
 
		des  Homards,  Langoustes., Crabes,  Mayas,  "des  Congrès,-'des  MurS&es,  PâgelS,  
 Trigles,  Rougets,  etc.  • 
 NASUS (Ghondràstoma). — (Voy. NaseAj - j  
 N ASUS  CYPHINUS. — (Voy-. AbleNase.)  —: 
 NAVETTE. — On appelle ainsi  l'es  instruments  de , formes et  de  grandeurs  
 différentes dont se servent les-pêcheurs pour mailter.lejirs filets.-Pour, l-esw^iiès-petites 
 mai U ci, >îes navettes soq-L(construites  en  
 fer e tà -p in c e s^ ÿ - -726,  726).qffQur les  
 filets  ôrdin,air,esî©b lég1-' fait  en^bois  lè-  
 B g e rs ,  tels  que-le  fùsairi,  l%:%ouâpier,  le 
 Fig.nS.  -  NavetLecn  cuim,  à pince.  "   '  l e   '   '  )  6 t c p j J J p » l ( ^ S » i p t S . ) 
 ©es navettes  "^terminent à^fune de leurs  extrémit^f/îÿ. <7S7> enipointasmoyen-  
 nement aiguë,  et dont tous  les anglesfsènt  arrondisielupolia,, afin qu.S&^ng^puis ■ 
 sent» rg» ®ocri®sber  ife^wpBr 
 Fïg.  7Ï6-  -N av e tte  en fer, à pînce.  ,  :  ^ (G e t t e   p o i n t e   e s t   é v i t é e 
 à l’intérieur formant Une sorte-de fênêjtre à jour,  au m il^ ^ ^ |s ^ .^M feM § ^ P 'g e   
 une languette qui  monte  aux  deux'Viers ; de  l’échancrure.  L ^Uun^ljjâ^slwicii 
 ,  vette eapagpe* à  la^ppijimi est  
 ^ ^ e a ^ iitté e  d’un«G||-|nS}|4 soi l  
 —i  en carré, soit en rond, de ma- 
 — Navette  en bois  __  7  T,lP.W ^ai.iaipft. n l ) f S j ^ ^ W . y rO • 
 vision  de  fil  puisse être  enroulée autour-de  l’instrument.  Qniyide quelquefois  [gg  
 côtés latéraux  de  la  navette,. de  manière  qu’ elle  passe  plus  fac■ ijçrnml-  dans Les  
 mailles  et  entre les"doigts.  Celles  que ront-eqnstrüit  en matières  moing^xiblgs 
 ■■ que le bois, mais  plus  glissantes, 
   tel U d s q u a ^ q if ew ® |‘r,  
 WÊtaÿ^iyf^-  pa^,.évidcY'~'fe®d|''  
 F§:JW .-  Navette eh "bois ou «n  _  "j  deviendraient  trop  fragiles, 
 leurs côtés restent-droits, le s  plus  grandes navettes  ont^èivkon 0m,25  de longue-ur  
 Isur00m,007 à (T,008 d’épaisseur.  On  en  emploie  cependant-  jusqu’à 0m,40  dÿ lon-  
 gueur. Celles de 0“ ,15 servent à raccommo.derjes filets fins. 
 Pour'couvrir  de fil la navette, On met_d^xtrémité;  de  celüi-ci-près  de la kn-  
 guette, on fait un tour autour dü|e,j>n- le ramène vers le -talon,, puis,, tournant la navette  
 sur l’autre face,  on remonte le  fil  que l’on fait passer,  en y formant uneipetilc  
 anse, autour de la languette. On redescend vers le talon, on passe dessus, .on re tourne  
 l’aiguille  sur l’autre face, tm  retourne le  fil  vers la ïângûetfé, etâinsi de  suite. 
 Lorsque les navettes sont en bois  flexible,  on facilite beaucoup ce pelotonnage  
 en appuyant le pouce de la main  gauche sur la languette, de-manière  à   e « a ire   
 ressortir- un peu lit pointe dû côté  où J*on veut-faire" passer-]^ fil 
 n é f l ie r  (Scions en). -— (Yoy. P erche^ où: Canne a pèCHE^5^j§lfeSrbr&our-  
 nit de bons scions,  süivanUe vieil Isaacr "Walton; nous-freLnausien '-sommies -rainais  
 servi •  c’est un essai S faire et Intéressant:1  „ 
 •  Le- Néflier  (Mespilus Gérütanicus f. fein J  est un  arbrisseau  qui Semb^réusser  
 toujours tortu; nous ne savons  comment notre vieil  auteur $jferouvepd<î4 BSj ejppro-  
 pres à faire des-sçions,-à moins  que-ee ne-soit dans de jeunes rejetsvToutfc|pnde  
 connaît les grandesIfei^igf^^tonneuBçs du riéflièpyses dleurs >rpséesj .gwiides/et solitaires  
 au bout des  branches.  Son fruit est la nèfles-*-! 
 négachin. —ilJqinipr-pvençal du* ce mot.)  ; 
 N É G A F O L . —  P e tife -b â tele t plaL servafcb,  d am s J e  L a n g u e d o c ,  p o u r -la  p ê c h e   au 
 N E G R A   (Raja),  Rais  nègre.) 
 N È G R E   (Raie).  -Ijliipyi  Raii-:|,  S. 
