M AL ACOPTÉRYGIENS APODES. — 4“1» Ordre des poissons osseux. Né renferme
que la seule famille des Ânguilliformes.
MALACOPTÉRYGIENS SUBRACHIENS. — 3®» Ordre des poissons Osseux.
Cet ordre est caractérisé par des ventrales attachées sous les pectorales-, et par le bassin immédiatement
suspendu aux os de l’épaule.
Il comprend 3 familles : 1° Gadoides; 2“ Poissons plats ou pleurxmecles ; 3° Discoboles..
MALARMAT (Peristedion, Val.), — Àcanthopt. joues cuirass, à deux dorsales, «ng.
max. = 0m,40.
Syn. : Armado, forcato, ital.
Corps cuirassé de grandes écailles formant des arêtes longitudinales ; en un mot, l’exagéiâtion
F i g . 613. —- Malarmat (P e r is te d io n , Tal.).
du type trigle. Tête à museau divisé en deux pointes proéminentes, à barbillons branchus en dessous.
Bouche sans dents ouverte en demi-cercle, sous la basé des fourches. .
- B = 1. D = 7 - j - 1 8 -1 9 . P = 1 2 . + 2 . Y = ^ + 5 . A = 18. C = 11.
Corps d’un beau rouge én dessus et sur la tête, prenant aux flancs un ton doré qui passe
au blanc pur-sous le ventre. La dorsale et la caudalesontrouges, pectorales brunes, les aatre.s
blanches.
m a l a r m a t . — Le Malarmat se tient, comme tous les TtiglAsJÜàn's le$]3ro-
fondeurs, et n’approche des côtes que Sers l’équinoxe, temps du frai. Il nage rapidement
et brise quelquefois contre lés rochers ses pointes proéminentes. Cepoïsson
vit solitaire et se nourrit de méduses et dé mollusques ou de zoophytes gélatineux;
il est commun sur nos côtes méditerranéennes, mais ne sé trouve pis |®.aü|
l’Océan.
m a n c h e . — Filet de forme conique-qui porte une infinité de rtôtfîis suivant
ses dimensions, sa maille et son emploi.
— Souvent synonyme de Guideau. (Voy. eé mot.)
m a n e t . — Grand filet en nappe simple dont les mailles sontpropçrtionnées
à la grosseur des poissons qu’on veut prendre ; plus serrées pour les Sardines que
pour les Harengs, plus larges pour les Maquereaux, et davantage pour les Mnlqt|^ car
il faut que la tête du poisson entre dans la maille, et que l’animal y soit retenu par les
ouïes.
Les manets se tendent eti'ravoir\iV oy. 'ce mot. ) Oh èn 'garnit des parcs (voy. ce
mot) ét on les tend en pleine eau garnis de flottes et dé l^ïômb’éès.
MANIÈRE D’EMPILER LES HAMEÇONS. — * TSmPILAGE, EMPILE,
Empiles ter corde filée . Empile en éch'evEi^vd
MANIÈRE D’ENFERRER LÈS ESCHES DIVERSES POUR LA PÊCHE
D’EAU DOUCE, -r- La manière d o n t e û f è r r é les. esches, présente une immense
influence sur le résultat de ïa '^ è h e 'â la'ligne : en efïef( la rèns§ii$f'îvarië
de rien t une satisfàlsànte toesurë'Wtfwtnt que l’ëfimrô'a l’appât est placé*-d^iane cer-
fato’nitnit're Sür rhaihéÇon. Ot, édile certaine manière :ést Te é d i t â t d’e’Texpé-
riènci^éil'e n’eét point du ‘tout arbitraire. Irëèt’;doné sage d’é s’ÿ dânfornlêl“, et si’lèfs
détails’ dans lesquels nous alrnîis èiïtreB,ici1 semMeift'-minutieux à quelqùes pè-
chdür^'^àtSlisies, nous les laisseront aller à leur giiîsl 'én disant d&ëe 'eUx : sans
lOTtf/'no'uà avons vu'un magnifique poisson draflèr’àS un hamdçrfefô'rt ma 1 -isscht et
s’/ ’prendrèj o>é^^ki,/'tT&sivrai on a$M. d es* Jébûscf its gagAefla cible‘*âii premièr
coup’d’é'fdoe ifuTls n’avaient même pas épaulé;- ^MnSui-tTl qu’l* eltÊtÿe*de' rie pas
épâùlfer quând'’od doittirê^lin coup de fusiÉ?eT-voulez-votis Vous ranger dU’èôté de
c’Iu^ y ^r^ lé re rk îën ’tilh réussite du c o n s c r i t ' " t r a n q t i i l l e et productive
dml'éxéran sûr de son ûffair'e ?
'n^eSVcîbrrfc b'iSi eritefidu que parmi lés choses ütH'ek à la pêche, nous ôompte-
roiWabOrd lhihlioîx de 1 hameçon1'p’itils RI cKBix de l’esehe, et enfin la rnâfiière
de t'éfôfer'rèr: G!ësîjR^siTOif^ô%ait '«idenü^ho'sed, — faire en quel-'
qdb^orLe fê' ^ ^ M ^ ^ 'v o t r e fifsil; cfâr fé'-’dfiëft ‘dçR’-eScKe ràprâllfe èteltri' du
||nSiptà'asJ dfflix'sbut 'n^-eürWe'és, — dt’3li la' caHÔûcïre faite; quelle valeur
%^prrlrct)hp‘ dV'hisTTV’ S§
5 'ï ’oûr'^'Êien rendÈe’^Sffipfii^dW^| dt qui nMià allons passer rapil'es'^
flIISfrÈÉ
ornîhaî’res jWa -’'stigMlté du ^Sèheim
liiiTëw Üv-iner qué-Ife 'âiïalbgîe' 'ré'ù-l
nit1 i l P V eO ? ^ à h noimmeronsl
AYahl/ fifiit;, faisons unexlermèrè ‘1% F'ff- su. — Abeille : i l l f— Abeille reine. |
fflcMueV efsst'1 que la Sftrhë* èsefie
i jM p Pfctf- "avanta'gèusement de plusieurs maf^èdèf:idivaïlt Ü'poisson auquel
’S l^ueyifie,Tû' saisdn, l’heure du jour et de la nuit, etc. (^oy. Emploi des Esches.)
A
Insectes.
Abeille { $ ^ $ 4 ôt 615), -d’Ioâ.érm Hm? k ,ri<i\
frelon, etc. Sont'peu' com- < r-M u. - -c, ,m
modes Æ le ttre à l’KàmeÇàn à Piff. 616». le. Bricolage des
cause des aiguillons dont ils'sont | | " • » • r t w « « ■ -,
ptmîWsjTét qu’il faut d’aÉBM enlever si l’on n'# veut plppiquer souvent trèS-’S§rieu-
sement. s0utrê'oet inconvénient, leurl^arps dur 'et' eomxfe cuiràslé’de poils, n’a
P® Èhir^recherché par le poisson. Le CheYesne y- moÉdïÉI
quelquefois, mais to^ül§*né'gligemment. Le- darfi-de-T’ha*
fite^on sWuégageant difficilement d e i^ s insectes, il fau- j
drait; pour’bïen-faire, le's’enferrèr comïfi’e le GriHtet^eS lès |
monter ainsi >sur--une petite fatoijji iin ' ^ ^ 1|^. '«»• «h
très-petit grappin de âîï^h“ 14), ' aûw’moyen de-- l'aigudHe I
Fig* 617. — Asticots enferr
spéciale IR
H sur ,n? J lî; « ,
Asticots.—©# Yôf sfenférreipair le 617), e®mme nous l’avons indiqué à