
 
		s’embarrasse  daqsjge  filj||,, mollement tendu,  et. tous  ses efforts ne font  que l’enchevêtrer  
 davantage. 
 Ajoutons cqu^on  ses-sert .fdussi'de la^drayeyetqde KrJân0$S\f!pftai^ii La  chair du  
 Turbot passe  pour très-nourrissante ; m ‘V'é&u ^ lf^ ls ifoM‘^ ® ’¥^|<é'  
 ou d’algues, elle contracte une pdeur fort désagréable.,. 
 Avant 47oQ,rle Turbot n’avait .aucune valeur  en Écosse,  Les pêcheurs l è B â f   
 baient.aux  pauvres.  Ce  fut  un  officier généralpngtaisy.-grand  amateur dé'honne  
 chère,  qui m it c$  poisson  en  réputation  dans  ce pays,  p a rla  préférence^u’B;|jti  
 accordait"sur tous 1% -autres. 
 AÆoncarneau,j'omne prend güèrede'  Tur-hofegp’à la   drague, bien^rarement  à  
 la. ligne,  ce. qui- est  lé contraire  de  beaucoup d’autres plages.  Les  fonds  de jable  
 dur,  voisins de.cette  baie, ; donnent  cependant;  tant  à ce  ^qu’aux.'Sle;.,- 
 Carrelet's^’ete.i  une  qualité  très-remarqpable,  qui permet de-Tshtransporter.-^. de  
 plus ^ a n d e s distances,.parce qu’iljsfe .conserve mieux. 
 Le  Turbot est-Très-commun  sur  les  côtes  do M a r s e i l l e , l a   
 préférence sur les  autres, poissons: 
 On pêche le Turbot dans la ISb’mme -en eau douce ou mieux saumâtre,  mais  il  
 est toujours plus petit que dans la mer. Sa  chais- esteplus  molle  et.moins  déliieate. 
 A.Eoyan,  qn  prend le   Turbot avec  des  lignes  de  fond  et  la  Senne. 
 TU R LO T T E   (P ê c h e   à   Brochet. )— La- T u r i n I t ècc 
 dyligïie  volante  décrite  déars-dée—prüs^ânciens  auteur^yet»dçfifjil®ië|qnfed®)lus  
 grand eÔbgbYSe crains breirquë la rareté to ^ to s c f o r s g a ir a 'coe ^ ^ n e ^ ^ ^ ^ ii’eh  
 rende,  de nos  jours,  l’emploi fort-chanceux;  maM e r n}â r p p l yo.uid .qAèttreLfen  
 transcrire'la  description  up   peu primitive.  Quelque  pêcheur.la  peri.çrliuimfk'd.i  
 On la construit de la manière suivante  :  ou monte  une.brieqlç^ftafi'l ;d | l.ii’Lpn-m^  
 tors-de  la longueur'deiOm,45, à OfP,20vip»is,on- fait ume.aEQqtjppf oadçn^ëpais#.,j|âoé  
 d’un  trou  de laqgçqsse'UTï d’une plume  d’oié.'Ce corfleti sdrdÿl^Wg- de_0“^ P  à 0!î^$l8*ÿ  
 an Travers  du^cferMffioh pa’stefëchaînqn-portant. lTiàSnVeqir,  et  
 du plomb fondu que  l’on  verse dans le.  cornet,  de manière  que  la; queue  de l’ha-  
 meçon soit cachée dans  lejçôrnet et biendxée  au milieu.-  -( 
 OnK construit  ensuite une douille  de, fer  de  0®, 15  de* long,.-fàitëde  m api ère  
 qu’on puisse y introduire, par  un  bout,  la gaule ou canne à pêche, et qu’à Tau Ire 
 (■ÏÏJnyndé^ se,.lj,duvo ( montejun ppüt  
 [âiiiïeau pour  y passer Ha  
 don il 1 ft ftst-.dhnc  ft)terri êni e  terminM 
 SH  1030 .  —^  Turlotte.  7  _  .  _.  — .  “en  pointe.  On  amorce  la  ligne  avec  
 un Goujon)  en  lui passant le  chaînon dans, la gueule  et Sans le'corps';  il fautequïï  
 avàlé’toutfpequi est  couvert de plomb'.  On Pâttadië  alors., spr  l’ëmpil'e,  ave&qïu  
 fil (jtf.  doàb]/ ’ 4 
 V ,ü ^ ^ ^ l ’amdrce placée, oü)|>gssé,,gar I-a-nhëab'de;fër qui termine üHpmille  
 à l’extrémité  de  la  canne,le  ) bout  de  la  lignéTongue dp 18 à 20 mètres,  et. en-,  
 tortillée autour d’un morceau  de  bots,  que de  pécheur tient  de* la  main  gémehe.)  
 et  au  moyen  duquel  il donne  ou retire‘(te' la longueur à la ligne,  la -canne  étant  
 tenue de Ta main droite)  et la ligne  eu étant  indépendante, . 
 *  Nous, avons  rapporte'fidèlement cpt£e pêche,  fort  ancienne, jd  quka.de -beau-  
 qeup précédé  l’invention .afp meùlmet»  On^peut  la  meâSiexL i f f l é  mant&e  plus  
 corpmode. 
