SAUMOffiGvO'MM UN.
Le Saumon sei'prfend. squaieat settl, à
lui-même avant que fe jiêstea r aitjqsfe temps d’y penser* (teste Aient à la seoonsse
que donne le ,pdssqn, s»wi?àaBiôqÊ®!; avec des mouches-artafidelks,ioji.em n’arrête le
choc, el le poids du poisson, l ’enlerre dîairtaswt mieux qu’ü -esUplxls-. comsidérable.
Le Saumon, et cela dépend du temps, aftaqweéjgaiementsk fepbàea dents#^ dans^
ce cas-là le p ê ch e« ne doit pas esarndce oteferrer vigooreusemeiat
sa capture. La ligne, rempilé; .fa ejto»e, tenait est saMde,:il faut emlpsbllk^&ji;.
'a Le Saumon sepêehe également au pdîssam.vïf, au passer); et, .daîpf|isjeliptes
d’eau jet.les cascades, à ki®dMi®roet'au
simnlaere de poisson • tenait oete rSBSsàt parfaitement quanfèslé tempi eti ié: veartusont
à la pêcàe/.et'.quéile-'Saumon meéd.. .Maisî-aaesas- ne pouvaas asseKle redire aux
pêcheurs qui ne eoninaissept pas encore' iesmeeurs du Saoimon- et brûleanit de^se.
mesurer avee.ie maître de nes. eauxidouces^Ltodamje^ï^eElà pèehe àla.§gffe
du Saumon que dans lefr end®o^s> od il vient prendre tetefeoStrés tïe la Truite,
c’est-à-dire dans les rimères wwnVîfts et daBs les asffiuents' des grands fl'euves, près- -de
leurs .sources. : Arrivé en; ces endroits, le 'Saumon i -est: >ehez lmy ü ^^igpéè il»? «kp
miette et y demeure happant..... quoi? Ici;sê présente une laonnei-dansi’kistoi®e
naturelle de ce poisson tout porte à, es&iré ggà saipêelie^surtout -Htq#idesh;ëarni-
vore, mais on ignora: aussi, bien quelfese^t m nourriture pïé®nfo^tehiibueUe en
pan douce qu’e^mer. Pour nous, Iss Saumons vivent cemxne.’fe BtiSebet, de ttflp
ce qmivitefc-rettwieç à Huningue nous léàr ;|aiâions:-manger.—^dôn^ævalèrimdd.és
morceaux de poisson^ d’unftânerepdde fpussen®, maisîàisiffite se;jetaient.dessp& ■q«e
tant que le morceau, era mouvement, gagnait le fend de l’eau : ®*4iW|s arrwéanrde
sol et devenu immobile, personnem’y touchait. La rapidité de ces poissonsaà saisir
au vol leur proies dans un parcours d e 1 mètre environ, ate©s. qtat’fttlMseatebtefÉ
inattentifs et endormis, est incroyable et indescriptible !
: Ce serait une insigne feïfe de penser que Pon peuttattaquér' fe®aditn®iÇ4ài te
ligne, à la mouche, dans les grands fleuves. Il faut laisser la pêche etoees-endroits
aux grandes sennes e tau x immenses eordées-de fiui-t des^pêcheurs dedDEofessKfii.
D’ailleurs, lesSaumoms, excessivement farottehes en tqutfempsîÇftë surtout quand ils
sont en troupes, fuient le bruit des rives, ne remontant guère lies fleuves que la nuil
au milieu du grand courant, et nulle ligne, nulle mouche nepeut te^<eysehei^BfÈÎ
Au temps du frai, ©n peut employer le ’moyen suivant ; on se place sur un pont
traversant une rivière qui communique directement avec la mer, —^ ceanme l’Ateme
à ChateaulinjftèteHiqui arrive à son cour»’supérieur dansdes montagnes--*« çdmmè
l’Ailier à Pont-des-Baux, — là, on monte sur un grand moulinet en bois une forte 1 igné
de soie ou de fouet ayant 400 à 500 mèlres de longueur. On a mis au bout un
solide hameçon limerick n° 0 ou 1 avec un gros insecte bien vif, et l’on déploie la
ligne au- courant- Presque toujours un Saumon ou une grosse Truite sauiLe sur cet
appât qui descend l’eau, à une- distance impossible des obstacles que peut craindre
le poisson le plus défaut.
Si la descente n’a rien produit, on remonte la ligue en tournant le moulinet
aussi vite que possible, et très-souvent un Saumon s’élance sur cet insecte qui fuit
devant lui emporté par un mouvement inconnu.
On prétend que quelques Saumons élisent domicile dans le haut des rivières
qu’ils ont choisies et ne retournent point à la mer. Ce fait rendrait la pêche du
Saumon plus attrayante en permettant d’en prendre toute l’année, mais il n’est
pas bien prouvé.
