fond, le Dard de fond ; on la met à un hameçon P 4 ; I H H R H à cause
de sa matière feuilletée, on peut rentourec'ff’aVhrin de bhanvre ou de lm ^ â to e g
Mouches artificielles.B^Voy. leur article^ f j ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ’
Mouche de viande commune (fig, 636): — Excellente poUrgrosses Ablettes,
l'Hg. -63 T., —- Mouche
commune.
^tp.633. — Mouche
maisons.
Dard, Chevesne, Gardon 'et' Truite) dèche
à la surprise ; 's’enferre par la tête. Oh traverse
ranimal'avèc rhamfe'çb’Hj efl’oii remonte
l’irisëeté sur la h a iip é fe |« ço n que
ffis crochet soit absolument^Ülewuvert. Joi-
güû'ns-y la Moùdhe cle's rQaIsoris (yÇÿ.p38).
Pain de creton. — Dans les’ grands
fleuves ”èt quand1 ori' â ambreéen jetant
du pain de'preton bouilli à l'eau,'onlin met de's morceaux sur l’haffieJBnn° 10 à 1
et.on prend ainsi tous poissons quierrsont^ très-friands, sùrfqùtle Barbillon.
Papillons blancs nocturnes. — Cqs papillons, que 1 o n , ® rme’
l’aubépine, etc., s’enferrent à travers^le, corps, érf long ; comâia^ilS^ervenï à 6
ligne volante, on leur fait dépasser la courbe de l’hameçon, et on lës‘ remonte fout a
fait sur la hampe où ils prennent là-position d’une mdücbe artificielle. D^’dard et
la courbe de l’hameçon sont absolument A découvert.. ^
Le duvet dont ce papillon est couvert fait *ye|ur des ampoule's aùx^mains.
Manier l’animal avec des.gants. —
P â te .— (Voy. Boulette.)
Phrygane. ^ ^ y o y . plus haut i Gousiss, êtç^)
Porte-bois. — (Voy. GherfaiX.) . " .
Queue d’écrevisse crue. — On dépouille la queue de sa carapace“, îljfe te
un petit morceau de chair gluante, en demi-egrefe, que
n° 1 on il tient bien. C'est une excellente e s ç h e ^ ‘‘f c û t e j ^ ^ J ^ ^ ^ 8 8 r e » t e
sorte dè’poisson de fond. - _ _ _ ,
Ra isin noir. — S’enferre comme la c e rne,'et'ser| •^our^fe même'poisson.
Hameçon .n^4 , 5 ou (k ” - ’
R a te .—-Qu’elle soit crue ou cuite, o n l’enferre en petits eûtes'sur
çon n° 00 ou 000; comme elle offre une c ^m ^ n c è ^ ^ .< ^ ,A n ’ est pSs^^^ctin &
l’attacher. -.Sert dans les eaux froides de l’automne et de Thiler,/pour ' 0 ctos poisson
défônd.
Sang caillé. — (Voy. son article.) '
Sauterelles. — E x c e lle n te s^ . 639).peuria pêche à la grande volée? pour la
. ' : ^ — I 'pèche'à la sürp.rise, et'-pouÿ tous les
poissons de surface-.-.Pour laRâeil-
leure~ manière ^defi.Ies ^ fe rre r,
PRE Grillon. •
Teigne.— La'téigne'ou petit
papillon à ailes grises qui yole dans
les prairies, .excellent pour tous lés
^ -
' poissons ; /de surface Ml® pet à
Fig. 639. - Criquet commuh.
ûnlàéAltiiiW n° 10, cominë laR®u-
che naturelle; ses ailes qui ne se mouillent p ^ le^retrénhent lo^temps
surface (/%. 640, 641, 643), 1 r 1 'V r . V,-, ..' . \ •
Tipules. — (Voy. plus haut : GocèiNs..)
MA N lERdS- D’ R RER, - 481
Tripes de volaille. CoNarhe loua?‘odeur n’-offre rien d’agréable pour le pêcheur,
.eniadhlettant qu’èH'é lel4 oi?^TOlS,l'é1,^%î,sÉS^'ôn peut coksffife'lf' les1 deux
y .
K
cholgs ep faisant hiep vidai; MÜlmas te.*h@yauq d u ^ q te fe d o u t a i &e!„ser*.
On pren&æjne brkolé'dô 2, |n ^% .o u n®, grappin dei &(üû 6),!X>u un n- 00;
la
efc.Mhiîtoume làHdoi^hs&des.moiîceauk' dansas bdya,y. d ^ r n a - ^
'.faiBe^diùaÿ|'Q Wal elfe la grosseur dlftfemoi^spas trop
dure,j‘etîppfe)ÉataELf mtdesfdeux bouts tpendtatJ
sOE ^ jp in t e U^|b»^#h§iS(>irte, ■forterann
Excellente esche-pour le gros Cbevespe.-de*ffed,^dfens'fMs]
^)0u^ ,À # t e Ehndsiç@tiraitlss, à l’automne et
’Ver à queue. — iaîdbfeb'ft., o
Ve® cannelé. —d Qm-trouva-lcea* vers fdMs’üe.fpmier.'pdtmrij
dl otrlqé détritus ;fe légimes-iis'b®ûfc'tAsAendresf <et
rejg^Sudiune liqueur^aurles qu’ils exsudent quand en.lçMpiqHie.M
Gn ea§ » e 644) pa‘r k tête ?-J®eét lexcelent pote fJ#G^ùjori]
-%?v^s;«|conse!âtr.o&mme le ver rouge; mai^ÿ.4dure ÆàoihsdQhgteoeps à KeæiJ
Via» d’eau, s&p Blajici jaumeî-des l’iris, ,
Ver BE^rARbcAGÉ.) te
Ver de jonc. — UE marécage^ K
Ve- r. de . m- ar. éc,a ge. — S’enfeire comm'MéfeilHi aiy.v -tu, — ver cannelé. 044^6, « a is , est^plus!,mou. :
4 rt| er rouee- — L’appât et iaaiQjpîoenmîèMvpQBT^
pois^ilsp,>eoeronge fiq . t,4o;.ne réunit pas toute Ifantec. m i tous, les noisson Jm .u s
"^llJWir.e qu’il est peu de-poissons, qui, dans o rim U in moment do.Sanfée" ne
rao'^»|paiS. âU 'Ve!EKqO:pgej;'fip|)ür) lésinas; ©lest au; printemps,
pour l,es;-aütres eft -,été;oji à l’automne ; -mais tonsl
® ^ ^ à r q u e précédente in d i^ n e^ h ih i-en
é|^ t » g p t e s e m e n U a m a n ié e Æ escter avende-ver- range, t e - e j e f le t i iii e it c e l
CIW H^Pw^Wu^ÿe-qjie'ïtoustallons'expliquer r
i, I H B K P°Ur c om m e t :æ ^ m d i ^ f e u i o n
g faubenfe-rr-er^ver j g i g H W i p l n ^ l J e x t r é ^
i r iM A la m X m a E H H G n fa it« a te e r la pointe ,dfe l’hamecon par l’ex-
f t J S Ï même’ et oïrP ^ ait pénétrer, toujours S^mtimrmmt dan-«, jârttérrèûr dû'corps I
|t a ^ QA que la tê’te d ép a ss e •toêm|u^pâle-ttefr^ ^ , e « M A p â ^ d e l ’É ip île
m m ü fc sp o r tilü iiek e a célle de r h à& è p oe s il
hn,d ? !,5UeUe près de la tonS-u«u'r B l’aiBàsoal/.'qui- pend etofrétille àu
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