
 
		Ce  filet’,  employé teû®toUb<g®iïF-  p re n d re "lieâ**»püiès'é-aW^'kts,  Raies,  Turbots,  
 Soles,’ Pliefsÿ.ete,1; 'est promené  sur Ipdnhdcpendant  1,  2,--3 heures1 à^eh^qu'ejj et-* R  
 est fixé âït  à un bateau àiWflgSidlâsseï! tfffit-tohi^ge»et'4Bàîné*à<,la 
 remorquef.©&d>ate1au-ir:êmôrqueuF''©o^îavoir une-vitesSe_d ’an-~moæns!'â-milles. 
 Il-est apip‘bs®te»d@'Gbàluter-(}ans les^n^pÿ ealmes '-ou  quand-la mercest-trop  
 houleuse ;  daÿstio^dernier cas,  d ’ a ü l e d e n t r i ^ O h - a l u t  au-bàte^u  
 I  | ■  r . ':'  -  ",  n   |   I  -.  .  v:.  : ''   *-:  i 
 L’usage dfféet q^lïfteftrp'&pûiTs toute'festeriêe, - à’ 3" ndl-le'siâsh -m'OÎnSteâ large  de  
 la ligne 'de  basse'nflerh îf%stf.prohi>bé:da®lî£l§>i‘bai%->de.'Douaïnenezpâieaiïi.'Se de  la  
 pèche  de la  Sardine. 
 CHALUT  A  CHEVRETTE.  ^fY'Oy, CHALUr~[^0M^ 
 CHALUT (Petï^^--Les raM'ltes de-pe fi^t^êSvent avcir-àu moins 14 mfeün,,  
 ■en_carré.  Sé®.-. ouverture estsondènug^par  une traverse en bois^-aux 'extrémités-de  
 laquelle sont adaptés detz^'ebandeMers enfer àd3o®ts!-rMevés,'d!>u®e*b®^l‘eîi‘P'.de0Jp-,,150,  
 ■etldont le (poids 'total ne peut dé’paS'Sgr 9-kilogr-,, ■ 
 (■ -'Le. poids  de  la SpjÉfiàbéé fixée và  là pâfîÿessii-férieikre  de -Ue^eagha-,  ne »peut  
 excéder 4 /kiiogr.  - 
 L’extrémité drrCbalut, rtranchéeâêârrêifien^^esst égale au- cin<ÿM^dàe deèI\ou-v®r7  
 t e e  et est maintenue par  une verge en  feEmu'^e.petite^r^^&âdaéssi 9§ 
 ~ -  i-L’iisage  de cet engin» esf interdif du-1-5 .mai au li§w#é^^®dabilie^ulèàEr©iif;  
 dTSsemerrt du Havre et dans la baie-delà Hbgû% àteause-du eattéamïpifeill de:â$ipÈ&  
 poissons  qùi sôîfcrOuve  dans  ces parages. 
 m m  Chalut peut ^p x er&er-en  dedans-desjj  imtlc<-He la ’Hgnè flei 
 basse>rner. 
 GHAMSOT. —  Noiîi ytètgaire  du- Chabot en Ndrmaëiliéi^^è^i^lfeABdr»)'  
 CHANGEMENT DE  pOULEUR DES  POISSONS.  . MiMWox&.Wî^ 
 la  coülgÉni  des-. .B o n iîé é is^ r'1 
 CHAPSOT. — Appellation du Gbabo^oxngym  parlas  H es. ep ÿrqns 
 de  Paris* ^oÿtjCHABÔT.|gÿ 
 CH archignot s l | | t  Lignes .d A^écÉe-^Quitlp Germon»  mokf 
 CHARDIAT.  — Nom de Y AnguièWblmtehe' l e   *\ngwlle 
 CHARDON  [to e].^(Voy. Raies, 
 CHARIN. —(Yoy, Çhérin») 
 c h a r r  '^3bruitê\_ — La Truite  Charf 'est AçqSglmo %tàJmW(i$s '(Ê^ê^^Pme^eva-  
 lier.,  (Voy.  ces mots.) 
