63© PLIOIR.
senties premiers rayons de leur dorsale et la ventrale, ge manière
dieesunnt à tête assez soulevée a.ibd.ess.us4u“§f®le
des.ouïes soit libre et n’entrave point f?mfe'â.e laraSpiration, - '
Lorsque la Plie veut, quitter le sahleÆejleJètyeda tête laugEero,ièrerpari^ÿpaou-
vement de flexion' dqda colonne vertébrale et d’appui-sur la qyepe. 'DanSwjQj^Sjks
fccas, elle donne, en s’appliquant atufgrid, un lége^e^lBfde nageoires qui fait voler
t |n ‘petitliuage de.sable èf’sùffit pour e^i;,^m u v rir lé&5rement>Spcox.ps ; pujs^ele
•j'este immobile, les yeux relevés et saillants,,ide manière à dominai
Cojps'et à voir*sh prpie de plus loin.
• La<Pliffi|emqB.ta très-volontiers lesfl'euyeset rivîfre&à^nd ‘dé sable', tels1' que
la Loire, la G aronne,.em^n la prend^m^ees e ^ j ^ s ® f v ë r ‘rôùge de fôn’u. abr
solument ■ comme le 6fr5ujoQ;.,Çit_le Barhc&mqüi mocdept^n mêpae en
troùye ytoute l’;àqnép de.pkg>iqü 'moins grossê&^suivant la saison.
DU PÊ6EEUR^ABIÆAÛ>i5teS ESCHES^ —
La Plie remonte la Dordogne. jusqu,àHRér^êrâc'îti ^ ^ ^ ^ p ; ’Ilt^^^ffie’idtpa_Sse
pas Goutras. On la pêche tniilie ran^en^sui(ouTf^idapt P m y e l a i t supposer
que ee poisson y est sédentaire. .
La Plie fraye dans la Dordogne, puisqu’on en prend qui sont-à peine de lataiJtle.de
un franc. «Le poiu^^es plus grandes Pliés1-n%xcèM'e?bi#âs2-S© granH@^f^ S R uend
ordinairement avec.des lignes amorçées'tt& vers’et d'dnÿe^rHtcs ; (ij g j
avec des filets, mais cette manière de Ipsm^ndxé n’êsl rjju^ s i t éV dadsJa. umylngne.
La Plie est aussi abondante dansjqsî environs dangers■i.-L^bp.fe.eb.qars.jgnor&nt
si elle vient dp ia?rç.èr ou si elle est-indigènê dedaMitStef-’car-' op^y pEeri^dan^^iOites
les saisons,' quoiqu’elle soit_plusyâi?®ïen,hiver. Ils en ilismigMêMjMe dou^d ^ ilg roff
1,’jjne bonne à mangqr, c’est la ®y,pnipremcm^, <me „ r.iutmân'ÆgmV .inléi u ure
an-goût, plus,, jaune,, est -séché et maigre. On l^-S^mrpç,(jjuKyaf et'Ær^ jKqaDlu-
grande que la Plie ordinaire.
Est-ce une espèce particulière'? ou le* mâîfe- ded^PMéJ&ïjiS
Sur les côtes de Morlaix, pourpréhdkHa Plie on tend 1 effile h or s '(le-.
JoCRés ^ ^ ^ e r b^sej,,puis & la jçacée suivante wr
trouve pris.
La Plie est un ,dés,poissons, le§.,plu& communs d es jmeiéôçj ’,i don l irope.
Il est facile à distinguer d’asep, k plupart de ruuges,
parsemées çà et là, sur le côté droit de," s on ccy;,ps^att 0 'à llBàiks
taches sont d’autant plus vives, quqle^goisspn approçtieSe la pj^SB kdn^âi. _
' -La^Me &qnphe.est un des poissons plakqqj vit 1l | p i§, looetepips
hors de l’eau. Il peut, dit-on,^ r,ésjster pendant vingt-quatre h ^ p e s.
p l ie TRUITÉE. — Nom donné, à,Tréguier, à la Plie feaqebe.
(to y .q P L IE ^
P L I E V A S E U S E . — (Voy. F l e t .)
p l i n c e l . — Appellation vdlgaire.dp Carrelet p_ü,Plï^&mche.
(Joy. ce wol'lyj,,
p l i o i r .KEk La- question des Plioirs pour serrer JesS lignes et
.avancées est une de celles qui a je.plus fait travailler l’imagination du
pêcheur, car le problème à résoudre était celui-ci : Trouver-un système
. I Fig, 8 5 S .
Plioir. & 4 ailes, à
contre évîdé.
qui permît de ployer le plus grând nombre possible de lignes dans;le.plus
.petit espace. On a fait des Plioirs à ailés comme, celui, de la figure 8o5,lés.uns
à quatre, les autres à ®Sj j^f^^6i#reomme,!6®iqiidQnt oh voit le plan tracé. SÜls
N B T J ¥Æ iC € G E t f 'I 3 S B Ê C H E S