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 sSlëil -i'Ië'^voïSrfÊ  lôurdemeHï en’ se lîèurt'ant paKoutl' 
 Lafeînelle dépose vingt.’à" trente-oeufs! à  1Ô,  à  20 centimètres  (Je  profondeur  dans une  terre  1<S-  
 gn  najssgnj;  493)  sont  des.  W ^M s ^ :,;k^rçs k i ■ ■ 
 Mans  si funestes  au  iaçdjnage.  Les  vers  mettent trois à "quatre" ans  à par-  
 courirleurs jpglamorphoses  pour  arriver'  à  î’ëtaf  parfait;1  fis  'sonîYu&'-l  
 mêmfs'une îionnë  esché'poifPfes ligne's'^fonÿ,*  i?t  serVerfr "très-bien  à  
 amorcer dans  la terré gi£dse,!:etc.  | 
 i  .(Jfoj; gNPERnfeK LES  INSECTES.) 
 HAOUCHE.  —  Nom  de là Baie coucou  à la Teste.  {YoyjB 
 RèïFS,  îsifjf abye I V M iW t ,  liiï-J  -  < r-!  jf 3-  -   Lavve  du 
 HAHANGADE.  —‘*Nom  des  kautspalis; d^s^mmlgues.  Hanneton (Gr.  nat.). 
 >><^aaaçi  les  environs  de  Marseille". 
 H ARANC^UNÈRE.^ p ^ yrtonyme de,; kauÇs ÿalis. 
 HARENG  (Clupea harengus, Lin.).  ^  IJaJÿkGopt.  abd. Clppppïdes-^bg.  m t   —çmtfJj  
 Syn.  :  §tjd, ife yj^-  Ifaeringr,  îslaiÿj. — St//, suëd. — Serringl%^.  [fanng,  ail. — Haren-  
 ÿÊÊÊÊk>'‘~  fîareMYe>JbrfP-  — Kapirelicic, ‘grimai. — fomnogl gâjiàis.14' 
 ’  ™out le-monue  comtffle! Harêb'g^ dô&t ,:Ife  cérps 'allongé ‘et  un  peu  comprimé présente  une  
 carèJM^ïffîhahté4;' solfe^le ventre, 'fdriné  jfer une  série He deritelures. ‘Les nageoirêPfèOtraies sont  
 situéesl'vérsLe,mittau du  poissan gt aucune >épine,-n’existe à-aucuiiedes  nageoires. S  3e |jjjonche projractiles ; Jes^ouî^ sonj, très-vendues, les, mâchoires perdents  
 aux maxillaires,f| « ^ a n ÿ   lOngîludïnafei>dë apàls  plus larges  an  tomet  siir  
 laTangneefaêux oü  trois'pkités  sur iës'Cotes  au pufais®" 3 
 Les/yeux  grands et placés à  égale  distance  entre le  sommet de la tête  et  le bout  du  museau.  
 'Cepoissrbfl.'Miurdau^tôt sorti dèifeau.  ' 
 (Voy.  Temps de  *-t 
 sla jS fS I?   4S £8?  est bleuJoncé  avec  reilets | | n £  vaut l ’incidence  de  la lumière,les  côtés  
 S »  j& fa e  érgentees.Ca  caunàleeiia éôrëafl forièeës^ les anfreSi 
 nag^res’presque'bl^ncë^r*1® 
 " Dorsales,  lT^à"-i-9 ràyons; —  pectorales,  15 à 17  rayons»; — ventrales,  9 rayons; —  anales;  16  
 à  17  rayons ;  —  caudale, :20 à  23  rayons. 
 - #pe Hareng n’existe que dansJ’oeéap ^Septentrional ;  U  est  déjà  très-rare  dans j e   golfe  de Gas-  
 l^ > e ;   on  le .trojive^qudquefeisà l’île  de Ré,  mais  peu aujlëssous ;*au  delà de Ee^ ou S ta r eAe la  
 Lo^rejl  rf’y  aplus  eue  des  individus ’ égares, i t , ’ dans lieaùcoup  d’aéheés', le  cap Finistèréleul’é k   
 une bar-rière'wuHls ne ’francnissent®pour ’àihsi dire "fias.  “ ' 
 C'est» une  erreur  de  croire  que  le Hareng  mênrt foo/oura..en.sortant de l’eau. Cédait  est vrai  
 pris  au grand filet  qui  l’étrangle  et le  serre, mais  autrement ii  saute  encore  pendant  
 plu^jd’^-n^emi-beijre  après  êtje mis dans .le bateau.  Ce qui  est certain, c’est que — dé même  que  
 •f S^di^^Ol^fait entendre  Smpjetit  cri  avant  dejnonrîrYcteYoi j e  là Sardimfrèssemblé’iin peu  à  
 k fflwto  tgs An|]àîs  àppféüënt -ïe Mfuif # | ' ^ è d j i l l t e i n c é s  àiêoai & 
 qui; remjnên  l’effet produit." 
 Quoique  le Hareng ne  remonte pas  dans les  fleuves àjjinatar .dp l’IUose, pn g^Sès exemples  de  
 sa présence  dafts.Ies  eaux douces ou  tout au moins  saumâtres.  Le (flux  d e là  base  de la Seine fait  
 l ’MTOÿgjS.remoriter des bancs  de .Harengs jusqu’à  QuilJeboeur; maïs ce fait n’arrive jamais  qu’a-  
 près le'frai.  . 
 h a r e n g .  -t^Céjn’est point  ici "le. lieu  de"  parler  db"s  immenses  pêches  dû  
 Hareng  oui (se font! au  filetjéf! fournissent Hne-ifàpbijakfê'KriàiHhë de ‘comfeercfe  
 aux nations-maritimes,  e | ‘ un  artic|e’ fecherch-é  de ë^nèonimatfon à jdiis leé deù-  
 ^ d u m o n d e ,   nous, en  parferons toüt ad‘Ion g  üans  ïé  déuxî&ne ’ volume  de  cét  
 i i^ ^àndes-lnditstriès  cfôs JSàiuci Iëî iS w   uirofeS ün mot dë  
 Ç|HtAi,re de ces poissons à l'hameçon, quand ils  apparaissent .sur nos dbtes j   
 ..Oi^peut tendre  des%Kes; aônt'"les  ïiamê^it/ssont  appât'és’  aVëcf dés  vers de  
 mer,  des  inorceaUx  dé Haredg,'  ëxse  plieèr jlir"learbcHëYs'de"là"c8té".  Oii en  a  
 Ms.&cüement  et  souvent à la mouche, artiflciëBë,f suivant  Pennant,"  et rien n’est  
 ^a?deTg£e  d^en  Drendre* d^fiéîiÈers 'ailisîj'car les Harengs se nbürr&èent  de 
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