
 
		flo  la inai'tî,*^rèè‘*d:©rla  o&bne., en baisse  celle-ci,  et fcoti 
 rètfre  lé tout ensemble,  ; 
 l’on  est oMlf^de pêcheî'^ÉjbPtes'piëux # ’1301.moulin, Ld|un,  barrage,  etc^  
 e’est^-€lirëw^fe^>^^.'§;;v4^^®ë%on' • ne ^veuille ïpas pêcherAilà inainp;l|faut-|iéa|opr  
 ter  la 'cfehnëf  et’ se  servir 'Mtfe^mtehlèmeni;« que  l’on  fe.it  entrer ,<|iq^?lç 'gros  
 morceau du bas êfffië• ■géîfnïssKnt  dé’'1 pcCpFfen,-; de -bouchon,  êtes Demette,  faço®4 Qjp  
 gardé  teBénéfiee tLébèéi motilinetrf' -, 
 9^4w 8 l^ ^ 8 S < < ^ 6 i^ € ^ ^ p ô c h e   h scmtoifehà  la  canne  peut, »fwrçid  eUe&eet  
 biëïircomp'tèèf^mhrasser tôusi#ëèr'%as possibles-; -Thème  les  pèufô dt^toles-,  IXàQÏ'  
 qu’elle s’adres^prinêtpfepment  aux  barbillons êt  aux  poïssôns  de fondpq^tpeu^,  
 en chkngeàntwlEBS^onS dë:g#tëseur, pêcher depuis le Goujon' jusqu-’à- ty^a rp e .  
 Four le'gros'poisSon,ifeâ^^ met jamais qu’urf hamejjhn *qaefar-le- moyen,  on pepit  
 mettre deux h'afheb’ohs, mais daitê ee*eàs;  il ne faut jamais escsheê’dëidéUiX majiàëR®-  
 diffërentesj  ôâr  lé  ferrer  n’étant  pàMe mêm«lp«€r-toutes les .esphe%,#>t plus ou  
 moins -Bé'^Ëhtèsi,i-t-i,rdÈ Terrera  où' ti^ ^ tô t  où  trop  tard; 'pour,^ÿpe3àa|^^^m  
 de fend,gtyjfitk, pMlbarbiUm, Mte, civelles, /»fie, «te*,  on -met une traînée-d^Uou  
 4 n“* 12,  tdôsëièhêS de la »%laè manière.  ^ 
 ^.u printemps* on,pêche avèmdes v„ers rouges gros et moyens 5  eh ^é^à.lu'han-  
 lëtte,  au  fromage  de Gruyère,  aux astjeptg,  etc.;  en anJjjEMhne^ lav an d e ,  aux 
 îpÉiéue#d^&S^^®Ç étc.qëtè.  - 
 Quelle  que  rembe  donfloeFfe  serve,'-ihfeùt .savoir-  lancer  sa^ligne  
 dans  Jfe ’eas  ordinafrës';  c’ë’sft  ce  qui^feoùs  allons  expliquer;.-maintenant  que  
 ■  -neas’'avons  passé»  eh revue. lasphaMc 
 ife fliv a iït tem^É  feut apprendre  à  la-monter': 
 rien  n’est pins aisé'.  On B ,  Olives de pkfmb.  ,.  -  ,  ,  , Ü Ü I d’-ahords-l,i ligne  ver-  . nià*cm  moulinet' dans les am^eau^fae^fila^eame, m   
 I l’om'ën fait  sôrtfr ùavfrôh' aussi* long  que  la'camhe;«pBSiHfemëqOn  ehoîsii -alors  
 une,avancée  de  raefeè  forte), de. 4  mètre,  à  laquelle  on .a  attaché  un hameçon  
 empiléÿ-en passant e s  boucles de l’empil^jS ddteà:de;abàvanq4e -tes  
 une§  dans  les  autres.  Oh ?ènfiie  une-ou  deux  olives  dg;.'#lemb  
 (fig.  973$' (suivant la force du courant) dans le  fil  de  la ïjigTSà^t, et  
 l'on attache le» bout de » la  soie  à  là b ouc le sup é r i eur e  de  l’a van cée  
 par une demi-clef soigneusement arrêtée (figi 
 0n  posë'sür  la  soie,-près  de  la demi-elef,; un petit p lom b é .  
 demeure,-et^ trèsTSouVeat  eétte  précaution  est,nautile,  la J8bj.e  de  
 Fig.  874.  tes  De»i-  
 1   .,-elef.  à  ■ 
 la  ligne formant  le  neeud de -la-clef suffi t  pour arrêter la.plombée-autant qu’il est  
 nécessaire. 
 fta’ pose à   son fiàfeëçtfe ï^cfeé i 'eboisie/.soBt'un  ver-mis  ayec beaftéoi#P Me  
 soin,  soittm dé  de fromage,  etc.,  pulsion lance le’tout à l'eau T 
 Pour eela, o®t descend fa-plinifeëe, que ÉôÉ tièhiSe  la main’gauche,  à O“ ,S0  
 cw  4 mètre  plus bas  que la  canne, c e  qui allonge  la . ligne  ‘d'autant,  et â’oiftpré-  
 sente la canne bmvsonbsiémmt àu-dessus“de l’eau: ' La relevant alors  d’u«§. secousse  
 modérée e t dlchaht  le plomb, eehiSM .démit  une  courbe  daûs  l’air j.e| 'ï s’éloigne  
 du pêcheur.  QuandiLestarîFivéà  la portée  désirée, ©a baisse  doucément la canne  
 pour maintenir la lighië tendue, par i©.plomb; h t  celul-èi  tombe  à Item  sans  tenait  
 et sans secousse. Soutenu  amsi par la  main  et .par  le courant  de l’eau,  le  »plomb  
 gagne le  fond  tout doucement;  le  pécheur  s?aperçoit Men sur^udCil aÉifoser ear  
 s’il ne  sent  aucühe  seeousse,  le   plomb  eàt: sur  de  l'herbe  ou dans d e là  vase, 
 alors,  pour que  lé  poisson puisse  voir  l’esche,  on  relire  1%.ligne.un peu à droite,,  
 ou à gauche pour  tâcher do  la  placer  plus avantageusement. 