 N E P H T H Y S   D E  H O M B E R G   (Nephtys  Hombergii,  ^C u v ^P—  Genre - d’Annélides 
 Cet Annéiide \ st • d’un fi lanc  argenté  el  irisé tirant  sur  le" rose.  Sur la  partie médiane,  oii  re-  
 raai^PfjîfçiH'gne rougeâtre, tant©} (|u§,!i®fon"<rell'd'uht^dae'j®?s', fogeWq'uM^6sl^iipcolÇs.  Les 
 Cet Aiwcffide vit  dans  le  sable  du rivage  de la  mer,  comme Ms: arénicoles,  et,  de même que  
 Audouin  el ,E4 v â r ^ u U s l   poioe;servir  d’appât. 
 Aux environs  de  Saint-Malo,  on,  le connaît  sons le  nom  de  Châtie.  Ses mouvements  sont  très-vifs,  
 et la manière  dont fl  oreiise le  sol  pour  s ’y enlonoer  est assez  curieuse.  C’est  sa  trompe qui,  à  cet  
 effet, lui sert de  tan-ère:  Si l’on place  un  de'ces NephLys sur  la  surface du  sablé idont  on  vient de  le  
 retirer  on le voit chercher,  en. lâtonnant-pour  ainsi dire, un»-point convénaMéÿiÿur  y commencer sa  
 galerie. Lorsqu’il  en_ài.fai-ii  choix,  il  y enfonce  un peu sa tête  et  déroule  tout  à.  coup  sa  trompe qui  
 pénètre dans  le  sol ;en le  refoulant.  S i trompé  ainsi  ( empiétement  sortil,  il ouvre l'espèce  de lèvre  
 j  ù en  compose l’extrémité,  et, sa sissant ie fo n d  du trou en  reIirant sa  trompe, il avale d’une  bouchée  
 tonte la portion  de  sable:  à  laqueltd-.tl  était  eh  q delque  sorte  âééfoehé  A l’ai de  de ses  pieds  il  se  
 -lût  nt  daffs  h  tuhe et  recommencé;avançant  ainsi  assez  vite,.pour miner  ie  sol  à  0“,30 en^gnpS*  
 ques  minutes,  v 
 Ce doit ctro  la  Gra v i lie  ou  Pe lo u se du  ! i plupart de  nos.côtos  sablonneuses. 
 N É R É ID E S   (N ereis, Blain.,.).,— On 'dodu  i o m  à  un.  genre,  d’Annélides  errants  (voy. 
 0 lifsianiVNC iss)  à;^i«e^,<pilles^i^udimentaire§^^^i.'bilatérales sur tous les anneaux du corps  
 fort i f ^ | ^   11  tous semblables,  qui  compose  ordinairement la 4‘  mmi‘l]PP^Wjut'-u‘^ V f^ 
 1 u; moins  au large  dans  les  trous  des  rochers  ou des  pierres qui  en- ont  été  détachées, dan s  les  cîié 
 -te saÆteudanSrlatvâaél eLd(iJil1n]iiMi'ji^ ^ ^ ft(»^ ?w t.^ ^ ^ !h eY i  
 i bées desypéchieurs  pour  amorçer.-l 
 uiisjrntTgSj rui?( l'pjr<  H   Anf  pi  nMuii-, 
 i |& ^ s S ’#yLres  et ont;  comme  nous  venons de  le'dire, les pieds  similaires  1,1 .piup.iVt-^ïtfhîfrllç-,  
 i- 
 Les  branchies  sont  molles  ou  peu développées,  en  languettes, de mam ê m ^ g ^ 
 de lobes charnus. 
 Is t gent-es  qui composent  cette  famille sont  Irès-nonibreüx,  il  faut  y  ic 
 'aT' B !  W <TWr mPVfi  I 
 'l'Sés'iip'oy. Neputvs de  IIomberg.) 
 N E R V E U X   (Système).  —  Système  N È î^ te .) 
 N E Z . 
 N IG E R   (Grobius). IfpJUyàjà  Gobie  commun.) 
 NOEUD  ANGLAIS. — 'Le  u.df a b g l à  assembler les 
 (lillcrenbcs parties  d’une  ligue  et offre surLoul, lés-avantages  suivants  :  -1°  les  deux  
 parées tirent droit’l’une  sur  l’autre, sans .fSfcmer iun redoublement de la ficelle  qui  
 pourrait Ies0ç.O'uper  "2°  ce  noeud  se .fait  très-facile-  =  J-n_  i ^O W ^ P ? r ;.  
 ment  et  vite ;  3° on  peut  le  faire  pour rattacher  les  5   îi  
 deux  pa®:éi|ti:l’mie ligne  b n s é £ ^ ^ ^ t r e   obligé;;dé'( 
 faire passer  aucune des extrémités  dans lenmù®  Ce  / F 19’  ,29'H  B 3 ansIals 0l" eit  
 dernier avantage  est grand quand  on -pûelie  avec  des  poissons vifs  ou  des  esches  
 qui^-par leur  volume,  forceraient  à   fapë sua  noeud  d’une  Lrop  grandeïdimension,  
 i'  On  e x é e a ^ p e  .aoe u g n ^> .7S 9 )  dt9§Ë8 manière  suivanLe  :  on place  les  deux fils  
 1 un  sur  l ’aufce D®,  Ifti'',  les  deux  bouts  opposés,  puis  avec  le  bout. E  on  fait  t|ii  
 n ^ ti^ ^ J le ia u to jjïid f e S I ^ e t avefo J t ^ p À ^ on -fait uni i^oÿttd simple a n to gm  e DE  
 ©%ftïrè sur^baq»ùei!f)a;Etie^l1|Si<id.Qnx  noeudsfeDM^Sa^^aipnrocbent l’un., detakiit.;e