
 
		TIREAU. — Nom donné aux Martigues'aux nappesiri'iaples'qhi*iSiéteüdent?des  
 deux, côtés du Saùtado,  (Yoy. oe-mqt.)- - 
 t ir e m a g u e .  j^fWnsüraem de,la -Raie bâtis,  | 
 TIRIAT. — Synonyme de Guideau à hauts éta tiers; -|îfoy. €Kj*edeaü,)  -  J  
 TIROLET. — Filet, sédentaire tramaiM$servant ,d aÊMeigaMë de Gasêôgbfiç! à  
 la pêche de§ Loups èt des Loubines.- Flue, mailla, 0W,023 ;  auméès/Ô^riOB.;-  >  
 T IR O L L E .— Tramail à ti|è§s petites1 mailles,fq»î sert aux  pêcheürs Ide la  Gironde, 
  -àfxéhdre de petites^Sote^  des'PKoe^des«âi|iSfeis{'ete. -ittfa-à 8'Tflètres en  
 carré-,  et'est monté sur uneïperche dé 4 métrés dé long. 
 T is et t ic s . — Sorte de filet fixe,  employé  dâds*fe. Mé€Êïe#liiéë;~ etSSJhi doit  
 se faire en nappe simple ou errffappe tram’âSlï^ê.9)1^ 
 TOBIANÙS  (Ammodytes). — (Vov.  Lakçon.) 
 TOENIA (Cobi1âs).  --^?i|y. Loche bYbIvjèmlX  
 TOENIOIDES. — ô«  famille  des  AGanthoptérygiens^ 
 PpmQits en  »•uban.  Ils ont le", museau aJfoDgé, la  bou^o^rfrfu^.âjra^'dfl^ntorançMiÜe&'efen  
 général  de  très-petites écailles. 
 Cette famille  contient-6  genres  ifêlÆipbWi-  'Î4  (Salle, 
 Gymnèlre ;  4°  S tyle'phorer, 5^ A m u s e a u  co u r t  e t   bouche  o b liq u e   : Ruban ,H°~ÇQpÀoie! 
 TOILE. — Filet intérieur, à, petites  mailles,  du -tramail.  ( ^ % ^g,mpL V  
 TOLE VERNIE. — (Yoy. ÂNNEAOXJ 
 TONNAGE DES  BATEAUX DE  PÊCHE.  —^Efetdécr&l  du$MKÈ$a3$ 1862  
 laisse u n e   èitflëre  liberté  aux pôêfiéurs  français1.  La  dil^tRSFCKtn.  qui,  dans  divers  
 quartiers,  imposait dés  conditions "de tonnage  ou  de  fo'rme^püq^^VmA^wl^K  
 plôy&à. la pêche,  s’opposait à tout progrès. S.  E.tfe Mihastn',""di‘ lu,oâatm^pii'p!^  
 hésité-àen proposer l’abrogation. 
 t o n n e r r e . — Pendant  lês-oMgés  violente,  -qmirediJe-toMiârre-^isDnSe.'élt  
 éclate,  lorsque  le ciel est plein -d’éclairs et que la  grêle toïnhe; lq;pcéssôn:ne mord  
 pas ; on a même remarqué qu’ils cesse dé mordre et semble malade plpgiçtoêtfeq-  
 res avant l’orage  ce fait s ’applique seulement à la-pêche  dé fond. 
 Quant à  la pêche  à  la mouche,  c’est  presque -l’opposé,  à moins-.que le-Cfeoe  
 des éléments ne soit par trop  formidable.  Le temps eti|e$  moments  d’orage, sont  
 ceux d’une pêche  fructueuse.  La eause-._en  est  simple  à dédûàferrïe’egtriiéSfranle-  
 ment de l’air et le vent  rapide et tourbillonnant  qui préeipîtént&urles èâiix,ot la  
 mouche qui vole,"et l’iÈfâqête suspendu aux branches Ou aüxherhés du  
 ces moments le poisson, qui a l'expérience etd’in sftîi^ ÿ o ü r-M ^ ^ t^ u f cir§ e ts ; ©i  
 chasse,  et vous  le Yflyéziéti’enténdèz  bondir pour atteindre  sa ^ram^fàùt qü’elR  
 se relève,  car la  plupart  des  inseclesjlrit  la  propriété  dê.nefre^pas,. mouillés, par  
 l’eau  et  de  pouvoir, reprendre .f^uf  ypLf’ÏÏls  trouvent  u»  endroit enîme.pour  se  
 remettre de leur chute. 
 Cette observation est surtout intéressante  pour les plus gros, insectes,  qui restent  
 ainsi  à  la  surface mn .tem|tô  appréciable^ tandis  que  les. petits moucherons,  
 ballottés et brisés par le courant et les vagues,  disparaissent presque aussitôt qu’ils  
 ont  touché  l’eau. 
 Dé là,  le pêcheur habile apprendra ce qu’il doit faire,  imiter la nature. Quand  
 un vent violent tourmentera les  arbres,  soulèvera  la rivière,  il  adoptera  des avan-  
 eéc&iles plus solides,,  et  y montera des mouches  artificielles de  forte  dimension.  
