
 
		Ce genre  WMEr'és  et  trèa-lal$ap.BBt. caMBtériBiL par  une  tête  euir«8sé< ^h& « $ e 
 de pointes et d’épines,  comprimée s,nr. lesyoôtég,  tançy.s }<jua -cellefîes: Cottes  est  aplktlf^Les joues.et  
 les mâchoires sont "sans écailles, la tête,  la gbrge,  W   fiancg .portent  des, l^mhggux. putanéSjjjgg^n  
 ignore  l’usage,  maîsrqui ne  confrihuent pas pVirÛ’àspeçXh'idëm?®'oès poissons.’Ën  somm&xenj^“  
 dant,  É&^BÜÿÜM*;est  celle  desPerches,  etc. ; 'n’étatent’lîeï'appenâii^^OTrcol|R^OTtion  
 ne serait pas. désagréable. Les piqûres  de  leurs épines sonVîèdêntâldeli.  l à  .chair de  c e s ^ S P   
 sons  est recherchée, .et forme la hase  de  la  célèbre b o u illa b a is s e  marseillaise.  ~ 
 fieux! •espèces méditerranéennes. 
 S C O R P È N E  R A S C A S S E  (Scorpcena  scpopha,  Lin.).  —  Acanthopt.  joues  cuirassées;  
 poids =   Ikitog. 
 Syn.  :  Cabra roquera,  espag. — Sclnueindrachensbars,  allem.  — Scaropali,  ‘itil. 
 Couleur  générale gris-rougeâtre, asec  quelques  tachesurolres -sur  la  païtieisupérieure, :e£pas-  
 sant à des, teintes plus  claires sur  les flan«f absous le . veûtre,,Tête grande, bouqhé .ampïfiFmâûh'fe&s  
 et palais'garnis  d ê 'p lum ffl^ ra n g s  dé  dents  a'iguës ; langue cpurte,  Yeux^ôg^ây Igjâ-dpjïé, 
 prunelle noire. 
 '  *:©péfêhlegarni d’aigu ^Uhis’et de  filaments.  Ligne-latérale  droite.'D =   12  
 V=5 h 
 Ce  poisson  est fort'commun dans  l a   MéditerranJe^àP w'mële voisinage. des Poches ; ûKEfâfiie  
 quelques  très-belles variétés  :  une rouge  carmin,  une jaune  safrane,  et la   troisième noires 
 Cl^iï'iiE-Siafeureiisé. 
 SCORPÈNE  RASCAS SE. — Ge poîssoa-,  tr%s-coiiimfi'n .s ty le s   côtes m é d ite rran 
 é e n n e s ,  séq iïen d  Icùk M artigueïave ç^de s m e ts  ap p e lés  dans-l^sgpiel^il 
 s’em b a rra sse  e t  s’em m a ille . 
 SCORPÈNE R O U G E . Y o y .  XrRANDBT^ÔRPÈNE.V 
 SCORPION.  —”fîô iû   (le  ^  grande ‘Scorpene,  à  Marseille  e t  
 Bélon.  (Yoy.  Grande  S corpène.)  ; 
 SCRIBA   {Perda]. —  (Voyi Serran  ècrjcture.) 
 SCROPHA  [Scorpæna]. —  (VofTGRÀNnç SeoRniNE.) 
 SC Y IX IUM  S T E L L A R IS . —  (Yoy.  Roussette.) 
 SÉBA ST E  DACTYLOPT ÈRE  (Sebastes imperialîS,  Cuy.)  — Acanm^ruLjW™ cS ^ 
 rassées.  1  dorsale."  ^ I   , 
 Cette  espèce est le seul Sébaste de  nos  mers, et  encore il est propre  à la Méditerranée. Très-  
 voisins des Scorpènes, çejs poissons ont le corps,  les joues  et les mâchoires  écailleux, sans lambeaux 
 cutanés.  .  “  .  ajjtaS  •  ___ 
 L e  Dactyloptère de Laroche est d’un beau rouge vif en. dessus, blanchâtre en dessous,'avec une  
 tache  noirâtre sur l’opercule.  ■■ 
 SEBA ST ES   IM P E R IA L IS . —(Yoy. S ébaste  dactypoptère.) 
 S È C H E   (Sepia,  Lin.), —t   Genre  de mollusques céphalopodes,  communs  dans  non mersjjpt- -  
 dont les pêcheurs  font souvent usage pour  amorcer leurs grandes  lignes  de fond aux  poissons  voraces  
 :  Congres, Anges,  etc.,  etc. La  Sèche commune  ( f ig .  952) a le  corps  ovale  
 allongé, un peu déprimé,couvert d’une peau blanchâtre, molle et visqueuse, comme  
 formée d’albuminé coagulée. Cette peau forme sur le  dos de l'animal litre espècede  
 sac  qui  contient  la matière  vulgairement appelée os  d e   sèche,  et  qui  est  engagée  
 sous, là peau. 
 Ce  sont  des  animaux  très-carnassiers- pouvant répandre une liqueur  noire,  
 et munis  de*cinq bras armés  des  ventouses  qui leur servent à saisir leur proie  et  
 à  l’amener  à portée  du  bec  corné  au moyen duquel  ils  la déchirent.  Lés Sèches  
 nagent à  reculons et  avec vitesse,  en  refoulant l’eau par  leur  siphon ;  leurs bras  
 leur  servent  quelquefois de rîmes et elles marchent au fond la tête en "bas. 
 s è c h e s . —   (Vi>y.  A p pâ t s .)  Les  Sèôhlsjoü  Seiches (fi'g.  952)  
 sont («tes mollusques  céphalopodes  matins  ttès-çpaimuns, sur  nos  
 F ig . 95Î. — Sèche  
 commune {Sepia). ■ 
 côtes. Ils ont en {généra} la forme d’un  sac  membraneux,  termmé%yera  l’ouverture  
 en  une  gerbe  de  bras  ou tentacules couverts  de  ventouses,, par lesquelles  ils  se  
 fixent  aux  corps  inertes  ou  retiennent  les  animaux  qu’ils,  saisissent  pour  s’en 
 noumr. 
