
 
		352 G U E  LL E. 
 •L@i*s<pe la piiviè^^:t%gï!^'§iÿiLerlîi6rs,-(fc ‘erônes ou. de sous-rives, ou lorsque  
 l’épervier ne peufepas ©pb*P^s,eEj,@ute la largeur du cours dfeaw,- on-a  smn  dy faire  
 bouler  de  chaque  côté par  des  hommes  armés  de  bouloirs  marchant  immédia  
 terneni  derrière ceux qui t r a î n é  Je filet.  Dans ^eàoa'S^iJbvàut mieux  iessihdre le  
 courant.-, ,■ 
 G IL LA RO .  — (Voy.  Gizzard.) 
 g i r e l i é r e .  E ||jp lm ie ‘'Nasse  employée dans-la  Mè&ite#afié,e'.  ce 
 mùf|§i|l 
 GIRELLE fGenre],  (JuIisjCa^ ^ ^ A eantbopt.  Labroïd. 
 Groupe  très-nombreux,  et  dont  la  Méditerranée  e t l’Océan  renferment  un  nombre’coSîéidé-  
 rable d’espèces remarquables -paRjèufs  couleurs les  plus "èrillantes  et Iës-p],us$iver&es,  démembre  
 des  Labres  dont ces~poissons  demeurent  toujours  très-voisins. Dqrs.ale-îmioieidexrayons  émneux  
 roides  et  piquants;  tete  toute  dépourvue  d5éca1liesr,  dentS*  codiq^ei^plu^Wârae'^en^vanlËvec  
 molaires  emaillées variables,  ligne latérale non interrompue, mais fortemenrroirMBvis^vif'de f§  
 ddrsaie. 
 Espèces  littorales,  vivant  au  milieu  des  rochers,  et  se  nourrissant  de  mollusques,  oursins,  
 crustacés, etc.,  dont elles brisent les  têts non-seulement  avec  leurs dents  des mâchoires,  mais avec  
 leurs pharyngiennes  fortes  et  coniques.  (Voy. Nïes  môts..) 
 GIRELLE  COMMUNE  (Julis viiïtrarisi cllll&BAcànthnnt.  Miroï^'Lon^max = 
 Syn. :  Donzella, Venlse_T —, Ma?iff/itiïà-rfi-re,-îta'l.'  ' 
 - GeSaLabres  sonLcqijâ^fotiJque-.  de s, p<i j y   h mds ,'fir/  au  plüs^M*r les 
 :  " l ’ ig-  ^16. —  Cuv.). 
 nombreuses  espèces  du  genre,  une  seule  siavance  vers'Je  Nord,  jusqu’aux  côtes  d’Angleterre.  La  
 Méditerranée n’en  a  elle-même que trois  ou  quatre. 
 Dos  vert mêlé  de blanchâtre ; bouche  latéralement rouge  orangé.  Sur  les  côtés  une tache bleu  
 noirâtre :  ventre  argenté glacé  d’outremer. La  dorsale est  rougeâtre,  bordée  de  bleu  clair en haut,  
 verdâtre en  bas,  avec une  tache  bleue  bordée de  rouge  vif.  L’anale jirésente  quatre  bandes  orange  
 frâfe» rose violet,  orange  et bledâtre.  La  caudale-  a  Ies~ï>oç.t_sÉleuâtratLat  l^eôrpj vei^toafficyites  c|S  
 nuancés  sont plus  ou moins^vives, suivantes*individus'.*" “ ‘ 
 Ces  Labres ont  les  pharyngiens  semblables, à ceux  de  toute là  famille. 
 D = 9  +  12.  A = 3 + 1 2 .  P = 1 3 .  V =  1 4 -5 .  0=14.’  ! 
 -  ■  La Girelle  a  la bouche peu fendue et  peu  protractile ;  elle porte  une petite  dent  obliqué,  allongée  
 comme  une défense de  sanglier au  coin  de la  bouche.  »1 
 g ir e l l e  commune. — Ge;s magnifiques labj?6 s. sontJittoraux; ëôia>me B lS   
 pa®mi lès roches, etsurJ^^cëEe.s.maÆ^iirilia^apiE’Il&Érôttveiït  
 en!^bo1n,dancje les mollusques^les, oursins» ftt-autres  animaux à-besMnp-qii’ils“bri-  
 se^tÿfacilement au moyens de leurs  dents fortes  et- coniques-, i non-seulémën|if-des  
 mâchoires,  mais dn pharynx ; - 
 G lu  llîal-. 353 
 .« ^G i r e l le  eSfHæès-commune fe t^h h ^ ile sim é rid io n a le s,  et présente  un grand  
 nombre  de variétés.-quLfonttfpiJHemehGdes'-’mareifi'és'.près  de ces mers;  leürs  cou-  
 lei^M^pi&âibles  semblent varier  autre, et toutes-sont également Hdllês. 
 La variété  ordinaire porte  une tache noire  et une  bandelette  orangée à.bosds d en-  
 noire’,  q.uoiqu’^&^ôWfesfqiie-f’.s’efface  cependant chez:  quelques  
 im lS lg ^ l’d & t r î \ l ° j^  ?lle^eg|‘hleuf JîSnre.  I 
 G I R E L L E  P A O N   (Julis pavo, 'Gui.)r — Acantho’pt.  Labroid. Long. max.^St^jyS.  