 CHASSE. —&Ç3et  tendu  en  travers- de  la.’marche  du.&giÿon jpnnn ,amener  
 U ; -i-*;’- - .-celui-ci  dans  un-paxcnfermé,  (VofedPA^c.)  \ 
 V   CHAT. — On,donn-e souvent le.nom de Chat,  dans.'le&^éqppa- 
 A «   ’ï-';'gfes  de mer,  à un-grappin- ayant *&.&§. branchefjet.retaplaqant  la  
 eatoimièÿep potog, retirer à   bord  les tessurps roirvpues,  qu  la grande  
 |  -  çâfeii!gF#qne‘'l’onTelève-.(A,-- fig.  l'43.),*-  
 V  1 / /   CHAT-ROCHIER.-^fgoy.  ROCSSÉÏTE-fé’e ^ ; )   -  
 J   Ch a t o u il l e ,  #ii%4 #ede l’ 
 Wlÿi_ i«.' — &«tMidépàrtementâ  du-.ffilpSÉlIflà'»France. ■ 
 .  Orudit aussi Chatillon.  (Voyi AanHOCÈTEiÉw  
 ch at te. —^Nom dp-KÂi^^fêinte S R ^^li§|^^piA408E  feinte.)  
 chAu d r e t t e  ou c h a u d ièr e , - ^ ^ n o n y r h é d e Y o y . -cé--mot.) 
 CHAUX, — Bf.-'lalÉes'ïÿkdtfc^^ qwe tés- bjsedÉifiSïs -emploient *poür dépeu-  
 |jiSj une rivière o u un% tag'à leur profit,  la plus'dangereuse est  la Chaux.  Elle  est  
 aussi,  sansf-côn^'araisohftla  plus  employé^-pâ'fce^ qü’elle est la  plus  commune,  
 qu’eüü'  se  trouve  partout  sots la-naaiû  et-,né coûte’ 'rien.  Tandis  que  l’achat des  
 sjibstïtneesivéÊé'à'eTasâs, -coque» dh Levant ou^utres'.'.néCbsSîle  uh'  dérangement au  
 m®in# jusqu’i l s  #i»%io-q quelquefois même^le'braconiîî^'ïfe trouve  pas  ce  qufp 
 »  -Resteda^ Chaux, son l’empicië.  -■ 
 Clestple^qui,  daiîs  les  monla-gnes,  a tué  toutes^ies  Truites;  c’est  elle- qid,‘  
 ehaqu^ anpéfe, ‘-ailoré'que  la ; remonte- ra." rap'eupleH'es-' 'petits -ruisseaux  Sup'éi?iéursi,  
 dépeupler sans r'efâèhe, 'au profit de qdélques-uns. (&hris- âôüte,  la loi @!éï-  
 nl^rfcsqr la pèche *..aérjé-tnn  grand, Ppup  à»,l’industrie■ des hTaéojpnejs^veisins des  
 villé^^pl'ijiterdisantla'',vente^HLWu^lp^rta-gÇvdqs  poissons  é^(-temps  prohibé;  
 mais'à la campagne.jÈ^e.édndion  est lettre ptorte,.Le!braç,gnnier,^d’ailleurs, n’est  
 pas  un  braconnïér^de! nr’edésMcm fnlfest  par i>()gfcjtftr. U’ajllturs^^uand il l’a été  
 üâe  fols,  chiniiiC ^ ^ <\r<îatl'POi^Jlm ,à   nrendJe  a^ës'lui,  fl.nejeut W'redevenir  
 « eo're.'iré^rÎw- nWgtM',  un gars de  le^iontàgni' ipi^giü-tte l’ni'.casion fte^^faire,  et  
 qm  fn jd û   'Ijuîlfi  éïflr?  dmi-,  ou  entre1 nônnaissânces,  aâns  les maisons ou  
 dii vpls|iïag^.'  >• 
 " T ^ ' u ' - p h y g , . m   deè -bdns  tours,  payé  Ie’s.Tiinie's^iut-lqiïç^-.pds,  et s’en  
