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 W Ê Ê Ê È Ê Ê Ê Ë Ê   ttgète1 «pü^BfnàU “séflaVfeiit, süffiliWQ f f l Q M i   mais  
 tïôiir ouvrir 1& chaînon N M  ét  ïpMghë Ttefàhùfè ‘ §aMs ploiüb^ë: W  qu’ori  M  perd  
 a ifisï  fât încaicülabl«. Ajbhtôfts^fe'nîîlff de HfotoiÇ*ês  «8 Ttooul* 
 d’y monter le chaînon et la  Éfêfètâi; c eM ^ e lf® |ë r  un l |g d f i  P1®1®15  dany g ' sac 
 a « » g B I m a i f “  .  ,  "  L   jsf§ La'  plombée  q u ^ ^ ^ ^ ^ d ü |t i u ^ % r é f é r t e à r t o ,b | Les-^^roLQoneiaents  
 possibles èiïc à j'e  figurée  d lf fé r e f ttjp o s ^ r   et 
 percéè dans $a plus  grnn fe lto a u eufl c’est wtnéme plomb- dOnton  
 ter K  filets, et on lè trouve  ch e t toas Ils f e a r ç i â ^ ^ A jp rm iM ^ É è ÿ  Pn obs~  
 g n â l i  quand  il  elt" ^ ip a x m i  f f l  pierres,  et on > 1  donpg r M y s  
 a s s e y e   poids  en  en fflfettatii, - » ' I   b ô tfd |^ à u tre ,  le nombre  
 seul  tféfatft c’est de  roüitl  febilefit^it .sur le fond par suite  -  l  f j l l y  'dans 
 lès oodtitlts rapides! màjsbntrouve fëiijdhrs  à 
 jeter S l’endroit-Q|^l’oi\ vé^t-^Cbër,  et cblà syfflt'pobi 
 PLOMB-FOENE A GISSONS  PLATS, —  (Vii^.poME.^--1  
 PLUME. —|Jtoÿ. PtdÏTE.^'. 
 PLYETTER. — ,'Ç^TO PlEB^êhe à|ï|r,t  • 
 POCHE. —JT o y .  Filets fixes:).  , 
 POIGNARD.  — (Yoy.  BrochM1 et  ‘ 
 POIL DE FLORENCE. — Ensore un ,non%|le -la  H  - 
 p o i s . - i f e s   ï*ois sje joignent à toutes  léftfjMS&’fB i l’ôtt H p M  dans  1 eau 
 pour amorcer un ©ï&p.  g  . 
 ills sont  excellents pour  prendre la Ç à # ,   OE   : 
 le Chevesne,  et surtout le  GardcM g M M  ^   nrt?  '' 
 POISSER LASOIE. — 'fyoÿi^^OIséteÈ.)'  1  
 POISSON [Définition] (Piscesj.  
 v e r té b r é s . Cedx-ci  sont en même  temps M | g | 
 ration ne s'opère q u e  par  l'intermédiaire  fie  l’eau.  r 
 Nous allons  Lp ^ e r^ cqLncteme nt  la  
 orendre la curieuse conformation des êtres que nous  étudions. 
 P  vertébrés  -   Us  possèdent un  squelette,  osseux  dans  le  poisson  ordinaire,  se  changeant pai  
 gradations presque insensibles  en squelette cartilagineux chez les poissons  chondropteryyiens,  et arrivant  
 même  à  être  membraneux  chez  quelques  espèces  qui  forment  la ^ $ * * * 6 * ® * ^ * 
 PO'SSO0mA?er-rS   H 
 ons  U nous  suffit de faire remarquer  que  la reproduction par des oeufs  rapproche ces animaux des  
 reptiles  mais  ces derniers  !eur sont supérieurs, et par la forme de l'oeuf,  et par le mode *   fécondation. 
