
 
		La Méditerranée en possède une espèce  H  I f t f l t tW g P P ’ 
 parant quelque taches  bande,en tra^e^^om^it, 
 bfenchâtçes^r la  nuque. 
 CONGRE. — Ces animaux se prennent  a u x T i g t e s ^ ^ ^ ^ ^ l ^ g ^ u r  de  
 130à 140 mètres,  chargées  â'u î m M | § ^ ’unejtëpfôtiîï <1 >m  proru’%>ezloiîW  
 pour n’être pas soulevé par l’eau q u i- r^ ^M r  la -liffffe. 
 ' " Cette‘fodgtteur'â'e  eoféTe suffit! mettre tl^AfeifeÉ^^^Qmpil'éspsu^ffès-  
 H H H M I  ou.mmufeur laiton H | H ^ H  H ^ H f l  H H H 
 Congre,"très-vorace', M   ^ g ^ â p p ;H s .;Gnmino-R, 
 liabite W W W ■  $ n t  tendre  j ^ - i è s B B S 
 a plus de chances de temnconbrer là que partout g g g g j  O n | H B H g |   
 qu’il ne  .choisit jamais M  dpffieUre èÇai^kJrçqp U H H | | | B H 8 I H   
 basses marées,  un rocher-  r e s t e - è ^ w ^ ’un ^ .è f  1 $ f « e  Partie  
 que leCongre choisira sa retraite.  H   -,-_•■•  >- 
 I  ,.  Ees habitants  de  | Q |M & g g S n   d f  & $ - 
 H H W B H M M I !   E B E  r- 
 IharcèleM-damfomlroujusquSme  H H 
 dans sa maintovpe^x sabre noh^ûpànt, Jontil B B | 
 I l ’eau. Il est rare qu’à le manque, mais Le I H i l  manque I I H H I   
 que  les mouvements_de l’animal H   B h B B H I   I j H H H g   
 B H  Peau et r-^-rvèr'aucoup ^vigueur'que  
 Ile coup brisé l’épine dorsale H H É J U H l h M l 
 On a remarqué que I B M H i  M  H | ^ H   
 lé  iour -et qu’il était plus.-réservé même pendant-le c la j j e   I 
 nuife-noires,  excepté emgrande W j ^ f W W ^ è i W ^ ^ M H W   
 Sut les  ■ ■ ■ ■ 
 oh quelquefois lesgrandes^jle? le 
 gjs animaux se retirent  dans des terrier? qa^'flÉh«^J&^_da«»  fc IjgjgSjH  , 
 Sur les grèves de la Normandie  .iiiitnflggMii 
 Seiche  et  ensuite le'-'grdS'hter üe? terre'ordmîffré,  très-friand. !™%rd 
 aussi trè,s-Men  sur  les petites  | H j 
 peut en prendre  au carrelet ou Janet,  da^ J^ pp fts^ ^ ^ ^ ^ÇABhBLm^ 
 Sans être aussi difficiles.que le Barbeau sur -le .choix d ç, "(s- ti.mÿbres^lp.-^^o  
 ne touche généralement pas*à une W m  qui^estplcvmoihs du R S H B g   
 Les  iêdnes ÿôissonK comme p e t i t e s  Mes, B H H H n H B H   
 mais ifne résiste"jamais à la tentatio^qu^p^d^??-^m^fej.dont le ^ p ^ H -   
 lant l’attire  invinciblement.'  On se  sprt aussi ■ defebras,- 4 .el,a  . qu’ on-cou&& 
 quand on n"àpas d’antre anaoree de poissenr-  M  .  .  .  T 
 P   Si l’on rie peut se procurer 'M passons,  On amorce avec  des^e^^Wnu arénicoles, 
   que l’on trouve'âarisdes rochers et 'dont ils sorittrè^friands. On peut ahàsi  
 prendre  des vers  blancs.ordmair.es.aù'.jettes, Les^pêçheurs j ç  la c^Jp,Bretagne  
 qui  en  font  leur métier et qui*. par conséquent,  recherchent ■ les. plu?  grps  
 Congres comme les plus - avantageux,  appâtent(èorifefli)  ‘leur  ligne aveu  a mm  
 d’un'iriâquëreau' et; pour ce faire,, prétendent H  phis S ^ so n t B H H   
 Il est vrai  que  l’haiheçim.dqnt  ils sVljyenf a ‘0^,09,sur 0“,05-,*ét qu x^ ^ ^ nei1  
 de ces poissons pesant  17^20 et 24 kilogr.^^^-.j.  4 t4kitg,mu ^ H H H H H H   
 -Lr<ii0u».av®nsï’ïfât tout à l’heure que le Congre mord difficilement pendant m-jour,  
 « I t  nëf vrai, mais  doit s’entendre'séulement de celui quLest adulte et dfUnedMH.« 
 J\l ClfpjiLC  DE S- T