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 soie.jjaa.  nouvelle>âe  eette.-fpêcbe  attira un^feuLe 
 On passaqdusieurs heures, à  faire  l’es préparatifs nécessaires ;  en^vitirasmenlplus  
 d^emgressemept  e t.o in s ^ ^ ité ^ c h a ,G tm . s e ^ |, ^ |^ |r e j p o u . r 
 du poisson.  :  .•  '  •  ’  -  v  .  1  '  •'  •  '  ■  ;  . 
 '  '  Tousies -bords  de  Fétang étaiept.vg|(jdés,Æes^rntQfepg4e  fp e n t p 
 waés, ei compliqués-,:si c ertain^ le-beaqei vaste filet epuvfaifcsijbienï^q^e^puce  
 d’eau,'qu’on  regardait cenrôe’p ^ p ^ ^ j e   qu’un,spul  QardtiAJpût  é e J ^ p e r j|,son  
 malheureux sort. Après avoir .employé ainsi;pins de tro is ^ q® ^  -dajns :C& ^ iïls Préliminaires, 
   bn atteigpit-le bout  seprépara-àrtirer  le filet.  La  curiosité 
 était maintenant poussée à  Pextième;t-le:-filet fut ramgnéé, terre ; pmsjnTplP|i des  
 Charretées de-poissons qu’on.s’attendait à y.trouver,,  huitpou dix GarÉa^él-leme»,,  
 apparurent à la hypière. E t, le lendemain, .les. eaux ®|fienf|S',e^|i^è’r ^ te|nïme  
 par manière.de  provocation p t |e 3défl,  leur‘q )p p u la tiQ p -flo% n te ,^ s ^ » re u s e   
 q u e iiam a is i!< u '  jtfÉH  ' 
 (fEe marais était strictement gardAjiPft.^iCïtrepQppt|pa§ d aq ^ e ^ a u x ^ |fJ* ig p   
 plus  d’.uneôns Fan ;  le poisson ne  pouvait dè§* ^ ê t r ^ ^ e s ^ x i ^ é p ^ p p é c u -   
 tion. C’était dope ,dp  sa-part h ab illé  instinctive,  dp o p - 
 servation  et-dqjus^e  défense de sqi-npW&,’M J u t  ie   sentiment gé#®a<M|peW  
 qui-furent  à même de  -voir et-de juger  le fait. X l s ^ W - S ^   P W 11# '   
 troùvant si étroitement bloqués, ‘lès u% jJé ta ie ^w âB f B B B |  des »ter-  
 stices pratiqués Ip-long'Se  1? 
 autres s’étaient plongés  simultanément. duBSjig^ag^^QPPif) jfopt^&^Jïpes, pour  
 éviter en pareil  cas les mailles du filet. -  ,  s • ) 
 »Quand je demeurais à Durham, d i t ^ y ^ m ^W ^ l^ t e lW iW e ^ w n a i s  un  
 soir  dans le pare qui appartient au co-pite de Stamfbrd  e t j & r ^  surile jgr|* djtt ’  
 étang oh  l’on  mettait,  pour,  quelque temps* le^pissgns-. destinés à ^ p b l é . Mon  
 attention se porta sur un. beau Brochet,  d’en ^ ^> p iljt'E e ^ iiîim a i|r# q ^ t  F f e   
 l’observais,  il se précipita comme un-trait au milieu, djes-eaux........ 
 _« Dans sa fuite, il  se frappa Ja tèfe castre Je-crgplî$. Plus  
 tard  quiil  s’était  fracturé  le  crâneuet blessé  d’un,  n e rt p,plaque. .L’M 
 donna les signes  d’une effroyablod-ouleur ;  i . s ’#anQa: atu ^ f |[ |d # ;|a% ie ti p i n çant  
 sa tête dans  la vase,  tournoya- a*e@,tant de  célérité^ (que ij&ig sptBdylesque  
 -^.y p ep en d an t u» moment.  Puis  il plongea  çà  et-là; dans-i’ê t^ g ;  utienfinp-jp  
 tout à fait hors  de  l’eau  sur-le bord, je-l'examinai  et reconnus  qtfjine trèftpelate  
 partie du cerveau sortait de la fçaeture  sur. lecrâup.,.,  .— 
 « Je replaçai soigneusement Le^éerveaudésé,  et,  avec un petit4pi»%idents d’argentée  
 re'levài  les parties dentelées-du crâne.-Le-poissondemeura, tiranquilk pendant'l’opération  
 j  puis  il. se  replongea_d’un  saut  dans l’étangv  lÿ; sembla d.abor  .  
 beaucoup soulagé;  mais,  au  bout de  quelques minutes,  il  s’élauQa^ p y eau  
 plongea P  et là,  jusqu’à, ee qu’il sô  rejetât  encore hors  de l'eau.  11 p sü n u a  ainsi  
 - plusieurs fois de suite*  -:#»«?$»  „ 
 -  « J ’appelai le garde, et,..aven son assistaneeç j ’appliquai unbandage s u r j g î p 
 ture du poisson ;  cela fait,  nous le rejetâmes  dans-l'étang,  il M 
 sort. Le lendemain- matin,  dès que je  parus sur le bord  .de  la pjècefj'eau,  
 ehet vint à   moi,  tout près de la berge,  et posa sa  tête sur mes pieds.  Je, .trouvai  
 fait extraordinaire, mais sans m’y arrêter, j ’examinai le crâne dupoisson eP ec0“'  
 nus q u ’i l  allait-bipn.,  Je me promenai alors le long de  la pièce d’eau pendant que'  
 que  temps ; de poisson  pe  cessa-de  nager,  én suivant mes  pas,  tournant quan  J 
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 la direction de mes mouvements. 
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 la  nourriture au poisson, W B ÊK Ê IÊ Ê IÊ Ê Ê Ê Ê Ê Ê Ê Ê ê 
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