   double,—  Le sang, continuellement revivifié par  les branchies, est envoyé pai un 
 coeur il un seul ventrlcuie représentant l’organe droit du coeur des mammifères et des oisqaux.  Apres  
 IeTonlact  <de l’air,  ce  sang se rend  dans un  tronc  artériel placé  sous l’epme  dorsale  lequel  taisant  
 office  du  ventricule  gauche du coeur des animaux à sang  chaud, envooe le  sang dans toutes les p  r 
 lames, amenée et chassée par  un mouvement de  déglutition spasmodique  e  îegu  lei  ou  •   
 loeue  à la respiration aérienne des  animaux à  sang  chaud.  I  „  ino viviimc  SS plaiios 
 6  Les poissons habitent  donc exclusivement l’eau : j g g  dans  les  
 salée  dans les mers  et certains lacs ;  chaque eau  possède ses .espèces  spéciales, et  peu  cl en t.e e 
 Sauf un petit nombre d’exceptions,  les poissons présentent une forme  s y m c ^ ^ J   
 Leur  corps  est  recouvert d’écailles plus ou moins grandes, quelquefois d une pMttesse 
 POISSON. 
 et',sa  :SWfaq§riiW#li^^jP|# Kejsep^atiq^ jjlçgqï humeur  hulleuça :e| jou-vent gluante  qui  Jaciliie  
 sasii^e)^i3l^fleiMftL4ft  4e,Pegj(  p#jr laquelle il n’est  pas  mouillé  et  ojï  il exécute 
 des mou^meats-jçlunejexcesslve „•vitesse. 
 Les  couleurs  des  poissons  sont  aussi  variées que  celles  des  oiseaux;  plusieurs  ne  leur  cèdent  
 enfifih(IftWJr lu-j fie&uté ;de?.teintes^!^qÿjjeltédes couleur?, et quoique nos pays tempérés soient  
 ■SP! ^S|l® !#léStf#ai^;f|^®tt,|pe4eaitCi^sî4esi[trflPiaues, le pécheur à la ligne retrouve dans  
 JfflrtHffyUfft  iMÜllHW^  ynA- Au sein de l’onde, cet  éclat  est 
 iPÉWWPi^N1 :jfljjli|iiliiU^Biy«Bt foartdlfléranfidfl qsjqE q#i demeure à l’animal mort et placé fiers  
 de  spu,Ornent. f / 
 •  Ltj^oeQïnplian se fait au moyen  dp rudiBJgnts.de injemfires appelé? nageoires, et qui, par leur  
 ImpEgJÉjijjtj|té^iiiPfilTli|fnf|jjOi||^|ihnfip çarjaptérqs de. classification,,, ",  
 ilv  sa. n|geojBq; jun fôle très-important dans 
 Jj^epmofiou des .poissons., Non - seulement cîest un gouyernail qu,e la nature leur a donné, mais en-  
 core c’est une hélice puissante dont les mouvements sont quelquefois, surtout dans les.espèces  chas-  
 . lerêèses,  d’une ùnbroyâhle rapidité. 
 .  Les mouvements généraux de translation ■  surtout dans le plan vertical— paraissent aidés chez  
 les poissons par la vessie natatoire; cet organe ne doitpas leur être absolument indispensable  cependant, 
  puisque.quelques-uns  qui  en  sont  privés  exécutent les mêmes  mouvements  que les antres  et  
 ,asiqc±ti3qt  autant HpJa.çüjM..  ,.<u 
 ^njviiùstmet du ppifspjg,, q§t, plus  d.e,yglqp|piqu’on, ne  le  pense au,général,.et  à  l’article  Pêche  
 nous  en  donnons  quelques  exemples. 
 La  glQfttgnpgcigyej,  ujjopyo^çite iim^tin-blee, paraissent  être, le , mobile  Je  plus .puissant  des  
 animau^j^ilgir^ mouyemenjte,  leurs ruses,  leurs  courses,  oqt  tous  le  même  but,  
 celui  de  saisir,  de  dévorer  une  proie vivante ou  inanimée.  Moins  bien  doués  sous  ce rapport  que  
 les  espèces  de  vertébrés  supérieurs,  ils  n’ont pas  de membres pour  la préhension  de  leur nourri-  
 j^Pfc&petlaijrs. n^efiâqi-res happent, retiennent'et, engloutissent. 
