
 
		DÉSIGNATION 
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 ^OBSERVATIONS,  s 
 SERVANT  »’APPAT. QUI  V  MORDENT.W* 
 Sprat..................... 
 EgïeBn,..v.}.. . . . . . .   ........ 
 «Maquereau............................. 
 | Saumon............. .................. 
 'Merlan........ ................... .. 
 1 
 Germon. __ 
 Sèche...................................... j L i m a n d e . . . i j  
 Merlu......................................I 
 Cuiller....................  .  j T h o n . , . , . . . ; . . . . ; ; . ; . . ; ,   j  
 l Dorée,,.. . .   ; ;   ]! 
 Merlu Barbu 
 Crustacés.........  ...  . . 
 Sardine.. . ........................  ? 
 Merlu B a rb u ................ .  ! 
 Rgrefin... . . .  J 
 îi 
 Mullet....................... .............. Germon. . . .  L  ;. .=.. »» 
 Limande.. .  i  -..  „ .| t 
 Poisson  volant.. !...  .. T h o n .,. . »» 
 Thon........ ............................. Daurade..  ..........   . », 
 Gardon  et  petits  poîsSons  
 i M orue.. . . .  1.  . . . . . . .  .T .. . .   ) 
 de  rivière. . . . . . . . . . . .   . .   ' 
 i Merlu  ..  . ^ T  T  j „„ 
 Vairon  et  autres  appâts ]  
 v i f s ...,...................... . . . . J ! F le t.. „ .   1. :  :. 
 1 
 Coquillages  dépouillés___ j Bonite...............  ...............i 
 Daurade. , . j . . ,  . . ; J 
 Roserelt................................. Merlan.. . . . “ _. ( . ‘ 
 Tue-diable. , . . . . . . . , , . . . . ! T h o n ........................  Cosilles.. . . . . . . . . . . . . . . . .   j ........ 
 1 
 VILAIN. — (Voy.  ÜOBOI.K.)  (Able), 
 VILNACHON. — Dénomination  vulgairg du Chevesnfe  à  Troyes.  (Voy, ^Ch e vesn 
 e s .) 
 V IR E S C E N S   (Gadus).  —(Voy.  Lied.) 
 VIRE VE AU.  —  Nom  du  tqumiqaei  qui-  sert  à  manoeuvrer  la  faupcade.  
 (Voy.  ce mot.) 
 viroles. — (Voy. Cannes kv&CME{Gmfetfi0ïfâoeï\.)  • 
 La première chose qui arrête le pêcheur, quand ü.veUt éonfer.t.iorinpr Inj-rnAme  
 une canne à pêche à compartimen^ç’e^t, lff plupart du;temps, Ih difficulté  et souvent  
 l’impossibilité  oh il' se  trouve  de  se  procurer' les p ro ie s 'nécessaires. |  Resté  
 bien  la ressource du ferblantier ; niais,  outre que  ces utiles  industriels ne  sont pas  
 très-nombreux  dans  les  campagnes," la ' grossièreté  .des  moyens..dont, ils  dispo*  
 sept  ne  fournit  point  au .pêcheur; des  viroles  commodes!  La  manière,, en effet*  
 dont  les  deux  extrémités  du  fér-blanc*se-soudent Eunei  sur  l’autré,  empêche  
 la  circonférence  d’être  régulière  ét  rend  les  compartiments  de  la  canne  vaciî- 
 VIVE.   ^ 
 lants  h* uns  sur les a u t r ê s ^ ^ u i   constitue  l’un  des  premiers  défauts  que  l’on 
 I  existe un moyen beaucoup  plus  simple et  tôut aussi économique de se former  
 une collection. 4 e   viroles toutes-faites, c’est  d’aller  à  la  ville,  chez  un marchand  
 de.parapluies, et  d’acheter, de,lui un lot  de  viroles  de  rebut  provenant des  
 parapluies  démo;lis. Les coulants que  l’on  emploie sont  ceux dans  lesquels  passe  
 e manche :  il y  en  à  de  toutes  les  grosseurs,  et  tous  sont  en  laiton  ou  cuivre 
 j a u n e ,  On   c o u p e ,  a u  m o y e n  d ’u n  t r a i t   c ir c u la i r e  d e   lim e ,  la   p a r t i e  d e   l a  d o u ille   q u i   
 p o r te  u n e   f e n te  p o u r   le   r e s s o r t   e t  u n  r e b o r d ,  e t  i l   r e s t e  u n e   d o u ille   e x c e lle n te   p o u r   
 g a rn i r  l  e x tr ém i t é   d ’u n e  d e s  p a r t i e s   d e   l a  c a n n e . 