 Comme  celte  pêche  est tout  à fait sédentaire,  et q u S |s ^ ?ait  fatigant  de  tenir'  
 îâ ^mne  à 14-j)Bai%-PjeHdastt  ée  lg^gupà  ,®8  pèeheidril’à#S#d, et  plae# 
 canne en  traveÿà’#iy8^&^^g^^g^to, et le bras  appuyé sur la cqjgçe gauche. 
 Dans une quelconque  des  p_Qsit|§ps q u’il prendra,  le pêcheur doit  se  souvenir qu’il  
 •'i§!i paà-de  indique  ce  qui  se passe 
 auprès  dej^h^xpefi^uj et qu’il  est  donc  feÆ j^ ^ s^ J^ q u e   la, ©aune reste dans sa  
 main ppqr lui ,tranamettJ?e tçs» ,yihrations- et Ijfe^n^oqp^jquoed-c reçoit »cfe,  lad ligne.  
 Gluant  au  feri eim^lSl^mÆ^feëpdrtcppmÆne nous  avpns  dit  plus,  hau^td^  là  
 pêche  à soutenir  à  la  main. 
 p ^ n  ùfiut .ennnyesnlan^rria'sfianùeitolér eù^.tftri^.Æt aDnuvée leiQng de . la eiiisse  
 droite,  la  mais  on fe^abien^alprs^e ne pas  quitter le  scion  de  l’oeil, 
 car c’e s tiu i quMndiquera l ’attaipae du poisson. 
 ■  Lorsqu’on'pêche  h^fâHiotdette,  il  nfe  faut  ftïrtglBwWWfî iiu’P ÿ ^ F 
 ■ aiiëTir de Muiue,  e l'c b ^ ^ E K e |û ^ ^m ^ j;ivt*^oes-jéndrè  ,il  faut 
 “ û^ref  à  là  re’attaque  : jl afe^*,4feiBB^té'4l!iSfiete-  -pniu1 lq^^Rdqmde  
 fond.  (Voy.  ces  mots.)  a 
 SlSi-l^ean esfehleiîp&'et transparente,  le  succès d e là  pêehe  à soutenir  
 . probable’que  si Téau ‘est troubl ée’ et 'jaunie  par  u n '& e   ou  par Res pluies  abçn-  
 j^jintCB,, d  rmonis  (jfyq L’on ne pêche "dé nuit pp^ç^très-grand !matin_:  car ' ql ne faut  
 .pas oub’üer que .^ ^ fe.nMhe~est vraiment la pêche d’un^avgÿiglëjÆt par conséquent,  
 qu’ellqpéfdfie ^ ^ e ^ s ;^ j^içn^3qt-mêmg mieuxj— lâjjeSt»çnÿe-le jour. G’est  tou-  
 ’.'•jpurs en-i’ahisenee d’une forte Lumière, e t (fens jm è  eau' tros^g  que  les Bwèiüon» 
 ' suWqht, - et la  plupâ|’f îdes  poissons  de  fond,  abandonnent  'les  
 ^S êh p iâ e a  sous-rives-et les^av^Sëÿ d u  bord-potfr'aller à  
 ^étïrafto?;. 
 SOUTENIR,  EN  MER.  (Pêche à) —' Gette pèche  se  fait  ~  m ' 
 surtout à rentrée^desjports  et  sur les  jetées.ou  les-rechers'^qui  ?dN,rfeSvei^s^B  
 plombèrde niveau  def-h^mer-t On  choisît  un  cordeau  de 'c h a n ^H lé a f dlvrillé  
 (*jîg.  973),  âuquêl 6n donne environ 
 BcHiBraBiat TmHMieBuBxW MseW  aBeKrPvSiBrI  WdÊ’uÊnÊefS Êlifmgn ^e  '  I  'Fig, 976:  w^sffè-fone.  7 d e  t 4res-iorte  {pg.  976),  bien 
 dévrill^^ peinte et vernie.  A l’extrémité A  (fig-.  977),  on attache u h  jflomb dê fond  
 en'iKve.  Les pêcheurs  de la côte  y mettent tout  simplèmeht "Mê,- pierreasccpoids  
 est  nécessaire  pour  que  lë  c o u r a n t.^  ,M  
 qui porte  du  large, au  fond  du  port- et  
 ysgice  versa,  à la  marée montante  ou des-  
 cendante, — n’entraîne pas la ligne etine-j  
 -la fasse pas» revenir au bord; 
 Au-dessus  du  plomb,  à  0m,13  de  
 distance,  on  attache  une  première  petite 
  baleine-B de O*6,45  de longqeqr, puis  
 une  seconde  à  0“ ,S0  plus  .naiit,  et  uqe  
 Fig,  fêfL —  JÉ^aaiCÉli de ia tligtie  à soiitenii 
 ;lîtfoisième à  0°‘,S0  au-dessus.  Ceg^p^titcs,  
 haleines, miàces. et  fiexibles,  ont pqur hqt*..{!’empêcher, les empiles  des liamqgons  
 de  se mêler  au  corps  de  ligne.  A  chaque  extrémité  des  baleines, qii attache une