Èaute?;# Hareng, la Morue salée fait aussi "bien, mais elle n’est .pas bç&u&oup
plus dure et demande les mêmes précautions. Les Sardines ^al^^pâopt^égalemeLit
bien réussi. (Yoÿ. Tahboub a ÉwgpïaSEs.) <LQKsqa|ôB*$e sert ?#Mances, M p
faut pas en tendre, à la fois.-, plus de 25-à SQrDès que la”deEpièBQ;e^|#^q»efS^st
temps, grand temps, de revenif lever, la première' et, à partir 3# } ce moment, #
ne pas fe ss e r de relever s.uc#sgfv,emèiït, remettre des amorces^, et' ainsi de siyte,
marchant comme le juif errant,'toute la nsàt, „sans trêve ni repo^pS’’est ainsi'que de
9 heures du soir à|2-hernies d u matin, 4»us âveÿBijn;is douze centssÉeçevigses marchandes
1...'
• Dieu vsôusE en* donne autant J ,
ÉCRIVAIN.^ $Om donné par les pêcheurs à VAble -nase. ^ ^ v
EGREFIN (Morrhua Æglefinus, Lin.) — MalacoptäiBdäoMeV 1h<ii&g.l'rnax.%i^||fj30 ;
poids = 2 à 4 ■
Syn. : Hadock, àngt. ^ K a l l , dan. — Kolja, su.éd, — D m A s o . - l t r o o n . # - m j f w . —
Kulle,huiler, y sa, yse~ Island)— Ekalthak, groën. — S ’^hûldn Wi. sc lie. Ifisch, ali. — Cttclog'e,
Irland. '
’’ Ga poisîsoifala télé /le s 'iotîte,: fë do^SHe%aiit> des 'côtes d’iîh IS j® . gSi1M%ré1str^l^V''cISïélciuf'-
fois brun tirant sur le bleu ; le reste des côtes et le ventre sont à peu près blam s !ég< renient bigai ré
de gris. Les écailles sont petites, la ligne latérale fortement marquée ■ ■.1 . L’extrémité des
ailerons et surtout celle de la queue est plus foncée que le reste" et d’un gris bleu. Gomme marque
distinctive et caractéristique) l’Egrefin porfe su r’les ëpaul'es une bâfre v EM ™ ->
laquelle lui fait souvent donnerte nom à’Ane.
La tête est en pente depuïs-Ie crâne jusqu’au-hp)ub;du’(:n^,elle 'est'ipmiteÂh'SL queda bouche,et
les ppçïeiâles;sont plus longs que larges. L’oeil,est grand, Kuj&T ^ ü tT
un peu angulaire et bleue. ,
■ ■■■> La membrane bram lu a le tr (î ou i ailcions dcqîlu'1 qui uh y SthMirt» -im "litMS i 11
La vésicule du fieFqui est petite êsbplScæ’e 'le ioîiilw lé-v |, »i n A’cîvifî *r io rt-i.Vjdtf rnr
Les nervures des ailerons et des nageoifesbbp Laissez’fortes elt§jpWfil(£; (lirlt'ùf^ifiiÿ'lPostyiiif
plus ldnguesveîlês deviennent très-ftiiés-, J ^ 4 3 . - ] r?3;t.tfHîî9. P j f tp T -"V= G■ . P
Ce .poisson se^tient,l§,plus,souyent parmi les - j # nu ijit’dl'i'iMÇÛiiiidbe--, fl, wt
très-îroracé et lîîorï feclfemeiit â l’hame^dnJW’^ ^ S ^ » ’ H.iicmT; quand il en jW m PW M jjif t
quelque temps, il est gras e t très-bon On le trouVe'en"grande nuanlftc'd'.iiw‘fi
fngié polfr échapper à la chasse- que lui ‘dontrëntuèfe-cMblis('!é%l®%®ans. "(3fi^rl^ ä re '’ä®BBSs"oii
eenhüsb le Merlan ; sa chair est bonne; surtout quand 'til--a.'®^bîenm0'ür.ri; ffiS^^j^fffiJfcins Ife
laite que celle dn .poissonjanquel>on le éorrtpare.'
