
 
		rouge  éclatant, mais  souvent  aussi  jaunes  ou mquéheté.s  dg„ rouge  et  de B la nC jiîB Â Jp iifté t §11  
 blanc, ou tout blancs, ou roses  Quelques-uns ^restent toujours  bruns,  à,reflets  çhaudg.  , 
 Tous ont  le museau  comme tronqué de bas  eivbaut, la  bouche  petite,  ouverte  vers le- dessus,  
 l’oeü grand, la caudale bilphée-, grande et d'une  forme gracieuse. La dorsale,longue,  à,16ÿdu*l9  rdyorfs,  
 les pectorales  fortes  ebâïtS3W # er f h ^ l e  de  8  rayons" dont 3 .osseux, 
 . -L’oeil  est grand,  saillant  et élevé sur  le front ;,l’iris  noif  entoprê d o u n   ou  deux .cercles.",noirs  
 alternativement  et  rouges-ou ® m e s .  Les  opercules  sopt .Composés vers  le  préopercule |djqa  assez  
 grand; nûfnbre de  larges  ecaifles. on  pièce^ ljticjdégSi .On compte tant  de  variétés dansïggtte  espèce  
 qu’on grand nombre de  ces poissons''présentent des  ap6m,alies  aux nageoires. Voici le^ compte  qfel’un  
 d’eux,'de  chaque  teinté  ■ 
 Chaque  pectorale de  la  variété  dorée,( porte  la; caudale;  Les -pectorales  de- lavariété  
 argentèe‘'qnt,15^rayqns^  etl.a  caudale 26. 
 1,__.Les  teintes  de  ces’poissons  disparaissent  en  grande  partie  avecpu. vie.  G^gnaunément-  après 
 avoir  été  noirs,  alors  que  le  changement  de  couleur  doit  se  f a i r e , p . o i n t s   argenté,s  paraissent,  
 s’étendent,  se  rejoignent,  puis,  quand l’animal  est devenu blanc,  cette deipte se^,rapiécé;degpiême  
 par le  sr,oi®é-.Çette-coloration^&e  beaucoup  de  v a ,rié të s .I^ n ’qstjuue-versdegr^ta^i^ïngipnnée  
 qu’ils commencent à revêtir leur parure  rougé ou argen.tég, car quelques-uns  restent blancs,eîipesiQOt  
 pas  les moins recherches. D’autres  deviennent jaungs,-,d’autres panachés -d|Jil&Q.Ç ^tdeÆougÿ j jljg  
 uns .ontune nageoire  sur le dos,  quelques  autres,, jj’qn, opt  pas.  Dans  un  étang,;jqflypiir  plaît; jiff  
 amverit  à une grandeur  'de  0m,40,  et.è.dupoidâ dê 2 VârKÏÏog. 
 5!f  '3 8  canal intestinal  de ces  charmants poissoha • st  contourné  en tiuis sîmM8ftës:^^M^M.ata-  
 toire  est divisée  en deux parties,  l’une plukretroite  qiîe ï,autre. 
 Ce poisson  à  été  introduit  .de  la  Chine  à  Sainte-Helène /'ap p o rté   en  ^nglgteqre  par 
 Ph. Worth,  il nous1-est venu,  de l a ,p â rl a  Hollande. 
 Les Cyprins  ainlafdépaysés,  ont tellement"multiplié depuis  lors  qu’on  d-u^çq^nnie. 
 entièrement natifralisés. ISousnotré  climat, iis-fésistent au?ïrüiih  le-  ] lus i tffijuijjux, ]|OjirvuT-;iii'i|,s  
 àÉfef%sez:  S'ôta "pour  s*y tenir  Sra-3^suus<ae  là  'e^offte  d>s  ^ a re ? v ^ jK 3 p u iii.ii,'--|i,i--  des  étangs  
 où  ils  se sont multipliés  aii-pioînt qU’oti'Ibsy p èche! s a h w  ru j m l i '"1 Jj&k.  
