
 
		des habitants  des  eaux  qu’il  faut  encore, savohÿidéjouer  (fuand  il  s’itgit  
 à®.noyer le:pois$on. (\mi après's’être enferré,  cherche à- se dégager. 
 Toutes les espèces d ailleurs ne se pèchent ;pas â la même Raison , et au  
 mot  Calendrier sont réunies : les indications ; nécessaires  sur les  moments  
 dè l’année  et  sur  les  heures  du  jour  ou,  pour  ne  pâsï-éprdùyertrO|)  
 d’insuccès, il convient de tenter les hasards dm combat.  : 
 En outre, on  doit bièn constater Y aspect des• eaux, e’éstrà-dire  en-sém*  
 der la  profondeur, - en: étudier- le "courant  et sàvâtpistër  quel; fond1  elles  
 roulent i?p)u*r  eh? connaître ,  par  avance ,■  jusqu’à ' un-certain  pas 5  la  
 population ,_et-, pari conséquent, dans unit .localité H H  n’a pas: encore  
 eh l’occasion de lancer sa ligne, dresser en vue dfoshetf^ysur soft- carnet  
 d’étude ;  ifti tableau dont l’auteur  donne  unmodèle>et  èu^Sont mscritësy  
 an  regard  de points  de  repèreiixes,Tde®indîêatipnS'dcmt il  s’agitik# 
 Les détails qui  précèdent.suffisent pour montrer, sous-uri point de>vhè  
 spécialytes* secours que'jl’qn adirés de ladeêtUre des articles. 'dont je viens  
 de donner les titres.’ 
 Jè ne .puis  pas,  en  raison même  des limiteCiétroites* déi'êëtteipféfaGe-,  
 pousser plus  loin l’analyse de là  portion  du  livFe -aonsâerée-# L'exameri  
 des  questions pratiques.  ïÿ’auteür j  d’ailleurs,  n’a pas envisagé- son^süjet,'  
 sous .un seul aspect-Obligé,. presque àichaque page, de Çlte&'deà noms'-de  
 poissons, il  a trouvé  utile,  et‘'avec juste  raison,. > de* fJre*-G©nnaîtré  les  
 animaux  dontvil  avait sans cessé  à parler. Abordant-ainii rhi^oîrè ' des  
 pêches par son  côté  sèiehtifique,îd:l  ne-pouvait pas-néglagêriliesidé^ils  
 principaux  sum^anatomie^t  sur  la  physiologie .'tiësô?pdMônsl.-’ Voilà  
 comment le - Dictionnaire des'pêches est forcément devenu un-Dictionnaire  
 d’ichthyologiè.. ■ p 
 ?  Tout ce qui se rattache aux Lois sur la pêche est commenté et attentivement  
 étudié. 
 L auteur,  très-expérimenté  dans les manipulations photographiques*,  
 n’a  négligé aucune  occasion  de  se  servir  de  la  science nouvelle- et  de  
 prendre^  sur les poissons  mêmes, préparés  par  une méthode  rapide de  
 son. invention ,des imagés qui, reproduites, ’soit par la gravure^ur boisdans  
 le  texte, soit par la lithographie;  pour débelles planches formant album,  
 donnent  la  représentation,^excellente? d’un  grand  nombre  d’espèeès,;  
 Au* mérite de l’exactitude  des figures,  s’en joint un autre  souvent absentdes  
 ouvràges  d’histoire  naturelle  :  je  veux  parler  de  1 expression  de  
 -vérité  qu’on  y  remarque.  Les?poissons  vivent, en  quelque sorte,  sous  
 lé trayon}  il§J sont en mouvement et  occupent  la  position quils prennent  
 en  nageant. Le  fond  sur  lequel  ils  se détachent,  pour-la plupart,  
 etTeau qui'lçs, baign^ajoutent à l’illusion. 
 ’  Des  dessins-'anatomiques placés âu milieu  des  descriptions  aident  le  
 électeur et lui font mieux comprendre ee qoidfeiféAéeyunâlgré sa précision,  
 pourrait laisser  d'âbschr  dans nftprit  d ^ ^ S  - qui. ne sont  pas  habitués  
 aux expressions techniques dont il' faut se servir,  quelque  réserve qu on  
 .apporte à  four emploi. 
 Aux figures propresAifâ’Ciliter lffooh^m&saniceî-des  animaux  et  de Jeur  
 ■organisation, l’auteur' en  a ajouté  un* beaucoup plus grand nombre rela-  
 âpves à la pratique de Tâæhdu- pëprêjam Pas ^ e n g in  n’esfenommé, pas  
 ip^üpédé -de pêche  n e st^ è ri-t,  p'âs  un  appât  vivant r | | | t   signalé  sans  
 qièfoidextë'-soit-enrichi,  aussi, Vâri'ées  sujet  l’exige. 
 DaDs/eete- encyclopédie illustrée; l’^ H H I ^ i t e i u ’,  Â. Mesnel 
 jge montre.fort habile,  tient  doncm^^lace impertante|Èfet par  la  qopie  
 ♦■des belles  photographies  sur nature que** l’Adt eur-*#éunissait  depuis  bien  
 dêf atMéei?déjà dans  ce bût, que par la repfpdu^pÿtuj.ine foule  d’objots  
 Jtiënt  la “connaissjmce  doit  point  !^if|||Rtr  à  qui veut 
 apprendre^ et dOTmeyenir familière au  pratiç^tf^-n  
 I  ‘'Tels  sont,  en"Sn'mé,  du  livré  de 
 M.  de La Blanchèro. 
 Ge n’est,  au  reste, que le premier volume^d^feewgrand,ôuvrago.  Le  
 |||||o n d , traitant dès Pêches de  la Baleine, du Haréng,>de la  Sardine,  du  
 Thon,  du Maquereau,  de  la Morue,  etc.^aè laPiscieultnre^flhviatile  et  
 de la Pisciculture marine, de L’@Mréfo$dture,  ainsi  quedê<bexploitation  
 des  Plages,  sera une  T~fisïoirpJdës^fûndes Jiitm^m^^des gaux dêstinée  à  
 I^Êto-pléter  l’oeuvre considérable qu’il''a erifrë|fi?m^'^ 
 Aüg.  Duméril.