
 
		I t   '  ÜÉ  À T T A f f l ^   »p-(p I & 
 Al TA^OPi' DES  ldJlSSSïik“5 f MANIÈRE  Dl-FEÉRÈR. 
 Brême. V'-'Qhipote-  longtém^^^ffita-  
 I l , E'ûrqï1 -au '  ri'lfiôntieP* de  la  
 ’-ijutte,  ,dü t^pjijj^ei^&hUfTe  •  
 qQup est tirant. 
 ^qtt^^AôHrement  Resçhe par-  
 1 ’dessoWfj^Bë  qüî  fait  sortir  la  
 flotte  diÿ’lVtiu  ft^mfftpbu-is'eé''  
 par-dessous," JJ'^utrtSï^pjfwdus  
 -attiqueiit  franchement g^n^isr'  
 "jtqujouH JegeramÎHiti-ccimnfr^ le.-  
 IjErSTO^v;  ' 
 Brochet.  ,■ En  chn'-sOy attaque franclîè-  
 ment.  (irdmairtriipnlj" entraîne  
 ^Tfr^nclfement, métis sang sfe près*  
 sèr-p  - 
 .  Ferrer tefeétjôrt. Ferçer fcpt,  
 ihaii dç côte,  et quandAil a An  
 wjtidîne 
 CarpéP" Chipote  longtemps'  et  oB- -  
 . .'feajn'èlte 
 .■ T-frier  solHbiqent, mail satis  
 g^prcJse'r pxîÿÉÿljàt. à mort,. 
 Chabot. Criiçlÿq.  , •’ '■î©m'j®|,lé-larlSA-': 
 Chevesne. -  De  fondrai- printemps,  à  
 Pi ' rwj1 fort sans -je presse r®L  
 '.Ripa teotf.çoup/ flfcombat  fert,  
 mais peu  longtemps. 
 Ferrer très-vfte'èt de'côtéWft  
 coup de ■pgjgnef'doit < Pire aussi   vrftqiîê -Wffiiir. 
 qeigse ; àjjantomne, aux boyaux  
 L#8 pontet et au rajsip.  il  mord  
 -très-franchement  et  ealralnç  
 vite. 
 •  De  surface,  il mord  et 14gÿê 1  
 presque  en  môme  temps,  au  
 • -sang dé1 même.  v " 
 Ctprin doré. .  Comme  
 JHanf..',  j 
 fi  FeSéeiv au.  asup  tirant, «m./  
 combat pas  fort. 
 1 Dard  : u  , Mord. comme  le JLluvV  
 în.'iiSde'sùrfacé, ciiquie lUmsl Or 
 Peu  terte 
 l et à ménager ;  qu otfflîiï  esc  i j |   
 se défëfl® 
 ÉPINOCHE. La glouhmm nu  * Se prend seul. 
 -  Gardon nLANèr/j Mord vite,  lâche plus vite encore, 
   (*t'tdfîKîè,  au  tîlofet* iPu  
 .jSHiie, silegeierinMit‘que.'eiuit"às»  
 r■ xpte-iné gtfla jÿtfi^îÈètiïuQ. » <  .^tS®^e.va6o,  il« faitgejacCjJ^Bÿi  
 moins de signal..  | 
 1:1  >'» 
 «*jïfrre  au  jiiCmici  mousS=t  
 minimi ; pmeii manqua, maiiH'îeJj;  
 3B^ffl®*®^h^ewpreffdxè. 
 - - *  Un  gourmand :  une  fois  Je' ’  
 NeT^SS  sé^^ësSBE^iÛSÛîg'Tèj  
 , mapquétjaaïâïs  si l’on attend le  
 æc’duîp entraînant;":  - 
 .ver attaqué, jl le su^ra; jusqu’.à_  
 Iflfqffllàffifsoit jillfjjpjfcfE 
 Lotte. Attaque comme l’Anguille. », Ferrer de même.  ^ 
 ■  Ombre. ,  . Attaque  franchement  rapi-  
 r détpenVquitte dé même. 
 ;  ferrer  très-vite  et ; franchement. 
 Perche. Attaqu e  franchement ■pj^en-.j |  lJittlieâe suite, 
 Herrér geo, mais sans se pres-  
 sërjau  coup tlrantr  fie  combat |   
 presque pasj même  quand  éEe  
 estjgroase.  ■ 
 PliE. Mord commele Barbülon ; jjjjç,-.  
 mangera- les deux  esefiçs  d’une  
 -Ifeie îp il après l.’àutre. 
 ^  Ne  pas  se  presser;  ejle  se  
 pre^id seule ; une fois l’hameçon  
 d-aife  lë  corps,  elle  ne »bouge  
 plus,  la plume  ne  remjie  pas,  
 paÀe  qu’en  attaquant,  sans  
 fiJiwtB elle suce. 
