PANTERME. — Verveux la
mort. H H 1 B ç p ç tç iG ^ s ^ ïi^ fë ^ H H I I 1 H 1 H H H !
PAPILLONS — L’e t ^ i 4 es g H É un des jtyp U H M f
DÔcheA la surprise-Atàdamouoke au l ^ oe s MalKepreusefiept ^ H H H H
* * “ •• pftftfeS 1 a, du
«.oprgs du P^pMdpSj&ffl pas
.g^sez-, gpapde pour régate r
d e l à iMQâiffi&nd
elle se déMéro^BüS. les
•PapülÆiBiSôpt ^qn^pcfc la
Lpèàe"3yla^ui®ise,, iM u
haut - deSiÿp g .quje
là il n’y a pas de choc K
L que la poussière qui Kyêt
/’•j. 7R^ — tionûs^xiFtt^, msit • t fpn,^itp. J permet pas à W^a^Æ li.s
mouiiler fecilemeïrt, doue, îl résulte qu§|^TajemtBent
aisêïugnt et longtemps à sgfeSurlaÆe.. ■ > - . , . v
Lesmeilleurs Papillons sont ceux de nuit etles crépusculaires dont les corps »'-ut
gros et succulents „J^marmi
|p.ii»y&^ plha& eom-m-mes^ sont
lft^aniJl(m^(ffiiSm|eSa(iila]i e.
et an .r l.n n fêfilCjq ( ■! i e-:-i Las Km -
eouAhÔal JSi/Àlie a -
[.< 1 ;i,ifi (■ e s , fruifeps, les
^& p ,s ,d î^ i Vf
menades de tilleuls sont, M
litoüjflfto.^ é lu ^ i î e i l S i i i Av H
es
B^imn,u«ïKMtrfkie^s, et passent
Fig. 767. - Bombyx de l'aubépine. ^ " J ^ ^ Ena r tildVfi^ ^CT I .'S du
matin et  cpmme jiné
[fes Papillonrdu bombyc ^ d ,^ ^ e -.S 9 jp t t ^ - k d t } ^ |^ e ^ danAlgsl0 p 4 ^ r p |g p a -
neries, ils partagent avec
Mç^glrÿs^A.eg jdqr||s K
[n,rMéa:«M^Sa.ttiEer - foute
espèce de poisson. '
, .CiloqM^papqiu 1® espèces
jti^uver
dans gotre »paysBpom-
rfy,ce.4fivpfif^(^.dÿi>yx neus-
i^M^Lla.) y î j^|.6Îà^orps
[brunâtre et àjfàil®lê!JPes'
à ligneg'tpMs ; fap.fi ek, qui
; .Fig- 788. -7 Bombyx processionnaire, / •,: H?ï],i 3& tient en forfët et;dajQS les
jardins,-subies arbres .fruitiers. Le B. de. taubépine'{B. cPatoegi, Lin.^^f^r
ailes;gris brunjou cendré, avec désalignés plus*doncées,'un peu plus petit que»,
précédent, vit sur le prunellier, l’aubépine, le prunier sautage, le cerisier, e|g.
jje. B dkhpemonnaire 768) à ^ ç s ^ g p s cendré, trois
swif '^ tT f o F ^ lÉ n f f lO l une &ur postérieures, A.côté, lé
pin. W^Mp^pjtQÇMapQfkc^vasi -feçéfe dg ,*r çsyig ÇUSfîîste
Le (£.,mbi. .LirrS d^ E ]7691 npA^à|aiTea hrnnes et grises blan-
Fig. f&9. — Bomb;ÿx dé là ronce.
.Offl^hj.L.e B . J p d S o â p ? .
pudibunda, Lin.) (fig. 770),
à '.ailes ,aütérii^uoi^ |M M A J
les secondesavecunc LuÆ&,r,J
jgglfbrane. , 1
, .Léfe^y-g ^^ÜnuMéB.
H H (âa. 77d;îlia^âl
J o u zîço s® ' ]
( f j B / 1. Lin.) t o u s \% J
deux blanchâtres, et
iniuiiydjans -le stlan rii^ fJ^ î^
P ^ ï u u ' ï 0' ^ * t a nt &I1
i ( ‘-oujeiur ojanje que dçSIFur ahondaucc...
iSn^nA mais sont rarement
a.^mPfflmLiunes^^towq-pe 8 _
clraK^^provi- J
sente, c’est au ■ rÆ?Fmni' à
ne pas le négliger, puis- 1
<j u'i'lwjfatièe uâ tboniiës«»^.
tions à la
raunK,^ 1#- destruction de
de bos boîâ et
^ a ;aïo'®'®^6rs, l',eï se-- I
p> i^ ^m ^u n c^ a 'lroM an te '
'j^HB^anglé-^.pois^oiis se jnontr.entJtrês-friands $e l’esche' qu’il leur présente.
.^êÆtëufiiÏÏoris diurmi-êont aodæ ppur te,.pfehe, m-a^:IâÉ petitesse de leur Corps
lP^ ^ ^ ^< ^ e to is d>i'|&(àle d’y introduirèiôYî&menif _
mtjïÿM fipn assezvgrôSfi^ppndant quapd. o§:jp . J
P^^^kjg^pcur^ des Papillons de nuit, ceux de J
appelés, A. rendre de ^aÿ.d^services,
surtou^ JeileigUps des phapipp' qt^eg prés/ dont
^^eftlesisont molles,et. p é t i l l é ^
On renferme lesPapiJlQtts dans une, des boîte
^•^ % 4 é s (fig. 772 et 7,73), que l’on garnit
^^^M ^fîMtge et assez flottant pouppe frpisser
leu|rs ailes quç,le mpins,possil|le, Dans tous les cas, - /
le pêcheur fera ^jen de se souvenipque tp ^ o e s/jd
ammaux, slirjput les nqoiurpes, laissent échapper ^ m __Soab cupbrmt
.Ps à'ês’p'oils rigides qui s’introduisent
partout,- et dont J,^ contact sur rla pe,au déterminai entre les- doigts, et sur les mains,
des-boutons très-douloureux, A plus forte raison, faut-il éviteapde respirer ces dan