 Très-belle  espèce,  commune  dans la  Méditerranée,  à  écailles  minces  et grandes, à  corps  d’un  
 brun vert doré, rouge-bran sur la  tête. Les écailles et les nageoires  sont marquées  de taches  rouges,  
 de points,  de lignes  qui en font un poisson  très-remarquable.: Le  bleu, d’azur  règne  sur la  tête par  
 bandes irrégulières.-Souvent cette Girelle porte une  grande tacbe bleue  sur le dos.  -  
 B =  C.  D = S  +  13.  A =  3 +  l l .   P =  15. V = l + 5 .   C =  13. 
 G I Z Z A R D . E 9  Kii  L.t 1 andijg w fait  une  Tifrit^&irticu- 
 1 L C ^ ta c iu e iy pn  ^.ont^r.fe’n o jm p ^ y a ll  on  Irome-dans  tojcyklu BH HH H N nB   
 citons  ici  parce  qu’il  serait  intéressant de l’acclimater  dans les nôtres  (?). 
 Ges poissons se font remarquer par l ’épaisseur  de leur estomac,  appelé  gésier  
 parce  qu’i l  ressemble  à  l ’organe  analogue  des  oiseaux.  Leur  nourriture consiste  
 surtout en mollusques  et en limaçons  ( èpendant ils  s’élèvent  rapidement  du  fond  
 v ë r^B S rfa e e  à l â  vue  d’unc^noucKe^O 
 îfLACE (P ê ch e   a o u s   la ). —   A lo rS ^M a  glace  emprisonne des cours  d’f a u  et  
 Ifs étangs;" fes p o iso n s éprouvent u n e ^ f f ^ ^W â c i l e  à comprendre, c â l'e lle |re n d   
 naissance  non-seulement  dans la  diminution de l ’air respirable,  dans w ÊÈÊÊÊÈË  
 Lion d f f iH H n s a i^ g s  que laisse échapper  la vase,  mais encore  dans la  pénurie de  
 ‘  fu tu re!  portent en  foule  vers  les  ouvertures I 
 "  PQiiJ ra it  f .i® à  'Ïa'feitur^&#f4fe'' ÿMéû!  - 
 ^ ^ ^ ^ g q u i  mri^e-^ ^ ^ ’mbye^dfe^ la trübt’e ^ ^ p àu s ’^a^jflÉfdes^fil'èts/le pê-  
 ( jM f a i t f a c |e m e n ^ e j^ l ^ p | , ^ î ; ' g5 ^ » g h (tA i^ fen s   pas ^ t e r l i â l É M   
 C(lL1ABs2ffi»  g ^ ^ M f f ^ a v ïm s  attaque  dé la pê’éhe au  feu;  p a r c eW ^ i ] 
 le pêcheur ne choisit pas, — il ne le peut pas, — il prend tout;  et, comme les petits J  
 sont beaucoup  plus nombreux, plus affamés et plus malades  que les  gros,  il  détruit  
 et  mésuse.  Aussi,  la  plupart  des  arrêtés  préfectoraux  rendus  en  conformité  ®U 
 ®S?^ îtgmBre 183o>  avaieriW's%ff m S d n 'f ^ é f e h d ^ â ^ h 'é  surda 
 que le-’ff^lement  d^admiiiistration  p u tlfù é ; ''qffi  va paraître’,  en  
 '  èxé^^S^de l’art. 1er>®e la Toi dil 31 mai 186è,  sSI^aüssi1 éxplïçitk.  1  
 GLAIN. —|fem   du Merlu {io f. :Séffîqf)£i* Saint-Valéry  en'ââux. 
 GLANIS (Silurus). — (Voy.'S&tlmE.) J‘‘ 
 GLAOU CHOOt[J^sNom prdtençal%S-:. Ca/mar. 
 GLAUCÛS-(gqualtis) i -^l'Voy. Squale  
 Glazelle. —'îNomJbreton è&“S'û^gue.  > 
 globe.  417)be§t ,emplay:é* d a ti|^ p c a n a u x  eticoW g’eâm’âè I 
 l^0« ^ ed* 8-eUr^<®Ui 1 fÔQ:t  c l“ felUDi?ia6È,les étangs  Méditerranée'. Gn 
 I établit sur les berges nues,  dépouillées  de végétation,  après  avoir  étudié la  façon  
 dont s opèrent la montée  et la descente  du poisson. 
 .,1’  ©lobetsëicompose  d’-dn‘ filet l'earré'-dnhMes-mailles'ont  0“,30 en  carré  :  la  
 » « i e - c a ^ . d ^ e x c é d m f f e   1  501a>îar’gèiïrdd-u-oourS d’eau, ’affadie pou-  
 | | | H K  tma-ponhe ta««!fe,t!re.  ïïlest monté,  p a r'lé^q u a te ’feôlés,  sur uné cor-  
 é l ^ d ^ b a n w f e rm a n l i   kmcteA-sés. Angles;  Dans) cës'%oucles  passent  des  
 corces dont deux vont s’attacher à deux fortes perches  placées sur une rive,  tandis  
 î«e les deux autres  vont s’enrouler sur  deux tambours ou  cabestans placés sur  la