 .  D’abord, nous .nqus 'êlèvprons cçntre la,grosseur  de  l’amorce-.de, pJ.omb,. et la 
 R f m  O M MUNE.   H 
 grandeur  des  mesures  indiquées.  Sans  doute,  il y a  dix à parier .contre- un  que  
 les  Brochets  étaient,  efdî'ëe^têÉïps-là?/ plus’j gfos  et  plus  voraces,  mais  surtout  
 ôiqi'htP ^ è îté s,“(Ju’'à p ré s e n t.^  ^ ^ ’pinn a i^ p ^ i/à ? ]  sur  dbp^iMe avec des  engin»'  
 aussi énormes.-Aujourd’hui, nous devons prendre plus de soins ; le poisson, comme  
 les  hommeSj-'li^t avabp&^M^^ivilisation.^^^fe aiit  d!oaj|ÿ^^^a_ndre  de  diminuer  
 le^owi^L  exi'(argeur^e^_erLï rongueur&dê,|ànçon à  i ^ ^ ^ ^ w - u r  ^^mpile  
 métallique de la,‘lfrièfplrqu’ün 'pâfiM'màet de^joteb: :de?0’m .04 à O*-,0tMei|pngMtvee  
 la g rb p e i^ ||ia 3 ’crayon' ordinaire .’oeSserà^biennSaffisppt pour eiMer dans le Ibrps  
 -•de ra-m^G^ki^e/^iMy-vresislera  pps'ipiigtënmsÇ^ 
 En- s ^ ^ W e u ,   iffa tid i^B e   servir d ’u ^ é l^ t-mWà an n e au x ,  g a rn ie  d e d .Æ ffio a-  
 lin e t,  q u i d o n n e ra  b eau co u p   p lus de  facilité que  le m o rc e au   de bois  de nos  g tîn d ïf  
 p èrefjfEh lin ,  la  rig id ité   d e ï a ’d o u ilk   r an n e au ,  quTl'.i  ivdiënïmcnrtec'-et  qujil^sou-  
 tenaiehfr-a'U î b o u t  d’u n e   gaule,  noue  semble  fo rt. jkéjjud] c ia b le i^ ^ ff^ c ê feB c a s i,  
 q u o iq u e   le  Bi o ch e t,  au q u e l  s’ad resse  c e tte   pêch e,  a it la   n iâ ch ^ irê ^Q B d 'ç ^ à c c ire   
 v au t-il  mieux piendië.dpV  pré( autienstepfàr  le’ c a '  eu  l ’h.irifeqoii  a’a u ra it ib n è o n tré   
 qu e lb»  p a rtie s  n î a K  d ie  gosier. 
 C’est la pêeh e qu’en'Angle terre on nomme'Trolling, en dimi&uant Wgéisseur  
 des <mgms-*cMt‘*_«’dpplique admirâ-blfement'à rajTrùxte.f 
 TUYAU  d e   p l o m b Jp m p î r   faBr soi-même les tubes de  ilK ib 'd e ^ ty s  à  
 lester les. filets  orà choisit deux pierres tendres  que  l’on creuse  en forme  de %out-  
 tière’y lt qui,  lïppw^lm’-^^nc-visyfevi'. de l’aB&ëf-.'^sententûttd^OÆ^ æ mdriqué  
 vertical.  On  a- eu soin de ménager au bas des  deux  gouttières  une  petite  rainure  
 dans  leur milieu, laquelle,  lorsque les pierrés sont rapprochées,  produit  un  petit  
 tro te ^ffi^ it raxeSvdu‘â  tvlans -lequel 'O ^ j^ ^ ^ ^ e ^ ag u e tte lâ ^ ê iifà ip eu , 
 ^   dnriemjon  d ^ ’qor.b's  de-, fil(ts,'et  pluh-grbssc'cl l’e’EirtMjMgupcTiciirp  
 qu’à  r-imj^f^qp^  afin  retirer  fâeilemfent mî  pldmji  moulé  tout 
 î?autonr. 
 ,. ,La'baguettepétte^Ælessé’&au milieu  du  moule,  où. remplit câw-ci de plomb  
 ISh M  |» l'U^§e  refroidir  quelques'instants,  ôn  sépare  l^pienres, 'nûjtxebirpda  
 baghett^e-n en frappant le-p e titub esnt • sur '.Une pierre)-} ^t^tnjbe^est - fait.  - 
 T YM P A N IQ U E  (ës). — Oët 'os complète, sous^Lë» crRae, lïaToafde ^ p'terÿgo-'palatine  avec  le  
 jugal et  le  ptérygôïclien  souvent formés  de  deux  pièces.  Un peu  en  avant  de  ces  os,  on  trouve*,  à  
 la  voûte  du palais,  les  deux  palatins  de chaque  côté  du  vomer.  Tous  ces os  ont  une  structure des  
 ’plus;compliquées  et se..doilblent  ou se.dédoublent  suivant les  espèces. 
 Nous  n'en  parlons  ici. que  pour  donner  une idée générale de  la  composition  compliquée de  la  
 tête du  poisson ;  disposition  qui, permettant  à  certains  de  ces  organes  des  mouvements  dont  l‘es  
 autres  vertèbres*  sont  privés1,  supplée*airsl^usqu’à  un  < ertain  point,  à  IfPpfîvaîioîirueS  rnouu?-1  
 rbenls dvre^i^®;  chez 1 esîf»?»i§SoîïsV îî’eXislentJpaiSîf''1 
 1 
 UMBLA  (Salmo). —  (Ombre-CHEVAtiER et Sacmon üsble.) 
 U M B L E .—  (Voy.  Sadmon.) 
 UM B R IN E   COMMUNE (Scioena cirrhosa,  Lin.)., — Acantbopt,',  scomber.  Long:  max.  
 =   X*",50 ;  poids =   15  kilogrammes.