 C’est ce que lui a enseigné l’eiïpérience, mais, par suite  de  ce Choix”de mouche, Il  
 sait qu’il ne prendra que de gros poissons;  car,  si les gros attaquent quelquefois de  
 petites  mouches, jamais les gros  insectes  ne  sont attaqués  par les petits poissons. 
 a^piMç. effet,Les„p®isaans <de  surface, de,..surexciter  
 teursj ©jouvejïienls,.etri®»%appé tib ji-aous, egÉte^texcitatien^ lessgüba: sortent de  leur  
 -  pÈ^q,^fc-5e€snteBjit,„jouent, et-chassent ;  et  telle‘irisièi^qiai^à^^moment,  vous  
 semblé- fourmiller de Trrùfegg ne vous en montrera-nas.pge^Myyune calme journée  
 iÿ  un b e a.Tü^sfft l'pili 
 1.  , TORCHON  (Pêche  au^.—-Les  Torchons  sont de petits  paquets  cylindriques  
 de joncsiplhés,  que les vents  d’hiver  ont roulés  sur les rives.  Ces  paquets,  longs  
 dè 0m||p>,  sont ser3r,|s^?l(àaie de leurs exfaémiîés  (fig.  992),  
 d ^facoTlj.gigJ^a'î'ftret: pui ^^’sfjérai ter comaa&eï im^ég^iataiL ; 
 (  ^ f f l l ' e . t r è s - 20 -j|Ygg^es, mais  dont les! 
 ^SH.^Iwg-l^fcen'v ii oiu. Sonjkroül^ia^jtf^ d^Terchéi^, "“porte  
 u®1 bame|jjl de^foaâne-carrée-attach!É|l  unlffl|métallique,  
 mieux'.'eneoTè, à-u0fee0rdftfiîé©’54çëitCvpréÊâiitioni^pËiiar  
 "(''^^dî^pêc^eEde-ll^'clfet de Coupei^-aêvéc sesrd^&ts‘Lranj  
 (^Chantes,  la âeel'le^^^Sitient captif. 
 b’a r p ^ g é^ , ^ ^ ^ é r a i,  une  Perehe ’^e  100  à ? o j |  
 grammes, que  1 on suspend à l’hamecoa d’urafe manière particulière. 
   On  commence  (/%.  m ï)  par  perforer le dos  du  
 ^^spn»dpUs Æ  ia 
 |||É®ÿd^%ne  p p ^ l  élIÉSii!®  vertéhrâfê^  pLoer  ém  
 %%P-^l&^1l#fSaâ&ÿtpafe1entier -par  la „plaie, et on l’infro--  
 Jlé^àqen.à."Cn faiee^ sortir la pointe]  
 a4  on  laisse.aileï-  le poisson 
 -^ î?s Ie ¥& ^ g ^ fb h ^ d â d e   ficelle  environ, le-'reste.sek-il  
 ^ant ^n?*^^nÿJlè|,jiOtt§|r.isgrrés.ie&uns contre les  autres,] 
 4e W.Wia^«^qu|. dqqper m^e forme cylindrique <$g. 992)’  
 I ÿ m o p p ^ d ^ ^ ^ t e n t o m e B i  W  l’eau,  et chemite  jusque«® qu’un Bro^  
 cliet ou d autres, gros  poissons aperçoivent cette proie facile à saisir  
 j  ,   L^Mp’ulivp o i s s o™ ^ u ,  il  tire la ficéHndn Torchon,  qmse dressé,  -  faiJ  
 Ia^ q u ilS ^  et bientôt laisse déroula le reste,  après  •.  
 quoi  les j^f^#écartent tout à,-coup et disp^-aisseoiM  
 | f e s f  Jfeî^G'’èst ' alïfrs  que  botamence' la  pêche!  
 fewsque.-leÿÏQrchon  reparaît:  à  là  surfitoê^  ôar-s’«   
 i^prq^C sans- faèe  de1 bruit,  et l’on y en  ajoute nd  
 ( second au ^moyes^p sa- ligne,  puis,  s’il  le  faut, 
 M W  ,les(ïuels  ne tai>dent pas  à disparaître si-te'^i-sM^aaohe dupoiss«^^  
 poisson  pris  est  de  grande  taille.  Il arrive  souvent  au moyen d’tme bricole... 
 qrn c # i- ô i  6ntraîne:frès-loin après  lui  tous  ces,  a#endices  désagréable,  et  ce  
 n est que quand ils  sont immobiles à la surface,  que  le pêcheur peut  songer  à re- 
 S g   r r f   T  aprèS 1>auH  1  Mm  en e ^ n t   leuv m a v e ^ S u -   
 S ;  f r   eû  i   tenant  très-légèrement  entre  les  doigts ;  car,  si  le  Brochet  
 S r i   secousse,  comme cela arrive très-souvent,  il  feut immédiatement  
 tout lâcher,  smon  le fil se  brise.. 
 Fig.  992 .  ToTchun  a^ec sà .  
 it son hameçon empilé 
 .  G’est  f   “ lté  pêche-là. qu!on prend  les plus beaux Brochets ;  si  le  jour  et le  
 temps sont favorables,  on en capture quelquefois plusieurs dans la même  soirée  
 •  K M   Brochet  de  Petite  taille  a  avalé-l’amorce-  du  Torchon,  il  arrive 
 pêche;  en-voici  un exemple :  un  pêcheur  
 était occupé à retirer de 1 eau un Torchon auquel  un petit Brochet était suspendu •