
 
		Corps aplati, têteassëzgrande-etfortemerit arqude âepuiS'le sooefflet jasq,u’au mos^au:{tÿfe, l&3i5)®  
 Yeux d e .grandeur B ^ p p ^ .   lçjs p g an té , pupille1 b<hi$ . Mâchoire  spÿjÿeuçe. plps  lopgue qqe> l'inférieure  
 qui  porte  un  barbillon  gros  et court.  Dents,en  carrés  fines ;  Louche petite, lèvres  grosses  
 ooulem  de chair,  extensibles  et  soutenues par  des  cartilages-arti-cniés:  8 petits  trous  aii-clcssns  du 
 J?ig.  103.1. — ümbrine.commune [Sciæna eirrhosa, Lin.). 
 moseau,  lui-même  crible  de  pores.  Narines  ovales  doubles ;  langue  courte,, lisse  et  blanche.  
 - Opercule-armé d’une  pointe  et portant-une tàchenoire. 
 Les  écailles  de  lTfmbrme  sont  larges,  rhomboïdales  et  un  peu  dentelées ; ^celles  de  la  tête,  
 petites.  Ligne latérale  courbe.  - * 
 m  =  1 0 ,* ,= =   1 +   Y =   1  +  5. P  =   17. A  =   2  - K 7.  C  =  19,  un  peu  échamcrée.  
 si  Couleur  générale'argentée  à  nuances^dorées  avec  des'raies  bleuâtres,  obliquement,  couleur  
 'u a cfe îr^® 
 Fraye  au-printemps  et  pendant plusieurs  mois.  OEufs  -tiisj-pêt-ilsy  extrêmement  nombreux,-  
 blanchâtres.  Les  femelles  en  train  de  frayer, viennent  au  rivage  se  frotter  le  ventre - contre  les  
 pierres,  et  laissent tomber leurs oeufs  qui sont retenus  sur les corps durs  par  de petits  filaments. 
 u m b r in e   c om m u n e .—  L’Umbrine  vit, de  petits  po-^se^^eEè poursuit  
 indifféremment  tous  les bancs  qu’elle  rencontre,  Sardines, Muges,  Anchois,  -etc.,  
 elle  ne dédaigne  cependant  pas  les Sèches,  les C rA ^ ÎS ^ leÆ ^ fe ^ ’efc^%1^0n  
 trouve, qmpoisson, énr £outi|*sai6on ^dansia M é d lt^ ^ n |^ m â i t  ^ e ^ d n ^ ^ ^ )f fîe rg   
 au  printemps-qu’il  s’approche  du  rivage,  eA:.e cantonne  sur les'hançs ^dmsaMe,  
 dans  les, eaux  saumâtres  du  Rhône,  auxrenvirons  des Martigues.  Sa marche,  aq  
 printemps,  est*  comme  celle'du Thon,  d e 'l’ouest à  l’est j'An  automne,3é l’est à  
 F ou est. ,  , 
 LJÛinhrin^se^prend de (différentes man-iéTes^^JÆfient  quelqupff&si près du  
 r i v a g e , l â   poursuite  c ^ ^ -ÿ c tim e s ,  que'," d ^ |fe i^ e a q x   peu  profondes,  on  la  
 prend Jen traînant une senne.  On tend des  paniers  ou nasses,  amorcés de Sardines. 
 On va quelquefois la chercher à deux ou trois lieues en mer, par trente brasses,  
 avec les filets ou  les'lignes que l’on  amorce  de Muges,  de-Sardines,-de  Sèches,,de  
 Crevettes,  etc.  L’Umbrine mord  très-avidemenL à ces> esches. -Jjîj 
 Chair  estimée que l’on  sèche,  sale, marine à rhmfefeté.-^" 
 U R A N O S C O P E   (Uranoscopus sCaber,  ^eiltrales  éfiiArant 
 les  pectorales.  Long.  max.  =  0m,20. “   ' 
 >  L’Uranoscope est  l’an des  plus laids poissels: de nos pays. Son nom lai vient de ce  que ses yeux,  
 situés  tojafcS  faità   la  j^ r^ .^ u p éw e u re>aii?'ej;âjnéJ,{.âti^ne'.g?dss& tétéjæKffiH| ’s'éîntrlfflk' ne pouvoir-  
 regarder- que  le  ciel  (oûpavè;  ctxotiém).  La  bouche  de  ces  singuliers poissons  esjLfën^ue.Verticale^  
 ment,  leur  p reo a emÆ ^ ç |fee îé   par  le  bas,  ê t,|u i-   chaque ^ a y l e ,   llopercule^enyole  une  longue  
 poinfe, ‘dahgerluée  à l^hlftfr d e J ^ fm pM d g la  Vive, 
 •JQâl*' ~   Uran'oscope  ( U ra n o s c o p u s 's cm & \  Lin. ). 
 Toutes liés bizarreries  extérieures  de  ce  petit  anig|tj é0fSt''êômjîlWè^’S^cSîfeidSdlpffiJî-ieur. 
 1 *  *1  langue,  d H1’ ir brnlein* lian-Jung,itCTsnSai 
 extensible, une sorte de  seconde  langue-dont  l’usage est,peut-être,  de simalei  un  ver pour  attirer1  
 les petits  poissons,  alors  que  l’Uranoscope est  caché tout  entier  dans  la vase.  Kst-raffijwf Ç2P1c’ést.  
 au  moins  pcr-sililc. 
 uitribuTé-yi.toriuu] e de ce-q)q;^W^®»rë,.nous ne pouvons oublier de.signaler l’extrêine  
 grandeur de  la  vésicule de  son  fiel, fait connu des  anciens. 
 L’Urau-oscope proprémen t dit, celai  de la Méditerranée, -a le  corps gris-brnn, à  nuégevu’r'égu-  
 Hèr-sde olap!sjâlf-^s'aÿd^^l^est séparé'e èn'deux  parties,une’pete^'en  s\anlt uû(mmigm'ei?arr1ejvel’ 
 URANOSCOPE, —- La pêche d&ce pmsiofq \ïon t la ( h ur csl  ,pt,p/ estnaiéetinej  
 'se fait gyM 4^pé?lÀnière spéciale : om  k- pffendT pêle-mêle,^x* sennes- et filets  
 traînante,  avec  les vives et ïes poisâoes de fond,  car il ne  quitte pomfeàÉ endroits  
 vaseux.  . 
 U R A N O S C O P U S   S C A B E R .  -   ;Toy.  ÏÏRXNBs^rlir^ 
 y 
 V A C H E . du Ganguià un seul hâteàu.’^ ^ y Oy.  ce‘mgt.$!îi h  
 VADIGÔ (Lichia).  -j-  Liche vAdfÿé.^  ’ "* 
 Va ir o n . -TOîoy. 
 VAlRlNf^2- ôn'désigne 'égaleihent sodA||Pnom,  à AîinpëV/ HAmtrÇâ’voiêi  le 
 VALET. — On  appelle ainsi un m h rc tà il^ ^ h o is  por tant u t t j îm lk t  âH'-fri’curfd-  
 de ses  extrémités,  que l’on  emploie pour tenir le filet tendu à la portée d u  lanceur;  
 Ôïi passe 1 un des Crochets d  ire du filet,J,< et TauWrWüà une  corde  dis- 
 Pôà'éè btmféhAbl^meht.