
 
		8t6 VENTRALES. 
 par an'Vent  d'orale,  les •gri5t^Vëé1;@^îien!^ 'ro irt'  '^ffeiMànts^fSIJÿllk  rivière,  
 vous pouvez alors-faire .comme  la  nature.  Elle  laisse  tomber des  mouchés m|)i^s  
 grosses ;  vous  en  offrirez  à  la'Truite  de  moyennes,  el môme  de  petites,  elle  
 prendra;? S©^venez-yousM^®|#a®ais il. mfy  aj tedomnaagpl^àt jeryir   d’insectes,‘  
 où'de mouches  artificielles  trop petiLes...> 
 Mais  siT^^^Teur  tou?^prendre <Til po’fstôif'^a'r le 'ealme^fiï'par une-brise  à  
 peine Sèhsïhl&ffl mut1,-en’regardant 8®'l?éàu^  suret  du  'genre^de  m¥0®ieron 
 qui vole,■ ca’r' ce  ne  sont que  des insectes 'dè petite- 'dîùïèti'siôn,- à -p’eu dlexôëptions  
 près,  et Ceux qui passent et qui sbhtègros ont-assez de force pour narguer la  gueule  
 de lâ/Truite ouVerfë-pour les recevoir. L’air est-dénis- rêînfjli de' tipules., deicou,sins,  
 d’épbémëïesfdeTourmisVblantes. Il faut imiter cet exemple>èt ehhisir des mouchas  
 exscêsmvement petites^sn^cabFet-' Jutant que  finre»#è'ï^ut/'‘ehôisir unë : ligne' invi-  
 ’èîblëj*  c a î e r i ^TOj p i q u ë f  et,  ainsi ariiïél!erfs%uerr'e, ■ den5&nder>patienc'e'wft   
 adresse pour réussir.  - 
 •Ainsi  dojrafgfcfrr^ pèche à la  mon&Ké. au lander^le VeSfe  est  un : %|j^]àaiie  
 toujoursùfile, on pourrait direûfidis'pensable ; tandis*que pourla-pêohe à1 la mouche  
 à là sürprise,  il- êst  souvent  nuisible,  et pour’dâïpôche de  fond* ou  au ïcbùp’,'il Te,st  
 toujours;  - 
 *•  ?  tepeüdânt, pôur la ,pêofie- an  lancer, ie ^V è h ^ ^ f^ ë  trouver,  ëcM&À’e'/jtf-#t-  
 à-dire v e n à n t^ r^ fe  'pêcheur ; dat^'ee’cas, il faut'qu’il plié bagage-et” cherche  ûn-  
 eoude,  un détour de  la rivière  qiiiT^'j^acé^e^f^tfe'à avl^^e^lVdfÉMseî-’oiiiable-du  
 dcrneie  lui  011  àu;rhwns  tleoôlé. T)e loaies3les“pu^dum^  ! ,i p 1 u^dï'sVrSlî’létvsl?i<?el^1  
 où le flot suit le Vent,  et où le  pêcheur est placé de façon à recevoir son impulsion  
 par .derrière';;  d’abord  le  Vent,  dans cette position,'1 agite ^^^^qPp.it'-Eb®fer!€e  
 lWmss^f£ÿffM?fê^f^MTCé’iqu’ihcher.che'sa prWeMfe-'d^msectes;' eiMé‘ëi^ ..d iiéu,  la  
 ligne  du  pêcheur  esTemportéc  sans  elfort; ¥lfe%^enoe%f^®e,tgeap©Sê;surtP‘eg>u  
 comme  une mouche  ailééj et  pè'produit  ni"remous mibSuiU -td 
 Le  Vent  est indispensable au  pécheur au  lancer  qui  veut prendre  daqfoissçm  
 3é’sürfrfiièp’daûS  un'la?c;  un  éfeng," ou toute  piècé  d’eau dormantè^diBçÉpid'ë^u  
 bord de laquelle il ne peut pas se dissimuler absolument. 
 Par,rapport' âvT&^iks’des fleuves1, iïvferes* ét-'imisseaux, il faul  encore rludi’erptt  
 Vent favorable <ke contraire‘âhf pêcheur.  On  'apÿêifc Véhi'de- ^ é ,#lûifîqui suit p   
 courant d’une rivière,  parce que le poisson,  tournant  toujours  la  tête-ep'ïpdi’oùft,  
 le reçoitsUr là tête. Ce vent lui’est désagréable-IPcêssè''alors de m a r c h e r / i ^ ^ » e   
 plus et plonge.  Ce vent s’appelle aussi  Vent  d'amont ou de hailt. 
 V-gi je Vent-, uu cèMlf’àfrej remonté' lë êdlîEaùt d’üm-Ilfeüvé'^ieqjQissbn^sregoif  
 pai^ ê iÈ S k p is iton  le’nomjça^’ Venf xte  queue',' 'aussi VmPffiaWaê cM~d& baç^ quand  
 il  n’est pas trop fort,  le poisson remonte,  s’agite  et mange. Quancftl-eféf-très-fort,  
 il rètroussë les ’écàfflës’dëspoissôns dê^stef^^^eux^ci-ttlbVs^rlÔffgenfetînèfreparaissent  
 plus.  - 
 VENTRALES (Nageoires). — Les nageoires  ventrales  sont toujours placées .à là' partie  
 inférieure du  corps  des  poissons, mais elles  sont  plus  ou moins éloignées  de la tête. 
