
 
		— Avancée. —^.JjeJVal&t,. dont iLestiici^nes^onifcs,t un pet-iitym ©sceau =d©tefe.  
 oji" mieux  une mine© tringle derfertqMjnsê-p'stsseüdans unê^botôblti#’em^iMëià dans  
 la courbe  d’un  hameçon, afin de tenir le tout ^Ijfdjr plus'  faeilëiÉ’èni pendant £em -  
 pitage.  L’emploi  de  cet  instrument,  si  simple,  rend  les  ligatures  heaûcoup  pïus  
 solides,  parce qu’on  peut alors opérer  uneitraction su&des> objets...güi,  sans-celaT  
 glissént entremis! doigts. (.Voy.  E mpilage.) 
 .^O^appellpi‘encore Valet,  un pe tit instrument'que  g)ult  le monde peut'fabriquer  
 en un  instant,  et qui  faire ’-facilement |Mlighture'' .d^bôuçîes,  aux 
 avancées,  aui''empiles,  aux  corps.dçlignes, etc.. 
 •Il sercompose d’un petit croQbet de flMï^féï,  ayant la formp*d|üne S allongée,  
 gros  comme une^aiguille  à  tricoter,  et  long de  1. décimètre. ÿÇbaque  extrémité  
 recourbée a 0ra,02. L’une est fixée à un ruban ou une lanière de  cuir,  attachée à la)  
 droife.de l’opéraMir,;  l’autre reçoit la boucle d^Jïavàncée à empiler. 
 On tîeirt)«Te'la main- gauche'J§s  deux  parties.  superpo&éesSè -ügaturt s  et  la  
 main droite est libre,  pour faire  tourner lacsoië poissée nt-en placer les^fofurs avej;  
 soin les uns à  côté des  autres,-'  ;■ 
 V A N D O IS E ,  V A U D O ISE ,  ou  D A R D   (Squalius  leuciscus, tteck. ).'— Malacôpt.  Sb-  
 dom, cyprinoïdes. Long.  max.  =  0m,26 ; hauteur =  0“ ,Q&..  .-0 
 Syn.  :  Çorci/fc,  corsaye,'Nivernais.'— Dar, darce,  angl. —  Weis Fùc?t,aUés^~—Vtüôye,  ItolL. 
 ,^ 3i £ â r P ^ . ($&. f^âlïjV^rdâtre  eLW?u,J;ur-]e-|£îô tés^flan r si  et  ventre 
 F ig .   1033.  — Yandoise { S q u a liu s   leuciscus,  Heck). 
 argentés  à  reflets  bleus.  Tête "étroite,  lèvres  violacées,  yeux  blànc-jâüne  avec  une  tache  noire  
 au-dessus. 2 pièces  à  chaque opercule.. 
 Dorsale  et caudale vert clair, lavé  de .rougeâtre.  Dorsale  10  rayons, ventrale 9,  anale  11, pectorale  
 15,  rouge  pâle,  lavé  d’orangé  sur  les  rayons.  Son  péritoine  e s t  d’urne blancheur  argentée,  
 «haine Tevéti2dé'ffi.®^t'séme?de points moirs.-La  faite  est déttfileeiirsi  qhé l’q v É r ^ f ^  Temps 
 SE FRAI.) 
 -  Ce poisson vit dans  les  eaux  pures,  s e lle n t  à la  surface  et.se nourrit  de vers,  insectes, etc.  
 11  fraye  à  la  fin  du  printemps  parmi  les.»herbages.  Sa  chair  un  peu  molle  et remp|levd ’ei,êtes,  
 forme  cependant une bonne f ritu r e / Sert d’appât à beaucoup  de  poissons  carnassiers. ( 
 V A N D O IS E .  —-  Ce poisson  est  extrêmement  commun  dans  les. rivières  et-  
 fleuves à fond sableux et à eaû courante ;  sa  taille  et  ses .iûoeurs  en font  comme  
 une transition e n tr e r  Ablette  è tle 1^   vivacité  de )’une  et % 
 la yorâcité, mêlée de  défiance,  de l’autre.. Aussi,  sa pêche demande-t-elle .à  la fois  
 adresse et attention!  . 
 ;s,.  «;La  Vandoise  se prend,  le matin surtout,  par  1”,20 à  l m,60  de  fond,,  dans  
 l’eau légèrement  courante,  et  très-bien-dans  les  eaux  vives  e t tournantes,,auprès 
 de Ha chute  des. moulins.  On  emploie  le  sang’ëaillé,  'le porte-bois.  On 'amorce avec  
 H pai.R-ry, .g,rasaè . ^ ^   lie  y.aç^ ^ ^ u .  avec  laj  terre  qüfge> 
 tro.uv-e snnM ^.^ e ^ éme.nt.s,.,quand.■ceuxs^sppjt:|dessp.ches>.  La Vandoi.se se prend  
 aussi très-bien à  l-iogge .bouillie-.  , 
 -K  «''Piq^i#ft^d^èiæfen^fb vivfembnt IfoafléyepHbl bouchon;  bas  de  ligne  et  
 bâcHieçoIa;  se sertjïdt&î teÇpèteè3 du  m tii^ y ^ ïfd   êd, pêche 
 dans'l'eau  courante,  la Ig ip ld o it  êtré^pfe* longue -que la bagtfëtte,  afin - qu’.elle  
 püiSt^^ateoSffi^pl-ùss’d^ chdmèt^avant  d’être  riîneqée en amopt.^qt excédent  de  
 longueur varié dlM'mètre à 1m, feô':  ’  - v([.  ,  (R.  de^ S ^ igny,  m. 
