandâal en  
 employant les mêmes esches que ..pour la »Dorade-  I-hest en^q-uelque s ^ e (  dans ce  
 groupe,  le représentant de  la Tanche  dans  le. gr&upçîdesvGSyprins*,ïe1i3^ain.e  elfe,  
 capricieux  pour  mordre aux  esçhes' qu’on lui présente. 
 L ’O b la d e   s é jo u rn e   le   lo n g   d e s  c ô tç s ’  p e n d a n t  to u te   l ’a n n oe ;^ |t.S '’y  t i® t  p a r   de  
 m o y e n n e s   p ro fo n d e u r s .  O n  v o i t   s o u v e n t  l a   p f e ^ m ® e ,K g e r 
 a v e c   v ite s s e   à   la   s u rf a c e   d e s   é a u x . 
 O B L A T A  M E LA N U RA .~ = ^ (V o y .  OstADEffeuivAiRÉ.) 
 O C T O B R E . —   (Voy.  Calendrier  iAtoécïieür a-la 
 O C T O P U S  V U L G A R IS .  — (Voj.  Poulpe commi|>îÔW' 
 O D O R A T .  — Les  narines^des 
 veut point à la  respiration.-(Voy7  Graphies.)  Comment  ces  animaux' perçoivëat-ïls  les  odeurs ? 
 L’appareil  de  l’olfaction  réside  dans  deux  cavités  creusées  à  la  partie antérieure  de  la  teti,  
 en avant  des  yeux,  au-dessus  de la mâchoire su né  ltf^   ëm~ 
 bTane  pituitaire  très-plissée : l’orifice externe est souyetft doublejétpcTu  vu  d’appendices «a; 4’es;pi ■ es  
 d’opercules  encore  peu étudiés.  MM 
 Cet appareil olfactif diffère surtout de'  l’organe analogue  des  animaux terrestres,  en  ce qu u ne  
 communique pas  avec l’arrière-bouehe  et  u’ést-pas  /roueraè par  le  fluide  dissolvant les  paiti. nies  
 odorantes. Quoi  qu’il  en  soit,  il est hors  débouté  que les  poissons perçoivent les  odeurs,  et di B 
 I  .  loin-, maisifoimni- (-lie- nopniuni, H   ihlm  tive, 
 m -t ; — Disposition des nerfs -olfaetifs  chez  les  
 passons. 
 leur  pai^éiîir  qu’en  dissolution1  dans  Tepi  cto  
 daii^l’air  qm'v t-lle-u  qmfUciîf,1  "ii |L'f 
 les. appeler  me  >*  <t  df JiïiÎË*  '£  ï°%  
 gam  de Uodoi  t  ui.üiiiü uiç«  tfitaSaPimareil A* 
 jg'Heppndantiil n en  faut pasïni.nmMfeidérer  
 ^ ^ i i s ;  J§flsOâSej,remier»parS^dr-e d’||p îr ta n ||  
 "chç®  céTs  animaux,  Ja  fixture  l’pdxrfue  * r  f t ,   
 précaBtionsii^tîeile  a.fré-es  |J|  P®6*' 
 cemon  dW plus  fu^îvës^Sïs'àj^ffi^®'«  nerfs  
 qui aboutissent à-ces 'àppâ're|ls‘_p^|tén^^»édia-  
 tement  du  cerveau 
 se  distr>buèntjaJnn,f?^s-Sr^ ^ W 3?’e ■&%.  
 miûcationf  dans  cfrâ&ki  de  ^ s ‘ oj$|nes’  géminé?. 
