senne égal«meat le^re«^eçà,> Ja, truWe .«kÈnè-M petite&
ea&ses, te- iîasse'tÆ^telept pr-incigâ*l du j&’éteuA eoîislsfe 4 -deviner,
du 'mârchfe ##?eès: qi&l | | .
aEt^wjMp ^ S ? id nu à'*®”É â fS q ë , ;<;
\&r pêche o^3i'^^^enî|''f1S:i®e^® ’ dëscendâtit ïé^cburant. ’ST lé fettijÊ <ff£
ch au ^ ,o rU g e« j^d |& ffl poisfôVi{S|%^c®, au m û l^ a ^ ^& ^E îè t sOçeM%ais.s
ctLal^ujci ^st^^fî^ga, dujpg, Je tem p ^ g .^ ,.. 1p^,).p§jy yiêuqen},
s’ébattre Caftes angés &b^|g,#J4wef sur le s#hle .étrtes«#etjteeaâloTSEKf Le meil-
lf >^mi(gn(g]^ pour tete£r,hr\ r ’esf i<i nuit, quand îfai j a pas «terrai ê-et pji nM |H
tiïes«eru8s qui troublent les eaux. Comme ce poisson m extrêmement défiant, on
e®î^r^et,'8fwe^Èis précautiosisjipbis que si os l’attaques à-guerre- ouverte,
La .p4c.be ,dprf> d l^ n a i^A juillet.. ,^a seunAaq^j^pis^©piote >,p«te;deiiotû
d’AZds^é|fe a'remarqoe|ffie quand l’élu est 'eI^Ma.u p fiu te n l^ S lf Æloees-fcOjafei
tent plus t&fc- Syrien* érqe‘ par -hasard, -elles attendent pour èmâtêt^qfâel ’-gSfe &
r ^ ^ s sa jmreté -greiuièr.e^ ^nirpriseÿrof une^Ôfue dans’ l'^^wSâWte
‘e |p |||eQ re u ^ n e ÿ f vpr§ Ja m e ^ p ^ (^ ^d q jjp |p îe ftepp*' d’aujourd’hui,
puisque Élien le rapporte, que &$." t«wae pendant que le ë fe g e ^ ^ a o n itehtèea
-fieavss; elles retournent rapidement à'.isrtppBPLa Seul g ^êttexion; qb&defl»!
vëM^ï^fthr*'j!fes asâérflons', c$Ét mie de itoute
s a u v â ^ S f d e O ^ ^ t e i n H d q fj% ji(qsso'rlf. cq^Æue W j j | a xm ii J,i l t ^ m u u q i l ! , ‘pJqL
haajf,
L’Alofe Àmonte tous nos-Sm^ii la BiroMe-, 'te fe iré0& M l a m p ia
l e - ^ W i e , e f è t 2 ® ® ^ 'd ^ ^ e r ^ É ^ ^ p ^ p T O l u n l% ® ^ i ^ t t f e 4 e s
fe fe -eÿt»
- Où vont lus Aloses une fois j^^geep.(|ues à Ja ®tef,?^Qfl.,ne Jje sainas» J&M prend
fla q u e s rares individus, en automne, sur leb,d$ï(tes'pÈ^iiies emib«®m®es' '«l-e&îïiy
vi^r.esj^ f e j ^ qjr&bfele .que jefemt- l'gratifsPt’aifes
leur chair est maigre Mais M
Elle v a # vont te&Harengs-,‘,ses..GOjasims-, £eÿSaMiû-esVisesK<^usiues',.æ>tbiat]iICe!(let
mille1 autres - qùe-n-susperdons-de?-vùfel ÎV., ôamWirWiîÉ®M^^^-ieïP|ltl'1|#»ti 1
ALOSE FEINTE (Alosa Finta, 6^^W^Malaoopt.*b<}^1s[itvPl,u^é?}(j.. Laag. max. =J3ff,t6,
- . Syn.- : Whife Shad, anjgl, .^ ^ la e k a , ,egg-. bret. —N^fîfçrç*i'^ôp.__r^.) §gàêUü,
pertug. — Vint, Venth, Verich, l!»m, jÿ
La ^«#er£aseia!)le tellement àpAlose agnu^jne.que ces deux passons a ç p t.ftè l^ jfflc ilô T * ^ '
tinguer au premier coup d’oeil. Cepeadant la Feinte a la dorsal|jp^ÿs;.l)au.te et les.ïfêntjçjes.pius petites
quel’Alase coçp^uine^heplus, eliç-portas-urlalignelatéraje 6 à S tâches ppp^aspoi^e^ e^pacees à la
suite l ’une de l’autre.