 À. ces:,f.enseignements  inédits,  que nous  devons à  un pêcheur  émérite,  nous  
 ajoutons  oise;'Ps^^pfefontr-Le.gio^^ ^ u e lM  gregd .a i^ e n d ^ ts j 
 lave  lesü aimés ^qiu’eüiifcmeEd admiEaMfenieo3)t^asa^^^^dMM4,^&tien.coreiifepQstmieux  
 à  naturel#?  j^Mttemidücîhe d^cùisine.pp^pdnM'a laisser filer 
 entre  deu^-^aüxf^èîle l*y attaquera très-viVénfehC mais) ©fi  sera  sodyent1 démonté  
 bdT ïqslAbÊttésf^fôkjé#s™^^qiÆre&e| dansJes endroits®^éctipnp.e, la Van-  
 TOi^vQuan'b'Sdotis, nous' prerplpie Dard à la moiicbé naturelle, à la pêchf^w m wr,  
 ët surtout à,là1  p ê < $ . e ënj|#ppqrtedes-uûamfe'M^®oei)blés. 
 f ^ l? e vlaW ?o(i' V an'ioeërm è )r(^ é ^ fê ll^® ^ ^ ^ sm   l^BWucSvartificiew^i mais 
 pH é  ïJSi^employlft  Çt 
 -avoir*Fa main 'lpsft^^rçr^1^  touch'er  est  (ÿw^excessive rapidité.'(fmïmwSouveiit  
 M®#4ôtz |uatféSîiléi^*&îï‘evlb.ng  de  la  Ijjgne-^ëôtpB^bn lue ; pê'che  qu^'à/petite  
 volée  et le long du bord,  cela n’a point d’inconvénient.  -À 
 , ’«Mj& t t- MlftitÉmenidanilte  graiiii^É ^ ial é ^ sé'.mi^indidjm^  juillet et  août,  par  
 une'^ecwÿlç^^è'Æt profonde’,  le-deug  tfæ£qi.iais  et  d'esinèEE'és'. .,6teF^se.dait  bi^SMâ-  
 p'ôcbeviê^la VandoiseæpiSDardyjSiibrge  cuite. Il fautaïnorceS'abondamment : MgUe  
 Mè-, b am ^ ^ ^M  14  w |l5 ,  fl'otte  lé§ëre,^bM|Sil'^'fi*nèflet peuiulSa-nfe',“bas d e ii^ te   
 én ^ # i^® ® J 0r ^ ^ ^ ‘»’haiù?è^®^mpilé'en)!Blapc'7ipraOT^n''.noirqTraîner légèrement. 
   Em 'p ld ^ ll’épuisette'ii c l^ e 'a é   la fi’néj^é  des  engins^.pujuer  y/yénrent  et 
 »r,*v,*.Vï 
 Si ff(|ê'âï,ïi!gâ%â*§t)’ntr e m pru nt-é'et|aiâ iftêinb m’æaWscrib'que- ‘tout à1 Ptekï#? /  ‘é'qusldlffi-  
 .contredirons  quant à l’emploi de  la florence.  Quelle  que fine qu’elle  s'ôit-'tjuelque  
 précaution qu’-ott ait prîsërde la plong'er'd'ansie.tM noir.bouillant  pour lui ôter du  
 briflaMiet1(l»ui dopner une  légère teinte, grise,  elle  '^e^eure, tqiijqiiiî^sSÎhi'6 'dans  
 l’eau,  tand-is-que le' crin fA&'ohevatÿ>4ispUMiti absolument.  C’est surfeut quarf'ésa  
 s’attaque  finl^et-'-f-Usés  c'ôiftnè*!le' Dard; ’ -qu’il faut ' redoubler  de 
 préCaüiâoii']  Slksi’dbüte,‘€'É‘réüs^ittJi|%elquefois!  e „ o^Sé uf f l i  t 
 toujours  ei; mieux  avéc.*^S  simple  Crin  :  souvent  même  j’ai, dû m,a: réussite',  au  
 milièd^d'e’’compagnons  dépités,  au  petit subterfuge,  employé- par}jgapj^ et auquel  
 Ifii défaisaient  pas  attentioifj'de remplacer  mon n°  14,  empilé-’, sur^fl'orenc'e,  par  
 ,i®4-n0  15,’ empilé  sur  crin  simple;' màis'choisi. Empilage de  blaiïche vernie.  
 br de vaMjÏ. ^ 
 V A N D O IS E  A U B O U R  (Squalius  b earn en sis,  Blan!)f.”—'MàlaoÔpf‘?,àb3‘;« cyprin. 
 Ressemble beaucoup^ au ChBvésne, m ais la dorsale  n’a que 7 rayons branchus, comme le Dard,  à  
 la  suite  de  3  rayons  simples,  tandis  que  le  Chevesne  en  a un de ptosi,-  8 Tàmeux.:!B,ighe latérale,  
 A0,té®i^k*a,’ïafl8'®’e^ llî’^ess’us>  4 ÀU’dfissousfi  i 
 OE il  très-grand,  tête* ‘grande baissant  ed-avant,  corps*  comprimé,  dos  brun,  opercule  trè s-  
 large.  Dos  et tètes  bruns  à reflets bleusj-écailles tachées de-’ brun  jusqu’au  ventre-, jo'ùe  et  opercnle  
 fgmragnigl ' 
 tylSfit dh ■lSÿ|lSMfGot!'p ;ilis!|®l®rritx.: 
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