 Rotengle ,  ou  Gardon i  Attaque  bien  dé  fppd ;  à  la  
 moiiche, il mord légèrement. 
 :  f Rerrer vite ; il est fort quand 
 rouge  carpÉ. il est gros. 
 Â,TO&@*ÜJB  DES  PO ISSO N S. 61 
 NOMB^ÉÉ  ioiSSONS: ï  ■ ATTA*{|#È  DBS  'POÏSS'ttNS. ‘ MANIÈRE  DE  FERRER. 
 -Sa-UMON. VtLufne  fr.inHiementfçnirfillë“   
 '  quelqu’un  cftif’a ^coriscienh'e  dp  
 BShlrPf-V'l >,iii  biiufdrlrini'^vîiuV1  
 Ff'nùjJlçJfté 'quafi'd ilv'tJèjPÔ'  
 ^la-mouciie:1’  , 
 ,  " M,errer  solidement  et ' donner  
 fll ;  il eàl terrible et  combat  
 â mort, devraiMÉ vous fàire par-  
 Sfflirir plusieurs  kilomètres. 
 Î an,CFb. 1 [ft  .(■’£ ipèïlf cq-.uirw'ilà  Carpe,  et  
 BBnird’^enuiret. moins  franche-  
 f*'îhent. 
 ,JNe pas  se presser. Assez forte. 
 .Srp-piTE^ v  .  1 Attaque  
 vive  'cninrojaiiji  éêMitJ "djliig  le  
 » c o n t r a i ^ p e  èutratoe uou-  
 cejneht, mais franchement. 
 .‘Ferrer  sans'hésitation  et  ne  
 pas'  fonfer  la  main.  Elle  est  
 forte au premier coup,, m aigrie  
 i!*T cw P |& P as  len ^ 9É |iq ‘^ fe '  
 t‘ séiliuié et'menrt de  suite. 
 1  -Æerrer sans  se presser» 
 W  Attaque  ^bien  ,,  et  onirafuc  î  
 quand 
 AliOSE. 
 Bar. 
 Barbee. 
 Baudroie. 
 Bonite. 
 Capelan. 
 Carrelet. 
 Congre. 
 A T T A Q U E   D E S   P O IS S O N S   D E   M E E . 
 ['[■('■.-uinlli'iii' ni  on -uiMiit. 
 Mord iæanteh.eiîjent et-entçatîfe  
 sans ihésitation,  piös^Ä défend 
 ;»Pi#ïfeîW 
 Attaque lentement,  pin-,  de-  
 jjnfure  immobile;  mais1.,  une  
 JbjS  piquée,  se  balance; d’une  
 curieuse manière. 
 Avale goulûment' èt  s'é laisse  
 amener sans défense. 
 ’  Attaque d’un  seul coup, sans  
 qu’on la  sente,' et entraîne rapi-  
 deximnjven.'fllant à la maip. 
 'Si.GouM  par  excellence ,  tire  
 d’une manière  üîSrbïa'ble pour  
 un si petit poisson. 
 •. fVey'. Plie.) 
 ►.  Comme l’Anguille. Se tient ééf  
 ■pu fond. 
 Finement  et  Bien  de  côté,  
 l’hameçon-  étant  toujours  tenu  
 entre les lèvres, 
 pas- se  presser,  attendre  
 lej. eoup  d’entraînement,  ferrer  
 "alpis  solidement^®! manière à  
 : assurer  Peu très d® fer dans la  
 gueule qui  est fort bien armée.  
 Plus on se servira de petits hameçons, 
  moins  on  aura besoin  
 dé ferrer 'promptement  et fort,  
 pdrce  -quç  l’on  ne devra  pas  
 craindre '  de  piquer  dans  les  
 défite. .■ 
 Demande  une main  exercée,  
 cqmme  tous les  poissons  plats  
 avec  lesquels  il  faut beaucoup  
 dà-prudence, surtout quand ils  
 sont gros.  Il faut d’abord ferrer  
 yOTtement  pour  bien  assurer  
 îÎL'èntrure et  ménager  ensuite à  
 cause des soubresauts,  g 
 •■'jFerrer ferme : hameçons gros  
 qt: forts  à cause des  téguments  
 .blancs lâches  qui  tapissent son  
 .immense gueule. 
 Ferrer d’un coup sec,  et amener: 
  sans lésIsÉnéèi 
 Amener  sans ménagement. 
 Ferrer  sec ;  amener  vite  à  
 bord, parce qu’il se tortille-beaucoup  
 quand il  est  petit.  Lors-  
 1  qtfu est gros,  il se  laisse  souvent  
 amener, au bord du bateau,  
 comme un  poisson mort.