   En multipliant ainsi; leé  surfèces1- de Réufistancè^ 
 sènsitive’,  ils  la  rendent  susceptible de  ressentir  des  ébranlements  extrêmement îmniin6s|  
 Ajoutons  que  ces  ramifications  s’étendent  sur  des  membranes  très-nombreuses ;#aicees  sui  
 deux rangs dans  les poissons cartilagineux,  disposées en rayons  dans  les  poissons  o^eux-^et ||j P ls'  
 sant,  chez tùbs,'l’MéVl^ur des  deux  cavités olfactives.  »  m 
 L’eau  pénètre  dans  ces  cavités chargée de particules  odorantes,-  elle  y  circule, et en m-  ■  
 pulsée  à  volonté par  peut opérerdans  chacune  dés. membranes-a 1 
 tivefi, admirable mécanisme  qui remplace  le  transit de  l’air  à travers les  organes  analogues des animaux  
 pins  élevés  dans  l’échelle  des  êtres.  Il  est probable même  que.le  double orifice  dé  chaque  
 narine,  chez  plusieurs  espèces,  est  destiné  a  faire naître  un  courant  entrant par  l’une  et  sortant  
 par jC^^bj,:âPP01'l;ant ainsi,I^JmM.^iIes  odgrantejTet. se  renouvelant  sans  cesse. 
 -  (E G L E F IN .  (Voy. Ëgrepin.)',  , ■ 
 loSii^pjjipe  de TceiJ  
 JÉm  poisson  osseux^^feo-  
 e^t le pli falciforme  
 que  forme la choroïde faisant  
 saillie  dahs  le*' corps  
 M travers, la  rétine,  
 futilité  de  cette  disposi-  
 lÉoefjest èncore  ignorée. 
 OE IL . —  (Voy.  Tête.) 
 *  L’cèif-âés poissons  (fig.  est  extrêmement  variable comme couleur  d’une  espèce à  l'autre,  
 et meme  d’une.  est''<ifûelquefôis'ûü' dès 'caractères .distin'ètife  d’une espèce, et 
 ’l o f 1 g ÿ p e i f ,   è âm àW ô ifmW se s  parti'e's-’és’t1  constanlÉHi  
 ff'^lMliénéî'al il  aKroiïtiee très-plate,-  fféh  d’humeuÿ'aqcfêîise', mais un  
 ci i-ifalligise î'-d it'è f^ pÉ ^ ^ ^ îiè y 
 I   1 Domnirof qu'e i liezrlés1 autres  cîjôèÀesj 
 pdissons, ‘esrun globe plim’Oû mbTns‘'^ ® ’i^ü@tÔg8 dans  nire*e^ifê! des os  
 laquel'I^^^ra on  donne le  nom  d’oÉSSé, —  et où  il  est mû  
 par d s  muscites  appropriés..  La partie  postérieure du  globe  porte  une  espèce  
 de pédieule.plus  gros  chez eux  que chez  les autres  animaux  :  c’est  le  
 I M y n J  ve lialVf’d^m^j^ir.rAfT 
 -!,f ■ ÈcsmiversPS' *membrân1es^mîljPm®m^oeir sonttfù^mééM)af,réipàh^ I  
 qui*Bnveloppen^^ilTh'-^m®oe"éf ’’^fr Se  p’rolongémclît'idel  
 .ME jwffnuilWtllllairé.  înéï'st’GB»^rÆuCtî6n-aêy.m^mbiçm^Çe Séïfâtt fiW  
 :‘ira|^Wgme  mahière  dan^pS.teé ^Ssÿéces'.“ Ainsi1 la  Êbtte,  la 
 rancliè, le  Cher asne,  animaux  qu’on  pourrait  appeler  les  runnnants  clés  
 poissons, présentent  dans  ces  parties  la  même  constitution  que  les  quadrupèdes.  Au  contraire,  la  
 rruite,  le Saumon,  l’Ombre Chevalier,  qu’on  devrait  nommer  les  faucons de  l'oncle, présentent  iine  
 ! $ B p P o à < â e  Hoelï  ^ ^ > c h ^ r n |^ 9M  iloïÎMdfr.itiSSS t)rçs<;iitéfs 
 h Dents. 