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« Un pêcheur de Quimperlé, fort habile à p ê cherie Saumon et la Truite,
rapporté d’Ecosse un appàL merveilleux, et s’y prenait de
manière .à ne jamais jeter ou retirer sa ligue en présence de personne ; il usa de
pendant plïpteurs années.sans<pouvbfe' êtresurppfe._v m
Comme le Saumon se cantonne et que, quand on l’a vu quelque pari, le
pêcheur l’y attaque pendant six, huit et même quinze jours de suile, jusqu’à ce
que le poisson prenne l’appât, un paysan breton, ayant observé le fait, plaça pendant
la nuit un lit d’épines, liées en fascines, dans le lieu où le sorcier cherchait à
faire mordre un Saumon dont il avait eu connaissance. Le lendemain, au troisième
coup de ligne, l’hameçon s’accroche et s’engage dans les fascines, la ligne se rompt
au-dessus des enipiles et le pêcheur change de place pour ne pas éveiller l’attention
: il’avait laissé 1 ’hamèçqn tetet amoMé’dans te faisceau d’épines et livré son
pu paysân^®i'4’ofeservait-et qûi, la nuit suivante, s’en empara__
l |||p j é l a i t un fort hameçon irlandais recouvert, dans son entier, d’un trousseau de
tête iMreBren: purgés, piqués par le milieu du corps, et placés
sur le fer- se touchant, se pressant les uns à cBté dés autres,, avec deux émérillons à
une ligne jadsportant aucune flotte. *
« Un Saumon d’un grand poids demande environ une heure pour être noyé.
gW®*la*Trure8y!fempIôyeîf ahssMê trousseau de vefs hM^ ^L ien purgés e t bien
refînes. L’un ei T^nwqtie fces poissons se pêchent àiteÉi âjï Véron m o r t .
me”aeufyiameçonk, Ss’jm P K s ï petit, dérïlçtju à |Mf que le petit,
sur une empile courte, descende à moitié du gros, pour saisir le Véron par la
tête et la queue et lui donner de la courbure. La ligne n’a pas de flotte, mais'elle
■êst mumewdes deux émérillons; — Laisser tomber là ligne à l’eau sans bruit,
puis monter et descendre, aller à droite et à gauche, agiter sans cesse l’appât
en avant, en arrière, en haut et en bas, à droite, à gauche et sans, clappotement. »
(R. de Savigny.)
S A U M O N G R E C . HgToy. B Ê C A * * ^
SAUMON HEUSCH ou SAUMON DU DANUBE (Salmo tacho, Lin.). — Mala-
capt. a bd. salmones. Long. max. = fl® ,50. .
Syn. : R iv e d .s a ïm ô n , angl. — tlu ç h , h u c h e , heù ch , ail. — S a lm o reo, espag.
Corps pins long et plus rond, tète pins allongée que chez le Saumon ordinaire. Dos large et arrondi
; dessus delà tête méplat. OÉil médiocre, placé sur le devant et le haut de la joue. Opercule petit,
triangulaire, à angle supérieur tronqué, et intériduîfifrès-aigu. Prëopercule à hórd mince, arrondi,
avec quelques légères ondulations ; i n teropercule quadrilatère, mais rétréci' en avant.
Gueule assez grande; dents palatines fortes, en crochet et sur une seule rangée. Il y en a
trois ou quatre sur le chevron dn vomer ; mais le corps de l'os est lissé fit sans dents -Mâchoires
1 égales, langue grande, libre, cannelée, comme celle des Saumons, et de chaque côté, une rangée de
| ou 8 dents.
Dorsale;sur le milieu de la longueur du corps. Adipeuse large. Ventrales implantées sous les
derniers rayons' de la dorsale. Anale un peu, pointue de l’avant ainsi que la pectorale. Caudale fourchue.
D = 13. A = 1?. C aa 29. P = 17. V = ; 10. Écailles très-petites, elliptiques.
Les bandes transversales foncées que l'on observe sur les jeunes des autres espèces de Salmonidés
se retrouvent également sur les jeunes Saumons du Danube, mais à mesure que le poisson
grandit, elles se transforment en taches iso lé e s plus ou moins irrégulières qui, chez les vieux,
n’exisbenl plus que sur le dos. C’est un joli poisson fout argenté, aux reflets lilas; Les pectorales sont
jaunes,, la dorsale brune, les ventrales et l’anale claires dans le même ton, ainsi que la caudale qui
se montre jaunâtre bordée de vert foncé et fortement échancrée à pointes assez aiguës.
En vieillissant, la Lcinte d’argent violacée en valut le corps et né laisse sur le dos qu’une'Bande
Vert-Ëleu' sombre riiàrqiiëc de quelques petites tâches noires. La tète est verte, les ouïes piquetées de
points verts sur Vit fond argenté bleuâtre. La queue est jaunâtre à bordure plus verte,, encore
échancrée, mais à lobes, moins aigus ; l 'adipeuse est grande, vert foncé, arrondie et couverte d’é