 que  la Carpe' Leur* chaÆest’beàucoqp  plus cfelicatç.  '  ’ 
 RappfochSS^affs’oelffiede  la1 dëmeuïe  de  l’iiohimt;  le'-,  'Ui|jef,’|-fl^ it|'i î r S j^ i i i ^ - t t 'l c 
 un oimpie  sufet  u orMuiênt dû  de  di^t¥àctio’n'.~ ïls-oiii'lnffM!r l]Tff--nr 
 d’ohserver  des faits  inédits  et'très-c3Bèu’x%éipJ%'sî6lb'gie  'l*urn"TliVpuTt *   r ^ ^ s r . < <in^i- ne 
 par M.  Bory.de  Saiht-Yùfcent et- montre  CTimBi'OnlîeslfêScfisfaBees1  èmSjWïra^ÎMb'n-at’tp'mveu.t  
 Influer sur  le  .développement des^êtcesa-Des peissonsCrphigés -âgésdium an  r fÿ ( ^ s J ^ î( ^ P )T - ,*ffiajon,t,  
 placés  dans  un  lu»  il  eltmi  et \   ir-dèient M  un.  \Ciluu1  dv'n  lone-.e'-p n oui  temp»  iis  n.tti.iTnb  
 pas sensiblement grandis.  Transportes  alors  darjatênilarge-l/cfisiu•’1flhTenmiji  fru iflw n um r  i \n   
 une te llerfap id itéq u ’auBout ,de. dix meisleufr%ngüfeur;étaîtîtripiée!.t‘ !;'-1 
 C Y P R IN  D O R É  D E  L A   C H IN E .  — "©elçsfpMcttféf q u i ^ â t ^ e x t e lw f e ^ . 't a a 'i i -   
 gêr, se -prennent  à  là  ligne, comme les  Gardons  et les  Carpes.  Pelil  
 trësrïàciïëmeht au  ver ronge^fir J’asjlvôl,  Jfl‘.  .m  -to^jtihj. 
 dg^éajné^t plus-dpflants, et doivent èiregscnjp gp^feeles^Ct^pe^, en:  
 et par léségrands, fonds dleatpde l’ étang^ quIIl^habiteTrk  .. I 
 C Y P R IN  S T R IÉ -.— Malacopt.  sflfdl  Gy.péfflÆtfffg-.  max:  =Sf‘Wïfig&' H  
 Ce poisson, de la famille des Carpes, en diffère d’abord par sa formetplus élevée .et plus  compri-  
 xnee, puis par  son  opercule  strié fortement.  Ç’ést la Carpe  de  Kollar  (Cyprinus Jcoilam)-.  II  porte,  
 comme la  Carpe  commune,  quatre  barbillons,,  mais,  beaucoup  plus  petits  Les  écailles  sont plus  
 grandes que celles del’espè'çe type;la coloration est claire, gris argenté, les Mgécwres'un^ieqbleuâtres.. 
 Cette  espèce,  dont on  ne  connaît guère les moeurs,  sc.trouve surtout dans la Moselle et les fossés  
 de  la  citadelle  .de Metz,  sans  doute  aussi dans  les  rivières  du  Nord:  Il  se fé«tjj|jji& ce soit  une variété  
 de  la Gibèle  (Cyprinus Gibelio),  qui  est un poisson  du nord de i ’Europ.e. Valenciennes dit qui clic  
 est commune  dans le lac  de  Saint-Gratien,  où  ie Carrassin  n’existe  pas .et ofi  la  Gi-bèle  est  rare  et  
 accidentelle. D’autres  auteurs  prétendent,  au  contraire,  que  les  Carpes .de.  Saint-Gratien  sont  des  
 Gibèies.  Qui  croire?  (Yoy.  Cakpes  Kollar. ) 
 C Y P R IN ID E S  (Cyprinidæ).  —ï'tYdy rfeparaoiUES. ) 
 C Y P R IN U S __ .(Yoy.  AblEsjdes eaux du  Frawce  et  -* 
 C Y P R IN O ID E S   (Cyprinidæ).  — l re'farfïillë"deê Malasopt,  abd.  2 « ^ S® fl.^  ‘ 
 Cetté famille,  ddnLnous avons donné les  caractères généraux au  mot  Cyprins^ est Wè  des  plus 
 LLB  '  D f iB tR A V F .   FéT Cle  PA R IS   7 8   R   M ,  E C O L E S 
 NOU;V. D.ICT.  GEN. DES  PECHES  .