É G R E F IN . — Ce poisson, qui paraît par jiMÆ^aini^^aais ln-M-Âchèj &éq.iÿente
rochers id^ptos novembre,, jusqu’en février. II s<^«npurrjt j|t
autres crustacés. Il .est .très-vorace et mord facilement
de fond, soit des lignes à la main-. Llaffiraeefla^.nlusr!attravaMiAnèdrnhai «j^un
-morceau "coupé sitr un-haTeng“üu une équille. j
Éguillette. — Nom dg£l’sjfytïtyfo, prè^jd^BresjLet sur lepj*$êtes dé) Bretagne.
É IS SA T JG U E . — Ce file.t,(^.".21pt)j^sst formé; comm^£as,j3a,pguis, d’une jtah e
et de deux 2ak£glmaj$jls sfgrt beaucoup "plus longs du 4$*E0yemhre
4859, pour le^* arrondi‘S|pfrent,maxitime ',(TqiÂi|^la longueur totale deappli:
'ailes, jointe alà-pliis grand diä>u#tre de la*pp.che, ne ppürra ex^der â|fapi|É|p|sWi
êtrelnférieure-à lOO.Lah^h&ou manche, en-»forme de.‘âai2iGfW®Wè> .sap&ötpe fron-
quée, sans étranglemept, aura’iÿa®; m a il^ p d ä u m i i^ i f e )i®Ä«ep,‘?eti^l» Le poids
total de la»r.alingue mférïpwé eL des pifonabs iqur’elle porte, ;ixièlt.jg.éI<^|P': pas # '2 5 0
gram, par mètre .c# ran t moyen-. » ■
h ..“Ce filet,iiefpeut être tfaîné’ôu-ïfemorqué »à la^voiiejîôutàiftl'^viron,»
haler à, ^râs du Jàrge^â terre, et il est formellérÇept .dépendu d^. Je - traîner
d.M{pväges, nM^leShaler -à b'ord du.hhteau. L’emiplpi en est d’ailleurs interdit, sur
laa^êtejw 4 er^m«s f S Ä Ä ^ m a i ; ‘daflgv^^t^g^çlUiîfc'1 març au dernier sep-
Fig. â75. -4t- Éiçsaufuë.
n p>hn)ermrsc# nuit qu'.i^^^mb irisation ^pîieî^1!' 5l«*
-
E L L E R C H E R . — Dénomination alsat ienne d u Véron. (Yoy. ce mot.)
ÉM E R L L LO N . — L’É m 1 ef touïfcfi'jVfl« ^'’( ^ Î S î n [ f f l * V/iLynioeni
d |^ ^ ^ éW e n t ieâ'w l l ^ s dans la fabritc à t^m M fils, „refors!
en
cubtÂ^^pdtis.sbmt tcrmihésVpaiî ■ deux I
l i lSmfeferméefehMf/2iî6)')l?tes I aùtréSj
■/-/i!9^2w^ôri1 à u ‘extrémif^^aâ^^l^]
«pl'êfffA,él^à;ll4,h>hijtpefM^ife^Æffui^JB|
sMîS^^^Sÿt dS#®‘ rdähfebAi r I
« porte -ISèhsquéton, et ^ Ä b i W I ' smple af 1 ,■ ' . J Â w é L ; ' , ,
■îri'i il lutpa^üi L'd)oûf#‘,d,»imft',l\ arn/'e ? b î i l ’égide d u
Kdatêm^lfePoi^qu’on se sêxt driih^àppAt v i f f t n ^ tT O n^fnl^plusieurs |
t<riÿs^ÿiiTiT-1nêÜiuèl&liÇrdrait •wî^ï'r^^lîrt'ljgïuÿflf lîfS^fjl'lcr ait, si T. t
S!®#jteä?oöuiis|- M’e S*opßdfeait pas "d R ir!l^sïSî"îuî^n^i< a/” { ren
quand ontee^ert-fiiiîÂ-diiâblel^^^^l^
l'EméÉâWh1 eS'tî'encôï'fe1'
un aétlbbaque ‘boulsîd'^plfavapfèée? en prenant
en à s u p p W - . W ÿ ® ^ ^ I
^^ëtŸ ®U,‘psl"d's' peutShl^ àjcMteB'’;à"“-l!ai
b f .n iË5hrneVïl(|j’ffif"i1 rj l j d e J5ßi6ii^®lIon,‘4 VÂdîiheV. I
'aiL®ffiéSiiM'ôî# esh inditp^àsBp dlc^I^oeux rlqîid’ès eflïëwW^f^wnioïilTfi^a