 rëMWRehdæ^fee'itebaps,  la  Chaux  iq'éurîxi®d®l®®1îe  ses  ravage^ elle  suit |k   
 < l ^ v ^ g P ^ ’ilvicre,  tnanC.,aàMyxiantjj^K^on  passage,  tout  
 poissoti qu’elle.envcl^fd^n^^^infeem/blaiic.  Et tout cela sans profit pour per-  
 si (| ei'I^ o -P 0.u r-ies rais  d!jeau,et quelquess‘chats-sauvages»-' 
 E j^ f% ^ ^ |i© p s  que  l’usage -de-. lajChausXiest èonnu c A ®   les.poissons,  probablement  
 aussi longtemps 'que la-Chaux est1 îiiviuJfhc*; ep»ar fout - et totSu'S-gon Usage  
 kc^Bs8MWlBVS~ Lémoin'Iùs fa td e ^ ^ ^ jfi® fe a a h (^M  1669 (art.  11-14,  titp#XXXi)  
 ^ H H p e   t()u^ | ^ M(jj.-,.f,iit.(‘.s' deûu-iV. (létenueîjLfleh mbsumces Imiques. Ma|ss  
 hélas' laroesB^rendre .eLempé^er la distance est goMj^P'Dêiendre,  demeure sur  
 le papier,i»personne nàyspén^^tldaès la campagne5'^^^mre%ls® è-îjr^Mêie.  Empêcher  
 sUr>pt|.Gl9,1Â^eid^agénE^W»<Bi»^B’âw1is‘,pa§jl@-nùpoufra, dès longtemps  
 (i-’i <  gaiffeTcn intintagnc,gmTxi’S o ^ ^eA   prîu f tendu poùr exercer  
 une  surveillance  Cela  n’existera  que  quand  d’in^nnses|^inéîï6rations 
 a u r , o c n t A e s  dans le^personiifil-y©fel’e»bEigadem.ent des gardés champ|tres.  
 Là^es^en-’éffet,  la  grande pierre d’achnppe’ihdirtvâe  bigft d’antre.s.-améliorations,  
 tant’'dans la ptdddéfion^^^^KS®|fMiîe  dans  la  poli-ee^^d^&fèdes. campagnes. 
 H jE5B9mjédicten.t 'des amendes  et la prisodpôp|rélës empcpçiipÉ^x^46®’'$®%»,  
 jp llJIst^ o ri bien ;  mais il làuÇile^g^endçe^Çfel^fait,  e%^e^t jlà, le difficile. 
 la même  défense  e|i^el^qu?'éa^ti!viè're,  par  la • déekra^ÉBwi. Roi  
 du 23 avril 1726,  a rt/’^ t ;   ’mai^élte n’est'^as-mieux- 'exécutée.  Cependant  I à ,'f e   
 émpqfëdttîi’ettrs sont béadcèhff ï^raï^i"le&r Aisé,  les  résultats d? ailleurs son#moins  
 certains, lé théâtre est trop vaste,_gt, d*aiflSy^vlés grandes glagés nues vous mettent  
 tro.pïen.vupîiÿQépéndnnt;  au-x embouchures des  fleuves, ,EiviéE|sj -Cours 'dlbau,  dans  
 .  les graus-, cette  détesfâMq'efeÿüfitaiëiîiffitesteeiïooS&squevbEop'souvent mise  en usage»  
 (Yd^7Kègl%ffiCTlwlu 4 jhiMet'’1833,  sur la Politè ’ÆèH'd'pêche maritime côtière,  dans  
 notre traité  :  LEs''Ga'ÀB[Cfs  des  eaüxI ^ ^ 
 bîns^ge, de la Chaux v il^M W^yU^'dj-rJes,.poissons n’est pas nqqveau,  car,  au  
 moyen  â-ge,  Petrus dé-'Grescentüs,  en S28p§iMtéerit déjà.