 ■  La S|||^e©?OHtientj»da3is'>rintéBi|q^'(i(ÿv'son>èorps, unaseoquille interne, ovale,'1  
 épaisse,  qui porte  le nom  d’os 
 une  bQiïPSêtiâtérièure  remplie d’une  
 subs|ane^iiQi.Re..qui,JiisMfei». foprnü^&epia.  Les oeufs de lai^èofee gpnt attachés 
 ifrisjtaux- autels l e Y ,ni-v-agetr^i 1 s portent le nom d&■ R aisiné  
 ® ©? .-> Qîetfâî^u ali seti^&ppTkt h n  \ 
 S É C H É E S . ,^Ël|Pe<|g d*èWefite&âwfoêpÆl&M'^Qe.motl.fîg&ééPm Bretagne.  
 Sé c h o t . —  Sq#*|e Rhôné^bgfetdmé  o.P mot.) 
 s e c o n d e  .  a  PÊc%[confec«iqm.de^)>.#à  s e c o n d e n t   une. 
 ïpârtifi  trèéAiitéî’ess.âjitéi def^ganhe.' Atpêehe’^ ^ ^ ^ v o ir'É ù tilité ^ ^ ^ fffie l^ ^  <$&■  
 "ciskeMu  scion, PlaBarAfcrpe- à  tÉp qualités et;‘A)‘;^Mîéfàuts,  e t^B^pM' d’êtrè  
 a&sorjâ^lui  p;our usiexifSjtkm'è Mimme de'lquplifes^l  
 p,  Si  a  unHnon  ^a^èjjôii met  une/ s gsouifeb £ la s tiq l||e t  pliante-^ia», canne, ne  
 y a u d ^ ^p ^ “^ ^ .s(iiPrti]:^^M.(hite daa^jjef( as  contr tire dJnnesTConde roide et d’un  
 sg ion  I.  - 
 pàs perdre d'^g'ë que, sous ’^è|^^^i^êüT;berait IaJ'c'anne' en demi-  
 ,V ,r c l|, ia  ^qeoIVdôuio ^ ^ um ^^l^^bjën((p^û^Jr.Mq^)n>t(un(y^a4oTmn^ d’épsjkeité  :  
 p a irt^ ^ ^m .-i^ f I ii^l S K Bl uc aiu^ p a-npe parfaite et sont d’autant plus  
 prdsgireï foujours’faites dématériaux différents.,  
 ,  i ^ P ^ ^ y i t é  » tM^ o r ' ^ ^ sU'que l’^siemèlage des deux — par^nnÂ’u i l ^   
 ^Éëe » s ^ ^ p a u le ^ f f ib ^ . est eefiai qui:tient le meinsiffu.toute la c a n n e l e -   
 j|bj|i£bri( uir&soii-vént)  h s  y^uv hx<te./B^'queia c a ^ lp ù rte  i |   
 •m c ^ ^ S  la ^ g ra tiçn  n’offre pas de danger, le filfdfe Jadigne>êîient' le ^Out, mais,  
 ^ te c  unnîo^^simj11 cü  lé s^m'p%ut tomber;èî^être perdu,  etc. 
 n endropoffisppas iGt^aas Iosj discussions  d,e  la  matière-, qui. compose les  
 rteeilIeg.^^^e<?ea^ ^ S P e 6 t  ordinairement  la  même  que  celle  du  reste  de  la  
 ■epsnnc,  <’t ^ ^ p ^ fft|lio q y e ra   tous  les  renseignements..nécessaires  à  l’àrticle Oon-  
 ifàeXiow,  ç(ejn êche. 
 SECRETS DÉ PÊCHE. — Quoique housnëcroyions que très-faiblement à l’m-  
 f l , u f n c . e ^ e s , s u r  l^ r ^ ^ J ^ td e  la. péche_à la ligne, Tgï>ce  qui^H^veutpas  dire  
 *ïu’#P9ÿ')iTO0fs-z'^® 4 ^  trouver  une  amorce-, m^iljejÿcé  que fI&s^-autres^  nous  
 recette  qui  a étéreçannue  efficace par un pêcheur  tout à  
 ^%%|iéi3^paux  manuscrits  duquel  nous, ayons,.la  bonne fortune de pouvoir  ré-  
 courir  : 
 «  Fameux  secret  de  Cerisier,-, dit  Garrot,,  de.jMfevers,  pour, la  pêcbe de  la*'  
 .PerchaB|jL 
 Pain d.e  ohènévis.  . . .   , 
 (i)  Orge oo froment’ipmtiu.  i 
 Sêrtlilttj'une forte poignée.  /  „-  ' 
 Lavande!  î  M M   J  tout  dans  un  grand 
 .■  .....  ■  I  vase  avec  eau  suffisante. 
 Romarin.  I 
 ' Son.' 
 i^®^G®ïùposez,  avec  ced;ides pelotes  au ngioyen de  terre  grasse e t de fiente  de  
 bpeuf.En  eau stagnante, les j,elèr,  de deux à  trois heures d’avance,  pour  la  Perche  
 en particulier et pêcher avec  de gros vers'à tète.noire, des Goujons ou des Ablettes  
 p y  par le milieu du corps,  e t laissant passer  fortement la  pointe de l’hameçon  
 qui-doit  être  un peu gros.  ' 
 courante:,: jeter les pelotes dans.les profonds et  les tournants  (haïs).