 Dansai 'ÆÆ^XijKiJTOlgla membranë &1fern#/.'pïoroi^ffln^tîldé>'la  d dre- mêfe^ênveloppe  du  
 cerveau),  est  solide  et  dure,  elle  porte  le  nom de  sclérotique :  elle  est  opaque  dans sa  plus gŸanidel  
 l'ar  aevatâ.'.ellp.di-lîi'iit’ I.i uimh  t^art'.parrri'e%MtiYe  ouui 1^siînn'in’aTir,,lil’îiiitant plus que  
 si'l< rotiqu'1 porte wuVfntle  nom  de  îifrfîéeopaque 
 îaî’^ioroï^qtfi la! %prsfeey ‘ e^c^m'Krafft  la  parti e ’^èanspa-1  
 l'JAfiaEffiSÎI é'-e B pa r>i,  traversé l e .^ n e  aex®BH,>8t foriSël'îb hélée* d êWi^^ff^^érfqne de la corÉ'ée  
 transparente.  Elle  est  argentée. 
 Sur  la partie  antérieure  de  ce  plan,  est placé  IVWs,  cercle coloré  souvent  des  plus  admirables  
 teintés,  mais  toujours  à  reflets mclalliques;  qui  entoure  l’ouverture  d  la  prunelh  gf rienaleir'eut  
 blf f lw BtfoBèc*.  vfeii 
 h^j^^@^reiselH6^mibSn^ésrtiSS^6oaz-'Èto®c®Z!re'dëtSshéè d^la  uïêmel^br^fe  et-ti^rant  sus-1  
 pendu  en  face  de  la  prunelle  un  corps  transparent presque  sphérique,  beaucoup  plus  grand que  
 chez  les  autres  animaux,  qui  porte  le  nom de cristallin  et  qui  concentre  sur la  rétine  l’action  des  
 1 rayons lumineux  en très  par la  prunelle. 
 La choroïde est tapissée  par,un  épanouissement du  nerf optique  que l ’on nomme r é tin e  ; c’est  
 la partie  sensitive  de l ’oeil sur  laquelle le cristallin  porLe l’image des objets extérieurs  . 
 Maintenant  remarquons  que  la  cavité  placée  derrière  le  cristallin  est  petite  et  aplatie,  et  
 qu’eïle  est remplie  d’une  gelée  transparente  que  l’on nomme  humeur vitrée,  tandis que  les  deux, en  
 avant du  cristallin,  communiquent et  sont  remplies  par  l’humeur aqueuse. 
 •J.  Les  poissons manquent de paupières. Certains  d’entre  eux  possèdent  cependant une espèce de  
 meffliibrane  clignotante, —analogue à celle  des  oiseaux, —  tantôt  complète,  tantôt incomplète ;  c’est  
 sauvent  un prolongement  de  la peau commune  de  la  tête.  Celle  des Muges est remarquable. 
 En  somme  l’organe visuel  des  poissons  ressemble  à  celui  des mammifères,  quant  à  la  généralité  
 des  parties  qui  le  composent;  les  différences  gisent  plutôt  dans  la  valeur  des  courbures  de  
 chaque  surface.  L’humeur  aqueuse placée  entre  le  cristallin  et  la  cornée,  est  moins  abondante ;  
 l'humeur vitrée occupant  le fond de l'organe esL moins épaisse,  le cristallin plus convexe,  comme nous  
 1 avons  dît,  est  également plus  réfringent.  II  est à remarquer enfin  que,.proportionnellement  aux  
 autres  animaux,  les-vaisseaux sanguins  afférents  aux  yeux  des  poissons  sont  d’un plus  grand  diâ-l 
 La .prunelle  est  souvenLionde, mais  d’autres  fois  ovale ou irrégulière,  et aussi terminée par uni  
 ûnglepvers  rend^it,^*éerait^4î®%l?4ft®S^sl'®^sfedii»fnu5ei^u;jj  ^ 
 Le êrfsthllih  est  l ’organe  qui  diffère  le  plus,  dans  les yeux des  poissons,  de  celui  des  autres