blesen sautant hors ;del?èan Ma façon des Marsouins.) Tl est un dès'pius-grands trôu-
ble's-fète de . la pêche du Maquereau au filet :'on e u a pris en Anglqtërf,e.dan| detS
filets à Saumon^ et-plusieurs fois à des lignés tendues pour lepderlart et la Mjfïcne.
SQUALE ROCHIER. -^d'Voy. ROUSSETTE
SQUALES (Pêche des^-W Oans la mer du-Noïd,,vers les côtes dedaeNorivége,
se trouvent des Squales en telle abondance, que la -pêche peut en être faite sur
certains -bancs, comme on fait celle des Morues. Parmi lesjîspèoes-les .phis'communes,
il faut compter le Scymnus bo?'ealis, le Squalus ipinax, le Squalus acan-
thias(fig. 4), le Selacke maxima, mais ce dernier de plus en plus raq^ge s animaux
sont d’une taille considérable "pour quelques ^espèces, puisqu’il y a fqjes jjquales
dont les foies8jila~partie que Pon recherche pour faire l’huile —.h&pésuque 12
à 15 Mtofe tandis que
chez'Certains autres , le;
même Organe en ■ pèse
100 ÎW § ,
Lapêçhe des(Squa
les'se fait dé deux ma-
nièrës''f'autàrgd'ét dafis
les baie&«(Fjoi'ds) près
dé- terre. Au lagge-, il-
faut les çh^dfer-à loÔ
p y ^ a ftfS ^ lmai&es m ,
[te rre jp p pâT^dîlé 'prô- ’
I forideur^dd,JBO* à^dOO
IbràsSes'. Les bateaux qui
font-.cette;né<diRMiWï'
gejd^O,^ JijJ .lorui^yux
e t. sontjfflonfés par. dcju
Fig. 980 - Ligne et appaïeü pour la pêche des Squales. 6 h om m e s . L ’en g i n ^ m i j
ils se servent est «ne ligne de fond (fig 980), dont le^diatnêtfe est de 1
et qui porte une pièce, obfqngqe de fer fondu du poids diy£jà 4 küogranpstlé^j 5
L’hameçon, de forme;arrondie-et sang-avantage (fig. 9 8 ^ ^ tǧ®ron-,Om,dO ffê
longueur sur une grosseur de 5 millimètres.,!! estjUïuOjté sur une
avancée en chaînette de fer étainé afin que«|e Squale qui, un ^mg
piqué, ala manie despnoulér dans laJigne, puisse^ Ift faire sans se
décrocher et sansjien briser. La masse defer q u û fg t^ le r, la^igpe
est placée au-dessus deTavancéé dfe chaîne pt,sqspenduè..'l<&! le
côté d’une tigïf de fer uù'-peu p ln s ^ ig u ê qu’ëlle et qdi: esfatta-
chéè à la phr Une sblidé êpisëüre.
Au-dessüs de" l’hameçon,’ à quelques,brasses süf' la ligne,-
on adapte une caisse percée dë trous et remplie, dejard putréfi’é ou
de morceaux de marsouin. Cette amorce sort par les trous et est
entraînée au loin par le*coürant qui la porte aux Squales qui
sont ainsi attirés. Le pêcheür qui tient la ligàl® Mmi facilement
m 98V : ! l'attaque et:ferre d’un.tour de bras, puis/éornme il seraitinrca-
pable de remonter l'engin et la proie à lui tout seul deux.outrois-hommeu sé met-:
tent au cabestan que l’ôn voit dans la {fig- 980), et l’on remonte lé tout à bord.
- Dès que l’animal est arrivé à la surface, on le tue en le frappaiit à-La tête avec
Instrument' eh marteauf^îÿ. 98f)$#ont ialspeihte sert-'en mêmes temps d@- ero«-
chet pour hisser le Squale dans le bateau.
En automnéMf hiy|'r)'W‘ pêche îles. êpfésd^sCTâil^^Çyles mêmes lignes
Q%_âvec de grandes^ àâp^rps dqnt Iaf.pioréujài.&Cl&s liameçon^'^nt suffisamment
solides ..-(-^éy% Rouleau a. ©évïdôr
SQUALIUS AGASSIZII. — fàqÿ.'Ya^doYse blageon.)
SQUALIUS BEARNENSIS. —' (VandoiseM ; ^ ® ^ '
' SQUALIUS BURDiGALENSIS. Vandoise' borde^aW,
SQUALIUS CLATHRATUS. —-jg&yf Chevesne. treillage. L ,
- SQUALIUS MERI- -
D'IONALIS. _
VESNE MÉRIDIONAL.)
SQUALUS ACAN
THIAS. j
vÂLffirRçQd'’
SQ U A LU S CEN-
TRINA. •— @^^HcMA~OTisyj
SQUALUS CINE-
REUS— (Voy. Perlon.)
SQUALUS CQRNU-
BICUS. dmkêe. pfez.)U
SQ U A LU S , GA-
LEUS. — SlLANFDRE.J' ,
SQUALUS. GLAU-'
pUS. jfj
SQUALUS SAXA-
TILIS. —
petite).
SQUALUS SQUAMOSUS.'
—I^Sayr- LBUGHE I
-MECiLÉE}. ||B
SQUALUS SQUA-
TINA.-— (Yof. Ange de mer-.)
‘ SQUALUS ZYGCE-
NA-—- (Yoy.
SQUAMOSUS (Squalus).
— (Vov. Leiche bouclée.)
SQUATINA ANGE-
LUS. — (VÔy..ANGE DE MER.)
SQUATINE ANGE.
^ ^ T o y v Ange de mer.)
SQUELETTE. — Le
squelette des poissons est os*
seux ou çard^e^Mux ; JL devient
même quelquçfQÏs, talle-i
ment pou qu’il se distingue^
pêîtfâ des parties enTiroimain|T
test,aussi certains de,ces animaux
forment-ils le. Tpiqssaig&
Insensible, des .vertébrés aux
•3|yer"tëbrés. ’ i
H fcX) o
■ Les os. ah corps, même les prus yolumineuxiu-uoc^aPàfs' ne cahal médulfâife. (ÿiant aux* os
pêtlts:et allôftgés.-ils prennent le nom d’ai'd/w.'(VoyV ce mot.) La eololtné vertébrale n’à pas de région