 Ce  serait une erreur de  croire  cependant  que  ces  animaux  sont dépourvus  d’armes défensives  
 jy p r g is ! tw^g^gg^c^aea-uns  les rayons  des nageoires et sjirtout.^s dflmales, sont de  véritables  
 armes .qu’ilaf.sa^^Jj^réjejer et dresser pu-feioindre danger'.Xe^.aqtres portent sur la tète et aux  diifé-  
 BfeatW|d(®>lilf af3156S"des ,p gin tes .redoutables  dont  quelques-unes  passent  pour  venimeuses  
 quoique,  jusqu’à  ces  derniers  temps,  on  n’àit  pu acquérir  la  certitude,  dans nos  pays,  de  la présence  
 d’une  liqueur toxique  ou  plutôt  d’un  canal afférent pour la verser. A ce sujet je  crois que l ’on  
 a cherché autre.ehose-que ce que  la nature  a  pu faire.  On  a voulu voir dans les  aiguillons  soi-disant  
 venimeux  des  poissons  un  appareil  analogue  à  celui  des  insectes, c’est-à-dire,  un canal acieuié,  
 ’mmi/fui'i qhaat-a untrjrafolusieurs.glandes promrclives  du poison que l’aiguillon verse .dans  la plaie. 
 df™  ne  prouve,  au  contraire,  qu’il  en  doive  être  ainsi.  Il  y  a- plusieurs  manières  d’empoisonner  
 une  arme.  Qui dit que.le mucus  sécrété par l’animal  et revêtant toute la surface  extérieure  
 des  aiguillons  n’est  pas précisément  l’agent toxique  incriminé  ou  du  moins  son  véhicule  ?  On  a  
 prétendu que les plaies faites par les  poissons  s’envenimaient  à cause  de la présence de  corps  étrangers. 
   Que  l’on  veuille  se  reporter  à notre  article  Vive,  et l’on  verra qu’il ri’en  est rien. Chaque jour  
 les pêcheurs se  piquent  aux  aiguillons  dorsaux  du  Bar,  à  ceux- des  Trigles,  et  pas  une fois la bles-  
 su,re,ne va?,empôfeôjxà((ÆQu’un  p ê c h e u ç ^  piquer à  ceux 4 e   la Vive,  et,  pour deux  mois,  voilà un  
 • ip a ®   ltülit,  au milieu de la  fièvi-e et des  doujeuré les plus vives !  ï 
 ^ Revenons aux  armes  diverses  des poissons  certains d’entre  eux: ont les mâchoires prolongées  
 en'  redp.utpble,  d’autant plus  à  craindre  que leur  taille  est  considérable  et  leur  force plus  
 grande. D'autres  o’nt  à  la  queue  des  appendices  barbelés,  dentelés-,  de  vrais  poignards,  des  crids  
 majais dont  la  blessure est très-dangereuse et  dont ils  se  défendent  avec une  grande  adresse,  en  
 animaux quî  savaufivce  qu’ils  "veulent  faire. 
 Nous  ne  pouvons  passer  sous silence  les  organes  électriques  de  la  Torpille  et  ceux, dernièrement  
 découverts  par  SI  Bobin,  des Baies.  II.y  a  là  un  appareil  .de défense  et en  même temps  
 attaque^ des  plus  curieux.  Npais. n’oublions pas  non plus,  quoiqu’ils  soient rares  dans les ixieî's  de  
 notre pays,  ces,singuliers-poissons  à corps couvert de cuirasses  dont  quelques-uns  s’enflent comme  
 des  ballons pour mettre un matelas  d’air entre  eux  et le s . coups de leurs  ennemis. 
 Les  poissons  ont, dans  les  organes  de  la bouche,  une  force  d’inspiration  et  de  répulsion  très-  
 considérable.  Les  cyprins  plongent,  tenant  leur  corps  perpendiculairement,  et  dans  cette  position  
 inspectent  -les  portions  du  sable  où  ils  supposent trouver  des  particules  nutritives.  Leur  bouche  
 aspire  le sable  à la  distance  d’un  demi-centimètre’,  sans  effort  apparent,  et,  peu  après,  le poisson  
 se. relevant  a  fait  dans  ses  organes  le tri  des parties absorbées,  et il  rejette fortement le reste  sous  
 torme  d un petit nuage rapide.  Comment  se fait  ce  triî