emporter à la fois. Gfest plus q u îl ne faut pour avoir tous l^rechangesfcçssibleB
pendant une partie de pêché même assez longue. Chacune des coches est inon^u-
hire RG (/î<?.863), -et non pas arrondie ; il fallait rassembler les lignes juxtapo-
r 4 5
C^ - ■ z ' =
Fig; ge l . — Les planchettes porte-lign
extrémité.
^ sées en un- faisceau .aussi ;serré, aussi-peu
■ , ' ?... .ri-. divergent que possible : c’est ne qul-afâit
6 „ adopter la-forme triangulaire audieu de la
I ' . 'forme arrondie.- Be chaque çôté de la trin-
, vues par lëuP i g le d,u milieu, slouvrent {fig,. deux
fenêtres, à bords en biseau, pour-aGcçjefyer
les hameçons quand ils restent sur- les .lignes,- pour une -raisq^nu pour une autre.
.Ces ouvertures permettent même "de laisser-sur nia-ligne unej^ijfetf QU^n§»^s_
petite flotté en fuseau, mais pas autre chose ; il faut toujours enlacé? les flottes B
dessus les lignes. - —
Les lignes étant plQyéjèslsWleurs planchettes, chacunej,^tfëMé3-oi- porte en
haut et enhas'ÿdu^Sme
Hjj^ité -et11 sù^laiLranche > -
Luqjfl^jil^gg'nd^riî oui-
[,vrçA4.RCl^pté 862) >
L retenu. par|d&uM e tmes
vis C, rD, j£nteâj*hd|ns
[.Ip.-jK ^ j ^iiiSn'oH'd-- pas-
Bjgyi 11
caoutchouc AB, -ippue
F ig . 862. — Détail dW p ta ic h e tle r F ig . 863."— Plioïr Hê mer ou Gandol. n a u t e t 6H b a s E l i
portefeuille et arrêtée,par un point ent^I^pj.aceijd^chaque planchette. -~|Hk
L’élasticité de ce lien laisse trèjgfacilèmeat, ^ m^pu.wnta.eftr h.a 111 ** '
sortir la planchette e t la remettre immédiatement à sa pface, ell§
temps de la Mr%,marcher^mm/jglcs Jcmij^c^d .
Dans kt figure RftaloÆvoiiL. éi f f i ^ J arv du
bord ; R, G sciât lés pojntg§
chés-angulaires ; GY,RX -dans
lesquels on passé; -pour ^ a r r ë l e ^ r l f ^ e ^ l ^ ^ ^ J P s
lignes:Les quatre planchettes|gntenfin cm(n d p s)|
rlana ùuéîbande. de,,cuir ou de.tf f l l^ » ée; formatif,.porte-
feuille. iCest bien facilê.^e. comprendre q u ^ v |.q n |fe u v e
le portefeuille trop gros ou trop! ajjgeÿ^ j t | ||s t
aisé que de mettre seu lem en t^ ejtde
faire celle-ci moitil'inftms grande. -ÎSlgus avons étudié et
combiné le mieux possible oh^(|t^jt^,desf,dinten&io’ns, de ce
petit outil, et nous nous sommes, arrêté aux grand eup |ü i -
vantes, parce que ce portefeuille-ne, quitte jamais npre
sac â pêche, dans lequel il opcupe une pqcfcfe spéciale.
Hauteur des planchettes.. -;t..:Vprvë®d|L , t|
Largeur............« . . . . .......................0“,09..
• Épaisseur‘du porte-feufile ployé,.......... ; Ûm,046.
Fig. 864. — Plioir anglais pour
Egaie à la main.
Il nous reste à dire quelques mots des piioir? propres- aux lignes dp. mer-dont
les dimensions beaucoup plus grandes ne se,prêtent point au^ petites combinaisons
que nous venons d’indiquer. La figure 863 représente le Plioïr, le plus commun
r-pour-dêS'lignes fépues' à la main :o onAu donne, en Bretagne# ilet nom de Gandol :
-c?'ést ^ q s imple Cadré-dédfS'ffe; formé de^roix montants, pins épais pour g a ra n tir
«i'M’ligne ]âhÿée’! ■ et fedbux.lfràsvèrses rondes sur —
, 1 êStfu^||éÈî QnîiltjCQFOTif e.
Le Pliorr (/%$$S6r4) e§t aiissr'sdmplte îàëlfet I
.oeltH^qui est’us’M*en Angleterre.
eS^fsprrtiéc par^iqn^ft'ev piannhîei^^^feréâf'|
l?i<îl^é:eS‘ deux à dedx-ulternativfeggentr, pâmant
„dessus- e h-desÿôhsx'^l^^^pié^Ek1 foijnë'»^R®J
ligne q u iH joif||#; àde.;Mioias^do# ê t r ^ M *
p^ÉpE’qûée du^ledtenT comme une^dêfJi&eïi-wf'% -fp?•} ~ p«m ug^-aid se
lÉffees pqpâffife^shfe
(ï t Le,Pl®^86Si)Ce%»pli0Mjournant :-^lWplOie.volontiers pour dévider les
lignes qui se déroulent dans le sillage d’une embarcation.La figure 866 nous montrele
dessus d’use ' dëSsfSjflaques contiennent- la - - _______
ûHgne^nrdjpl^^lù0(^.èliess*fe'®|pÿîatfifc milljeu” 8 "™ =™©© # t N
*esï*<l eMtrénaaté^dè l&j^MmtfesImVp n mfcv
■ r a e s b ^ ^ ^ t des ê n ^ ^ E ^ s W- | j | ^ . ,le^ ’
met&^à l’abri
gjjgRmh. aacrdarvfct i’-
P h ^& T l’âigin
wMk1 à
’^Wt^n'e#aq®feg^'sMsi I
l-lgiforl^vM^ijësCqiie l’on
fe^pfeie à H H B
H^QÎfl'ïaW^o'rdV
rad^S quai es ,'Spfe’?-Pho^
ques,etc.-
wHRêsque'un 1
-® r e ■ deuxît
-guiaLlteÜèi3i,| .|
un tfo is iteS
4l^fe©ntalf va
F^&lè treuil. La bran-
’• » t k t t e contre-]
#ï^^®®d4ges efellembarra
cstiom OÎfesoit, Anj-mi-
W p .^ le plomb en fente |
U r d ^ pour la fpjpitha grands . requin&u des - mers d u
H (péche^iu)^^,' è,e*,qa^soxft les'jeux,gec eau douêéjSÉBspfomés-sont ëh I
et 1 B M I deS moïCeaux de métal oblong percés à chaque extrémité {^..-868
tire i» ^nC ?0r^ tme4^8Ptie de bênée qui vient àlats^lfe^pùnrî^trouéefr-ehre--
,®§*t ï^P’Sih»-. autre une ligne de' fônd naunfeideapiusieurs -3êffi!pües avec ’leurs ha-
meçons appâtés.. -
|H E h h B b b ^ élq n efô rs de la.pôsitiph verticale, d e lh ligriè de bouée"' pour y at-
/er 1111 > eçon ou deux empilés à I-îjSOÀeS^.OO au-dessùs du plomb de fond.