choires.'Tous les mouvements ’de ’dëïf' cfip&élsticcèdeht ét^mardfiôùt oêùwt^Stiraneh e s flexibles
des arcades hyoïdes.
v ‘JLa position respective des quafreiipièaê&bsseuses diUfCddvercle''(|e^ouïBsTe&t'flÉ^le à distinguer
la tête d’une.Truite (/Sj. 755).
On voit l’os pçéoperculairê A en avant, l’opercule B derrière, le Subo’percnle Bwlujqcssoik j .
l’opercule et rïntêrtipercule C au-dessous du piéo’pérbule. A^i-desiOUs enfin T i
branchiostéges.
o u m b r é . -^fôm'que les pêcheurs de la Provence donnent 1
^St(Yôÿ.' ce ntfoi..)''*
OURNEOU-BiAS. —INom maT^eîllais du Maquereau coliasK (Yoÿïft’éhnot.)
- OUTIL. — Nom' donn’é à Paris -au Houting. —
OVAIRES. —Chezles femelles des poissp'nsj' les ovaires'sont' représentés par, deiSenormes
sacs de la même g ran d eu r et de la même tforme que la laite des mêles ;vces -sacs portent Mps, leurs
replis des oeufs en,nomhre souvent irmaleulaide^.ÇKcÿ. Temps de fdai.)
Quelques poissons seulement peuvent s’açppuplex. et sont^vMparesr;.mÿs-lünitnen#-ii^bité
n’a pas d’accouplement et la femelle pond des neufs sur lesquels le mâle nè fait"q.u'^pa®jr ffiâir y
répandre sa lai té,’et Iés^féconder.''"1
OVELLE. — (Voy. Ablette.) '
OVILLE. — Nom de la Dorée au cap Breton JB^Vôÿî DQRÉffi)’*'^
■ OXYRHINGHUS (Coregonus).— (Voy’. Houting. )"
OXYRHINQUE (Raie). — (Voy. Raie, y H H
P
PAGEAU. -r|jQ.n dit aussi dans le Midi: Pageur i Ç'Jtàievy nourr i tniilipi B
PageL (Vaj^fie mot.)
PAGEL A DENTS AIGUES (Pagellus c e n tro d o n tu s .^C r^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ e 'p tr-s p a ro id .
Long- î-z .
Syn. : The common sea Bream, angl. — Rotfc s e h u p p e , ' ®d@w''fa'dne?iw lid!lvr- ^ -'l'’-
géüo, fr(twgoUna^\aWoiiiK, ital.
nÈorps plat, dèaffles Manche» àrbëîléts Meus au-dessus derladigneda téraln et cuivrés sur ® l'is |
Au-dessus des deux yeuxj-unetaclia v e rt-n o ir* ^ joignant en forme de croissant. Sur Hfeôrps, -à
la naissance de la ligue latérale, au haut de-l'epercule, une-tache b n jn -vM e tj-p re sq i^ îi'i^& w a é e
de. plusieurs plus petites, une sur chaque écaille. Au-dessous, u n e tache irr'égupè2é,f'ifo®e-^;eTmil
lon^ sùr le bord d e j’opercule, à moitié .desa hauteur. -
_J jig n e latérale, mince, bleu foncé, saillante ; ventre argenté très-brillant. Le Pagel a les mâchoires.
fortes et égales en longueur, armées de dents"aiguës sur -plusieurs.rangs1, .'en- avant-, en
pavés 'opaques', irréguliers en arrière seulement stir les mâchoires, point au p a la is jhT'àjp.a-ldîîgue.
Les yeux.sont larges, grands,"et leur-iris ést jàune doré, la pupille noireÿntoutée dml-cêfclé blanc
mince. ■
La tété est courte et lé profil du corps .se.courbé depuis la nageoire dorsale, ]» S ,®}demeiit
à p artir des yeux; Les jouea, l’operculé 'et I’îôteroperculé 8t>n;$ couverts d ’écailies. ffiSrapdpercule
et Sine portion de l’espace qui s’étend en avant et sous l’orbite, ressemblent,à une feuillé/PéCain.
Les côtés qui sont-gris doré sont marqué» de bandes longitudinales -faibles mais
qui-parcourent toute la longueur du corps nomme chéz-lês_ Mulets,'mais moins apparentés.
Les "dorsales de U à 1 2 + 13 rayons sont brunes eflogées dans une rainu^>is(>^t6rales de 1T
rayons rouges ; ventrales grises de'l -f-.lf; anales brunes de 3 + *12, et caudale de_l1fiJàyffils ®|||0$-
Les nageoires sont blanc sale urf péünverdâtres ; caudale lavée'dé hrud léger au hput ;g é |6 -
ràles semblent formées de-rayons appelés à leur attache"gu corpst nn c roissant’plâ^-muSé le
reste. Pectorales et anale-prqiïèdéêi trés-flnement, vers le u tè ïf lM I f e J fitfjïltits pfBfe b f® é S
hoirs très-menus formant’ comme uné ’teidte\ !>iJ,
zàzÊ.A F . . 567
I Les jeunes manquent souvent de la tache noire caractéristique et ressemblent aloi s à la Brême
P A G E L A D E N T S A IG U E S . - d a n ^ ^ i aM ^ iM f trra -
née, etiWiiraH] Egalement1 sue M niehéqgfffiptfqiiié1, eMtnwl’tSftlj^'-êf
iid 'fl n Æi sbla".
mer ; ils mordent a f fîyü|j;
- ^ R r 'ô jg R j n b -,-h ;‘îic (d e p u j U â V f f j raBM
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1 S imfejpftTidn.nrt, ftt.rp.
111 n i • sa^s^s s e égalemem h s h ù n S 'D ^ 'l^ ^ ^ jP jlc s et les crustacés qu’ils ren-
r ’tous i
l^ b a f fieV o r is tend,
i y T,lLA*^>i^ ( i ^ ^ Æ.i^.-iî(iue ‘XoSa5m?y : >r
Kn .ti11( noîur'■tE'.n)ù
P A G E L AGA)RNE vPagallus acarne,
Syn ^ i^ 7 ^ /n r d r / i ) t |p g lsf—'‘ /ir vTjo, M id in - M î 'fiS^§til il
jCumiiK’n-çlûi ,di* la plupart di
î-iuui^j^^cadlc-,^1,1 dèphë^-,' brilianlf'j.^Jtflrtruîfr.iiiii-, {ƒ*W j r * i le dos, vu par-
d< *!*u>j^vinffli| ( J,'ur„j,bli'iiciln- à,l i lumière h fier hii',’ I
{Fti. T56. — IMçrl main- 'l'aqtllbs üoamt ( u i.
La qnpue et la dpj'Olo^q&Cdei'nte-s dc.ruug'- v, million, ljamle. lo-> RS^Iuiab'-s’’® e j, voiitraloss
sont blanches. Le dessus dunes et lh tù u l’a’es yeih/Suiirpiqiuti w f l i r n n sur un îond®mré_au faux
J^ K ^ E r o jg fc'djlij.tP. ■l'ianchè. pointue, ^extrémité un peu lillrtH J.e's jXva.-^iilancfi'-J* à .