senne ou ne sautentpar-dessus, ont recours à un filet particulier.mommé s a p é
ou cannai, fait en forme de sac “ocrde yerveux-qu’ils' attachent au filet ordinailë et
dans lequel leg-muges se Prennent ^eux-mêmes quand^^VBmffl^|’&||,àpper et;
sautant. (Yoy.sl{|po,BE.)
On fume et on sale les Mulets"' Céphalg§- que lion a.pxàs 'et qulqu- ne peut' pas
consommer frais..,*® oix page 5-25.)
La pêehe du Muge Géphale et de plusieurs autres, espèces de Muges gjp'éfcte
d an s l’bcéau,trois époques distinctes : celle ,djàutomqe où elle.^gt le plus; productive,
celle du printemps et c^llej^étéTqgi -ne peut se comparer ai|^j|â(y@édentes,
Pendant la- pfiche,d’automne un pèfitreur expérimenté fa ille gpet p |u r m e surer,
de la présence^e^quelque banc. U fait en tii\e is fl qulgjiaJ ildégorgèment
d’unéfâng, et à quelques centaines de pas de.son embouchure un.filet
qui s’étend .d’u n ^ b o ï^ à l’autre. D’autres pêcheurs iq,ûq^#’uai^§ond fi|§ .s|
tiennent vers l’embouchure. -
A mesure-flue la mer monte, les Muges s’avançent*dansiie!5.ca^^(.^lors,suç
signal 'donné- les pêcheurs se jettent àvfeauTJpm’a'.gpère qu’pp mètre=d®rofon-
deur, et par leujs^hris effrayent les-Muges qui ,gq~ hâtè’jiM i^ rem.qnmfjRcanal.
Les pêqh^irs» déglpymit leur seçondiilet, Iqpr.ooqfpfBt tout^ftgM^Kxyé.iliiiuM|
la mer, et les poisseu se trouvent pris entre-deux, barrièjats^Qfmme lgs Muge|
sautent presque toujourspm-rd'essKSfebes.barrières, qu qilace niivjuui^i&àGÿ1 re du
filet mipétj(mu un Ir.imail ou une ginndu sbunç qyp le- poisons nopMiwijRj&
franchir parce qu’ilaTnTbnt.-plus assez d’élan.4tffia~pr-end ainsi, Kh-.seuJiMm ni di>;
Muges, maip; encore ,des Turbols, des Limandes, des Carrelets, .'dcp ^ o&ln'-. EGh
q.ui les avaient accompagnés.
A .l’embouchure de l’Adour^ on rse serLpourq.ce1lte^p êp héi"7^^^&$® de
senne.-appelé tranie ou garole.
. Dans le -.bassin d * A ma r.hnn. pfW tc t.i^ ^m c f e sfirrneB^p el seiÉ
d’ime.tiUplejnQntèe pàrneuf hommes. lÆs;^ h e j ! r ^ e s ^ ^ t e r r e .t i ^ p ^ T ^ K ^ p 0
fixée Aune extrémité dé' tq'^miiêq quand ce. filcl o l tléSphiyiv, la ddlplc R.\ u 11 l|j
terre. Les-, pêcheurs,-tirant alors simultanément -ni JJj? d( iâx lJhfi> de{*l i K o i& lj
ramènent à terre avec,le-nfiisson qui s’y trouvoFcnga'gcy--\
On se sertenqore, dafislq bassin dîArcachôn, d m ^ / r s 1 tvla.:«£/ tn',e.
Le tramail est fixe, on le pose sur le bord des chenaux à la-basse mer, ensuilc
on frappe l’eau et les.herbes près desquelles ce filet est pla< é. Les Muges effrayes
quittent cesrahris et se-jettent dans le teampiL-,,
■ La courtine est aussi un filet fixe : son.bord inférieur est enfoui dans un sillon
creusé en forme de-fer à cheval; et fixé à l’aide de crochets de bois espacés de & 50
enyirofil^ur la lignencL^ ëfi sillon, sont plantés pieux esj^e,^Àtr§..em dl
.5 à 6 -mètres, et quand le reflux sfe fait sêptii^ïles pêcheur^ifenf ujfijjpip.age q jftw
fixé à. chaque piè%^et le filet acquiert alors tout'' sDn^-h^^oppem^P-^wÊ$?-
ne peuvent franchir cette barrière, et opèes trouve qntassés.auprès,'à lapasse||p'.
Dans y.&p.golfe des Martigues^qh prend -les Muges à l’aide t y jÊ B fo ràig&
(Yop.cg m o y ^ lj
M U L E T D O R É (Mugil au ra tu s, Risso.) — AçanthopL miigfloïd. Long. ,oeax. =f®“d |
Syn. ehiaw^adijia^dip^JisiL —Mugort d’ayrÎR,^^®•
Encore u n habitant des mers1 du Midi. Très-voisin c(u Mulet) Capiton ; ^ l a B a f f l jjÿ i116 iac^
m'ent par ses dettfs-'beatrcûup plus fortes, et parce quê*3uffi maxillaire esr çaMe io itten tier SM1’ L.
sous-orbitaire. fi a les pectorales pjus longues que rés-autrês, pagode taohe m ir è ’à'l’aisselle, B P ?
tache dorée sur l’opercule.