 II  suffit  alors  de  ohoisi^, dans  le  tas,  celle  qui s’ajuste bien dans  ou sur la  
 | première  suivant les besoins,  et l’on possède une monture excellente et  à très-bon 
 marché. Nous avons été si souvént heureux de connaître cette fabrication — écono-  
 mique et toujours prête  viroles pour les cannes, que nous ne doutons pas de la  
 gratitude de to u te s  pêcheurs  auxquels nous  l’enseignons  ici. Le parapluie en dé-  
 sarroi  offre  d’ailleurs au pêcheur plus d’une  ressource  qui  ont été expliquées  en  
 hSm,Pf  Gt  lieu-  Rappelons  seulement que les roseaux  ou  les  baleines qui soutiennent  
 la  couverture s’emploient pour faire des montures de grelots ou des extrémités  
 de sacms  pour  la  mouche ;  que  les  fourchettes  qui  supportent  les  baleines  nous  
 fournissent des  dégorgeoirs;  que  les  douilles  du  milieu nous  servent à  faire des  
 mrolës et que  le manche lui-même trouve mille petits emplois.  ~ 
 B i W M f l B  H f i  Q u ilè s   q0i  servent de tégument à la  plupart des poissons, leur  
 d-nneOmmenr visqueuse,  secreteepar  des organes  spéciaux.  Cette viscosité  semble  
 P M M g S H   abo?daate-<îueJa  Peau  dp  poisson  est  plus  dénuée  d’écaiiles  on  du  moins en  
 <PQfte de plus  petites.  Ex. :  Tanche,.Motelle,  Lamproie, Anguille, Lotte, Brochet,  etc. 
 '"iL-  -°et" end u itest d’isoler l’animal du liquide  où  il plonge-de  cette manière  il 
 I  n y> a  pa#d«p.erd1tiofi de chaleur, la  surfoee-du  corps e t  celle  de  l’eau n ’adhèrent  pas.  et de  plus  
 1  n y a   Pas  frottement,  et par  conséquent les  mouvements sont plusfaciles,  pins rapides,  
 r   :   llgne lat0rale  parait-être  le  point où  la  majeure partie des glandes qui sécrètent  cette  vis- 
 H   t am °rt  de  ranimaI’  cette  hQmeurse  concrète  et. devient  opaque  
 R I  S   V - r Uqm  ne,I! d“ paS  plus  que  pendaQt  la  vie.  Ainsi  un  poisson  mort  hors  
 seche,'légèrement à  l ’air,  ne  semble plus  avoir  aucun  enduit  sur  son corps -  si on  le  
 ,eplonse  dans  le hquide,  le  mucus  sec  se  gonfle  sous  l'influence de l ’eau, mais  il  est  opaoue  
 -©Mûmef-aae espèce  d!albuurine. coagulée.  ^   .  p  q 
 W È È S Ê Ê È Ë È È È   d ra ° °  g f   ViVÎdUS’  LÜ1') -  Acantbopt’  PercoW-  thoraciques.  Long. 
 P * # “ ;  f l l  angl-  s u é d . -  Fioesing, dan.  -   Pieterman,  allem.  -  Peignit mare. 
 \mov>, biet.  —  Pesee ragno, ital.•— Arana,  esp.  - 
 i l i M P M  couverte,  comme le  reste du  corps, d’écailJes  dures,  épineuses :  elle  
 est  aplatie  latéralement,  et  les yeux rapprochés en  dessus. Le museau  aplati  est proéminent  sous  
 la  houche, 1 opercule porte  une forte épine.  Chaqae oeil  est garanti par  une  petite  pointe  
 I   La  Premiere nageoire  dorsale  est  courte  et haute, t a   deuxième  s’unit  en pointe  à  celle de la  
 ■ H E  B R I  Vent¥Sles-  aL1  lieu  -l’otre  sous  les  pectorales,  sont  sôusla gorge en  avant  de  
 M ü i  cofrps d0  C0S Poissons  est d’une couleur  brun  jaune,  et  ils  se tiennent près  des côtes  et  
 [le plus  souvent  cachés .dans  le  sable.  . 
 ,  H B M  bêauoeap-la, piqûre  des  aiguillons  de ht  première d em ie ,  même  quand l’animal  
 est niert.  Cette  piqûre  occasionne  enflure,  inflammation,  douleur  très-vive et lièvre  intense  11 est  
 défendu de mettre en  vente  ce  poisson sans  le  débarrasser  de ses  aiguillons,  et quand  on  le  pèche  
 pour sol,  11  est egalement bon  de prendre  celte précaution. 
 Les Vives  sont des poissons  allongés  dont  les yeux  sont  resserrés  d’une  manière  biiarre  an 
 S   l T   T ?  C0Urt  et  d “ e  Sl,cul° oWiW e  qui leur  donne  un aspect  frappant,  tandis que  les  
 fortes  épines  de  leurs  opercules  et faculté de  celles de la première  nageoire  les font redouter à  Lot 
 | H nom  vienî  de  00 qu 01100 ont 10 B  lrès' dur0 g  vivent même  longtemps après leur sortie