La Feinté egt un poissap de mer qui entrp dans,nos1 rlfM^jf';y^>^^Ig v|^ijs^i!r.||g qiai, %nsrt 4%p®
peJtepJi^igftibfai®>qup de. payantep(^s,0n4fi $fgêt ejle arrive vraie, e,t ip a rc b |i,fo ap e
e r^ çd silff4 )p t de ce voyage dans l’e iu dtouoe est d’y ^éçopér s$p frai; cela fait, elle.retpaEnç
à .t e w ô q v e ^ i f Je Sfloeteî». fai--ant
grand bruit et jangot. près .dg la' sdrfape^ 'E p tangage de.péç.bfiur, .celg j ’appefle î>%tlvej’e.qu,, mató il
p a rd t qn*e]Je?fig^ÿarrassent ainsi d e leurs oeufs mûrs par une. yiolentfi,action ïnueculaire,;. cMruit
se fait entendre ^ u n e grandç distança . fcj. a ^ a t e à ^
| a ^ î ^ i i a» b v ^ a |d c b é 4{Ï|j^ up, epïçflf* êT884?s lÉ S »
,(S6pt. 1866.)
On çeifiarqua dans 'la remopfe des Feiqtes un ordre .différent dea^AJosês vrkîlg s 'éA - ff lM ic i
ôe sont les petites-et le s tniaigres-qui entrent le« p-earières dans FSair w u e e ; diéz les Feintes, au
éontrai*év 'ce'SöbklëegrtóndïTOas -’qa;i! Ôt-vrgiit fe marche. Les lê ôM e a rÿ o& p ^ fifié tï.p ^
venues le nom de Feintes à gros oeil ou- Feùiffiî noires, parce qu ll» ont cru remarquer qu’elles
avaient l’oeil beaucoup plus grand que les autres et la peau plus noire, ^ dernier caractère
peut parlai à leur aie-Jujus.’ avancé ; quant à la grandeur, de l’oeil* il serait à désirer
.qneîués^ffiSetVaxiorfs Fussent’ faites à S e '^ 'e t j ’élieS pourraient indiquer'une aütr-é espèce, eu au
/ ’iÿ.jW~^î^fosa. feinte [Alnsa'-fjnfo, Cuv.).
Les deraî^cél'p i^ ëes, car les bande» montent, pendantl’-ité , W t e t on trois reprises différentes,
sont a p pA ê s j^ - le s ÿ ê e à e u r s dé la Loire Feintes brétonnks, comme s’ils -pensaient qu’elles viennent
de. la b a ^ sL o Ire ou des eaux bretonnes •xteil ce fleuve. Elles sont beaucoup (plus maigres et moins
Iptlmées que les Feintes à gros oeil. Dans la S@ne-Inïé3d&uï.e:: les pêcheurs appellent Cahuhau le
mâle de la Feinte, e t ils lie l’eslirriènt qu’au second rang. C’est le contraire'de l’Âlosé vraie.
La nourritttnéTfe la" Feinteparaît-être lés petits ÿSis'sjÉuf et leaeHi#Écês S car^^cè pas trop duré
js iL== î«: p -= ^M V a s 9. â “ î
ALOSE FEINTE. — La Eeiiïtè se.pèche absolument de lâ‘ même manÎCTC que
F Alose" vraie, •aq’rtXLÔÿeù ’ q&s. sepne s, dès'tEnblIîs^ surtout du tràmail et quelquefois
des, liasses et verveux. (Ycp^Ai'OSB commons*)
ÿ ^ trre ll rapporte.que M. Hôldswortb lui a afflrmé avoir pPs'plusi«sirs É ein t^ ,
un.'Jour,, en pêchant au maquereau avécflone légère ligne flottante à'1-embouchure
J ^ . e rivière. Son apiorce était un pqoreqaude maquereau.
ALOSE ROUSSE. t^ (V à j, Glu.EÊE HOUSSE.)
a l o s iè r e . — Senne fine et à grandes mailles avec laquelle on prend les AZo-
smï •'fYùÿéz •ce’motî)
a l vin . — (Yirn AtBvm.)
AMAIRADE.—î'ilet du Languedoc qui s Appareille.comme les Battudes, çt ■
ressenïble à des Ikrm-fotks- '{Yoy. ces mots.)
a m b r e . —ôweèrfomï souvent l’Ambre jaune et l’Ambreigris, Le premier,
dont on fait deS"blioux, ne nqu&est point utile pour la pêche ; iïs-’agit
brégrîs, substance grasse,-, aromatique et Æoüée S1 un parfum analogue tau miusc,
et qui paraît être, im e^p tç i^iq n formée dans tes intestins de, certains - Gaehaiots.
On emploie cette substance odorante / dans la composition des appâts et des
amorces artificielles. (Yoj, ces mots.^0