 Elles  sont ordinairement attachées  au bord postérieur  du bassin, mais rel^s^euyj^npl^étre^u  
 sternunvou. anx  elayiçnles^ ka 
 Ces  nageoires étant la représentation des  membres postérieurs  des  quadrupèdes  ou des membres  
 inférieurs  des  bipèdes,  on,  a pu  dire  que  les  poissons  chez  lesquels  elles manquent  sont :  
 apodes, c’est-L-iire sans’pieds: d!’datres‘espèces  les  ayant placées soiïs  la  gdtge,  au-.dsisouisîjfllçs  
 ouïes, — parmi eux-, nous trouvons  les godes, —don les) a; nôwmés.jugulaires..  ; 
 Les thoraciques- ou pectoraux  ont  les ventrales  sous  les  pectorales  :  nous  y  trouvons les .Gpu -  
 jons, les  Labres. 
 « D E   FARSM. 817 
 4   et®shtnaîSSiffl?é^9Qt   des ipoiss^s^ô&cfnnj^ia^ c’es^àj-dire  possédant des 
 ventrales  en arrière des pectorales et plus près  de l’anus  que  celle-ci. (Voy. - ^ lacopt.  abd. Subiu-  
 chiens, Apodes.) 
 VENTRE-NOIR.  -I  on  quëuujt ^chiSôit^.'VÏ’A b ïn 
 VENTURON.  —  i;- -  ' 
 F ig -  1034.  —  Venfurott. 
 F i g .   1035. —. Capeleuse,  Gravette  ou 
 Nom  d’une 'soïtet-d'e-Car-l  
 reîêB-êlè^ilmffî1-eiïi|).l<|p|§ à  
 Fréjus’,p t’^ |n s  *%; Midi. 
 (Voy P ÉcffioùiEB' 
 VER  BLANC  MARIN, 
   m k   Le -  
 marin, ^qfr’èir^TO&ghê'ôm  
 ûémMt&^êç^rloi^bsjf n’estl  
 pas ^ trèsfje^»#'  des* pêcheurs  
 de^wlfépïi» i‘qui 
 lé 1 > r oW é w |p |^ ^ æ t   A 
 WÈjBÈBM '^ù^-.iïous,,. au contraire.,  qùL^vèifl p^ffer1 aMc  ptngjÉi»Èi$a 
 yat ^ ^ ^ ^ ,lfflmë^pui;Leaqcpup pljfs^fihs, lé ver bÊmc  -  
 la m-*]' ^ p n ^Ùsipe po^^'hl^/ PresqjÆ*«)^^ ffs p.ois3  
 Sons y mOTdfml^^wïfe^l.^ETTE.)  * 
 VER  CANNELÉ. -^/jÉj ^ ^ ^  terre^g,. h p lj  
 surtout  laafet. aùx  
 jignes  pais-  .dedaur,  à  la..pêdie  au. coup, 
 ils  sprit leff meilleurs pour prendre la Perche,  le  Goujon,  fe Tfard, WxJhevesne,  les  
 G%rdor  ’^t  a u t r e s " s u r f a c e 
 ryÆ ‘;foijqr :  Coipé^ThncKe^ Truitej|rdssé,(étc;j  préfèrent  le verra  
 de  ièiT èTm gW jî ïéte-ngWe^ 
 VP  (yitré  les  ‘dtiigïs È^ne; î^ u ^ ^ am r c ^ é r a n f ê  et  
 Héùhlq- qùjjuito|iî fe’jliquè^par i ’hâinéÇSn-  
 V-^Lejmî^  PaqfiM j|isquJà “la  Sâint-MicheC on]  
 fàit.gg^fe'de’^ ^ ^ p t e s  Æappâts qùine détruisent  
 pâSMçfjeîSie4frai’, de  .ainsi -phe le font les™ 
 ; F ig .   10361; —  Yer  cannelé 
 pêcheurs -qui meuêrit  de la bïanoÊailîe^ î ’naméçon  quand ils n’ont  pofnt de ve'ra  
 VER  D’EAU. — ,Lë ver  d'eau  qq, ptyrte-bois  OEg» |® 7 )  es^  îa  lar'vtf  de  (a  fr i  
 âa.n,f,-j  rn.of.tt&ig: Corna-, h’fânc-gris  est)tpùjoprsi. Mç^ivert  d’un 
 jfo ^r’eau  formé  de  feuilles,  dp, petits, morcqaux  irert Mis,,,  de  coquilles, 
  .etc.,, oeljinspçte  tçgîne  çonstampaent  ,a.vec  fui  deitê  carapace  arti-  | 
 .Quand, opï  (prend,, i j , cache  jusqu’à  sa tête  même  dans  ’eef]  
 fourreau.. 
 ;  .  On ; trouTOle ( por:t^boj$, d’avril  à ,mai,dansi"îes!'marais  e t-lé a x ù ^ J  
 seaux.  Au nj.ois. de juin il se transforme en Frigane. Le yer - d’eau est em,-  
 ployé pour prendre l,a Carpe, le Govgon,  la Perche, le, Gardon et la Tanche.  
 ill doit être  enferré la tête^en, Bas,,  Quand (on veut  faire  provision de,qps,*|  
 In^ctes,.il  faut, pour éviter qu’ils n q ,s |^ tf e a s f e ^  et ne meurent,  les placer dan  
 un sâc dp., tqile. que ,1-o.n mouille  de'teiûps enitemps.j  . 
 VER  de  FARINE. -^.(leSukrveS proviennent, dp T ^efaia  ëjjfp] 
 i-sont.longues,.de, Om,OL  à 0"!,02  jamais lissfiSm|jluisantes. Le coléoptêr' 
 auquel ;éllhs donnent naissance est un héténamne de lq fàmi-lje .de.s Méla$omes.M,£%