fin d’avril ; le jour ils demeurent connue, engourdis sous les &a£8fp, des arbres, au coueber du
sSlëil -i'Ië'^voïSrfÊ lôurdemeHï en’ se lîèurt'ant paKoutl'
Lafeînelle dépose vingt.’à" trente-oeufs! à 1Ô, à 20 centimètres (Je profondeur dans une terre 1<S-
gn najssgnj; 493) sont des. W ^M s ^ :,;k^rçs k i ■ ■
Mans si funestes au iaçdjnage. Les vers mettent trois à "quatre" ans à par-
courirleurs jpglamorphoses pour arriver' à î’ëtaf parfait;1 fis 'sonîYu&'-l
mêmfs'une îionnë esché'poifPfes ligne's'^fonÿ,* i?t serVerfr "très-bien à
amorcer dans la terré gi£dse,!:etc. |
i .(Jfoj; gNPERnfeK LES INSECTES.)
HAOUCHE. — Nom de là Baie coucou à la Teste. {YoyjB
RèïFS, îsifjf abye I V M iW t , liiï-J - < r-! jf 3- - Lavve du
HAHANGADE. —‘*Nom des kautspalis; d^s^mmlgues. Hanneton (Gr. nat.).
>><^aaaçi les environs de Marseille".
H ARANC^UNÈRE.^ p ^ yrtonyme de,; kauÇs ÿalis.
HARENG (Clupea harengus, Lin.). ^ IJaJÿkGopt. abd. Clppppïdes-^bg. m t —çmtfJj
Syn. : §tjd, ife yj^- Ifaeringr, îslaiÿj. — St//, suëd. — Serringl%^. [fanng, ail. — Haren-
ÿÊÊÊÊk>'‘~ fîareMYe>JbrfP- — Kapirelicic, ‘grimai. — fomnogl gâjiàis.14'
’ ™out le-monue comtffle! Harêb'g^ dô&t ,:Ife cérps 'allongé ‘et un peu comprimé présente une
carèJM^ïffîhahté4;' solfe^le ventre, 'fdriné jfer une série He deritelures. ‘Les nageoirêPfèOtraies sont
situéesl'vérsLe,mittau du poissan gt aucune >épine,-n’existe à-aucuiiedes nageoires. S 3e |jjjonche projractiles ; Jes^ouî^ sonj, très-vendues, les, mâchoires perdents
aux maxillaires,f| « ^ a n ÿ lOngîludïnafei>dë apàls plus larges an tomet siir
laTangneefaêux oü trois'pkités sur iës'Cotes au pufais®" 3
Les/yeux grands et placés à égale distance entre le sommet de la tête et le bout du museau.
'Cepoissrbfl.'Miurdau^tôt sorti dèifeau. '
(Voy. Temps de *-t
sla jS fS I? 4S £8? est bleuJoncé avec reilets | | n £ vaut l ’incidence de la lumière,les côtés
S » j& fa e érgentees.Ca caunàleeiia éôrëafl forièeës^ les anfreSi
nag^res’presque'bl^ncë^r*1®
" Dorsales, lT^à"-i-9 ràyons; — pectorales, 15 à 17 rayons»; — ventrales, 9 rayons; — anales; 16
à 17 rayons ; — caudale, :20 à 23 rayons.
- #pe Hareng n’existe que dansJ’oeéap ^Septentrional ; U est déjà très-rare dans j e golfe de Gas-
l^ > e ; on le .trojive^qudquefeisà l’île de Ré, mais peu aujlëssous ;*au delà de Ee^ ou S ta r eAe la
Lo^rejl rf’y aplus eue des individus ’ égares, i t , ’ dans lieaùcoup d’aéheés', le cap Finistèréleul’é k
une bar-rière'wuHls ne ’francnissent®pour ’àihsi dire "fias. “ '
C'est» une erreur de croire que le Hareng mênrt foo/oura..en.sortant de l’eau. Cédait est vrai
pris au grand filet qui l’étrangle et le serre, mais autrement ii saute encore pendant
plu^jd’^-n^emi-beijre après êtje mis dans .le bateau. Ce qui est certain, c’est que — dé même que
•f S^di^^Ol^fait entendre Smpjetit cri avant dejnonrîrYcteYoi j e là Sardimfrèssemblé’iin peu à
k fflwto tgs An|]àîs àppféüënt -ïe Mfuif # | ' ^ è d j i l l t e i n c é s àiêoai &
qui; remjnên l’effet produit."
Quoique le Hareng ne remonte pas dans les fleuves àjjinatar .dp l’IUose, pn g^Sès exemples de
sa présence dafts.Ies eaux douces ou tout au moins saumâtres. Le (flux d e là base de la Seine fait
l ’MTOÿgjS.remoriter des bancs de .Harengs jusqu’à QuilJeboeur; maïs ce fait n’arrive jamais qu’a-
près le'frai. .
h a r e n g . -t^Céjn’est point ici "le. lieu de" parler db"s immenses pêches dû
Hareng oui (se font! au filetjéf! fournissent Hne-ifàpbijakfê'KriàiHhë de ‘comfeercfe
aux nations-maritimes, e | ‘ un artic|e’ fecherch-é de ë^nèonimatfon à jdiis leé deù-
^ d u m o n d e , nous, en parferons toüt ad‘Ion g üans ïé déuxî&ne ’ volume de cét
i i^ ^àndes-lnditstriès cfôs JSàiuci Iëî iS w uirofeS ün mot dë
Ç|HtAi,re de ces poissons à l'hameçon, quand ils apparaissent .sur nos dbtes j
..Oi^peut tendre des%Kes; aônt'"les ïiamê^it/ssont appât'és’ aVëcf dés vers de
mer, des inorceaUx dé Haredg,' ëxse plieèr jlir"learbcHëYs'de"là"c8té". Oii en a
Ms.&cüement et souvent à la mouche, artiflciëBë,f suivant Pennant," et rien n’est
^a?deTg£e d^en Drendre* d^fiéîiÈers 'ailisîj'car les Harengs se nbürr&èent de
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