
 
		6i a PEEC HE  1 0  M M U E i 
 «: 0b  la- die  # p f y f / f > © 1 i r i a À p ÿ i f J ||! ^ 
 a  sa  longueur,  on- pÿéïiH^n^OTi^c^â|fjâfe1î;l‘ ^l^fer''dei'Oih^ftï|dSïifeSM^Mn fait  
 « rougir ,au hjanc,- et  on, BCTçë 1^’gaulê'''! éfi VeSM^^nT^claris ,' l’axé,  tantôt1 par  un  
 « nou^,  tantôt par l’autrg^uKOTlà^cé  que Les  d e u ^ lS te s e :‘rèn c ^ ^^ p n " s^Wargit  
 « alors  ç eM ^ ^ u ^ q ^ e n Ju ê  niectxte'Àfi'.WuOiSîP^^*i^rQsfe^  en onsejvam uC»dt0-  
 a portionher le diamètre de  ce trouva I^ gH ^S g ^ uVlit perche?’  ■ 
 -  « i ^ te  nerche.est, ensuite bien  unie à l'e u éneur^ffli&iait trèmner"dansT’eau  
 « pendant  deux  la met .dam.-un heu. couy ert J(^ ^ n£F;e^.Q>?ft"-  *8. 
 « fumée jqsqu’à  très-'sàwÆly.e  trou^mSUetê fâït sePt*à^æ^»oir 
 « deux baguettes,  ,carla:perphe  e§t en^fflt fermée'de trc^nmreeaiix qui’aàiiStent  
 «Lies uns al®%utres. 
 „y(rPour^ faire la  .baguette nju^mlvetce .ani-ttée  auA gu'kde la perch^Qjeu'Sjl A   
 «. çueille  d,an|  la^même sajgu|i^>neJ^'gwfAfe. de .'Coudrier  æa ^Sm 'ïajt^sMm -  cio  
 «‘même, onia,réduit àuiie-grôss&ùr^ufflsant^ffiufe{iÆelle*ontÆmaos^ujj^nraront  
 « nous avons  na rm ^l^ ^ c ïïe c h ii nKnétrcr jusqu’à - s a  lMmieurTV 
 « Afin de r ^ p æ  cette p ^® e   eomplèi i f t   
 « miqces  d’éjM^^mrp,( de  pommier’sauvagt^^^noflier  obgu?^iaBnTq a ^ r*qH^]'■ gt  
 « dépouille de leur, éeft?of& Q^epfeâfWcineî1  u^lÿéi^ç'^u'g^mllès 
 « èt  on les' ammoft^âé^z pour  q û ^ ^  ^n^^nt^è nt  m ffl (^lïtàJpHgc 111 
 «nèté'ïe'E&Ôms gros.®(l^'  p l î ^ ^ f f t s   uriés-'-'au’* u rR lr ^ P ^ P s  au 
 6  moyen dJëcroùs  et de'Vis Tte’mànièrovT(jdeÆ^jgrotg^ilmi‘éJij x fc-fMpS  
 « De cet le irhimn^^8^?«5piH‘ ptfchi^iaS^los-tif msî 3E®r#6î^^l&êfi^Wfeefe.fer-  
 « més dans là canne. -» 
 -  - 'Àu'Keu’f e  coudrier^ on peÆpmpl|&î|ftlafe^g^i  des Indes ;  on  fixe alors chaque  
 partie^T|éîfçl^®porte,.'îS^ffiÉen^d^cf-upfllesip<iüi'',^^ffi^TL/'-SSÎfeit ut  
 pas éniggelïe^ quand un '^o^pcM§5m*:^^fe^f!ÔTar*fe%n,ôiîtf. 
 Il est facultatif eneere de faire!1£Çâcg]fetâvi't^fïS^(‘-f!lî'ni‘q  (b1 
 bois,  taillés en biseauj-aux bouts, qui doitent  '■> 
 parties tailIéegse^ëbQvrenPêgaccèiiù'D^wTrmu^ n j^ ^ ü eïfTfQ.àiO1.11.1  
 duit  de cife m®^e?et  on' les/Ke p.âr un flj dqal^ ^ ' ^ aûr^TOÙtetlscMiiicJijÆé ■1 •  
 Ou. bien,  aulieù'defil,  on se'sert de  soie vpiJ.c fro^ ü ft5gKQ)IJP^ijfe.>- • -; 
 ■On peut faire/encore céi;%peEpiiesravec..|d<^&Q»des îlesuAfeâlfig^a^flSBg|aire  
 que M partie ^ ® .iÿ n   tient à  la main ^e&îautEeféPâFfe^PlW^lté^tre  
 faites’  avec  du  bambou,  du  cèdEê,- -du. cyprè§I®u,T;(lja'Utres»îb£|LSitl(égêrsS^ t  pliants  
 qu’on colore, si'onde juge à'!i|fKq>ôS7'eiâlles-fr1o Itant ave.c^d'fe'#eau-foBta^fed!fc- gitri-  
 que)-allongée; d’eau,dans laquelle-on a-fàiï-dissoudre^fed^^e iimailiâérfer.  On  
 polit ensuite wèeiiitelatqirêle {Equvsettmjmlgüt^,  Lin-.-},- On mé^qïluSieurs,,Lâchés  
 dé la solution ci-dessus en  polissant à  chaqûê fois.- ; 
 Eorsqu'on veut pêpher avec des -lignes  amod ies d’insectes artificiels.©s=pttu-  
 rekj  les'percbes  daiyeiirêlre  légères-,  et  sont Jfeitefl'4^e®1i6fc^WS*d^w l t e ncé- 
 PERCHE COMMUNE (Perça  fluviatilis,  Ijin.]fei6& Acanthoi|t. Percoïd.  Long. max. —  
 0m,40  à 0“>,5<). 
 Syn.  : Perchfjmg].^JÎïnj/el, Persi/ig, Bürstel,  allem. —  Persega,  ital. 
 Corps  oblong,  comprimé,  assez  épais',  vert orôrize.' clair,  avec  4  à  5  bandes  trftnWôrsales  
 vert bronze foncé. Yehx grands, noirs, opercule terminé- en arrière par une  pointe aiguë ét  couvert  
 de plusieurs rangs  de petites  écailles en avant. 
 Première  dorsale  verdâtre transparente de  lb-rayons  portant en  arrière  une  tache  jjnoire.  
 Deuxième  dorsale -de  14  rayons. Pectorales de: 14,  ventrales  de 6,  e t. anales  rouges,  celles-ci  de  
 10 rayons, do.ntles deux premiers seulement épineux, Caudale de 17  rayonsj peu  découpée et lavée  
 de rougeâtre. Dents petites, langue lisse.