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 Ligne latérale  45  à.BQ éoalllqs à tufces rapprochés ;  les  ordinaires mqyetaesAbords-.dsàtélés  et  
 échancrés. 
 La couleur  est grise  argenté à  reflets  dorés;'tes flancs portent  7  bandes _ noirâtres,  étroites  £t  
 transversales, disposées côHîïne celles de la Perche  commune. De  chaque cét4d§Ja queue, fifié tache  
 carrée noire, D  et A noirâtres.  Cqaune, bordée de'notr très-intense  dans  te  fond.- 
 ptjntazzo. —'De Gharax se iibtirrit  de ftietis- èi-  
 tient habituellement au milieu  des rochers.  Sa  chair es# délicate.  -- 
 Fraye -au- printemps, puisque  la femelle a   été trouvée'' pleine  d’oeufs  à  cette  
 époque. 
 Q 
 QUADRIMACULATUS  (Gobius). — (Voÿ. Gobik i'fltTRE'fàâtES.) 
 QUETJE (Coup de). -— Quand un Brochet s’est  emparé^d^uue,i^morce^i'|d.nte,  
 ne point tirer ni piquer que quand il a donné Q ^ q ^ ^ p p e ^ ^ w ^   autrement  
 il dégorge l’amorcei-Ge poisson né’donne  le  cOuplVqùeUe que q u p d  gl  
 sè  sent  blessé  par Les.hameçons^ ^e st a l o r s P Ü | E ailt' B h H h B B   
 douloureuses  dè  façiér, il commence  ces; .Ayôlü^onÿ;^  ( f t r - 
 GNY.) 
 QUEUE (Vent de).J%(Yoy. Yent.) 
 QUEUE  D’ÉCREVISSE.  —  L’Écrevisse fournit  e j» |s . 
 excellentes, la queue quê l’on emploie, Miche oü‘e ô ^ j v l% ^ W e ^ ) m   .prendre  
 le Barbeau eirété,  efe même; en automne le GheVesne^fqjieL(|d'gS%iS^®8j ^ F   
 au printemps.  ;  .  ■  . 
 On en lè v e  la carapace et l’on eec&e;  ay®  la ^petite;. virgule  de  chair  g.ïuan|e  
 qm remplit la queue.  On  se. sert  également de  la v ia n d e i,é ^ t# ^ ’PP&5:P^feJad| e  
 la  Perche.qui  eu  esttrès-friande.-,, 
 La Truite elle-même  doit  y dpnner4d&,toutes-te§>maiéère_^ip|-5ld%fi#.^l®tI^ s   
 riyièFes,  elle se nourrit d’Éerevisses  qu’elle prend vivantes^ et doiîfe^l faut  cp-’efie  
 brise la'carapace pour  manger la  chair. Dans certaines petites rivières  où  la Perche, 
   la Truite  et rËcrevisse sont les  seuls  habitants  de l’eau,  avec  le  Brochet,  il  
 faut bien que les  deux carnassiers vivent  du crustacé. 
 (Voy.  Emploi des esches  PAag&hiviDU  et  pas  s u is O K , J 3 a t e n d r ie M d w & ç h e u i‘,) 
 QUEUE DE RAT (Ligne en). — On donne, cemom .àd&g.ligney tisséea-'dëmçûn  
 à diminuer progressivement et insensiblement depuis la  canne jusqu’à l’hameçon.  
 Toutes les lignes, quelles  qu’elles  soient, destinées à  être tenues à là main, soil directement, 
   soit par rintermé.didre d'une canûe,  doivent avoir ëêité forriïé  ^ui-îavO:  
 rise le pêcheur. En effet,  elle permet, sans  diminuer -sensiblement la  force,  de  ne  
 laisser voir au poisson qu’une partie aussi fine que possible et par cela même d’autant  
 plus facile  à  dissimuler. 
 Mais quand on  dit que toute, ligne doit  aller  en  diminuant  de  .grosseur,  du  
 scion à l’hameçon,  i l   faut  entendre  expressément  qu’elle  sera  construite  
 seule  ét même matière.  En soie? #èst l’affaiiudu tisseur, il faut acheter tfes lignes  
 toutes faites. En florence,  en crin, c’est l’affaire du pêcheur,, et  il n’en est  pas  un 
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 digne de:cenom qui.né se réjouisse de construire «Lui-même ses lignes, cette partie si  
 importante.'de sçn-bagàgetetjdont, dépend àoehaque instant le, succès de sa-journée.  
 «tm Rour fairemne -ligne; --em.floÿènce.æilm&Ommencera par un seul brin fin,  bien  
 choisi,  raide  et'égal,-HUfU'ftl-on. fait,  par, une ligatupe,:une boucle; oit  -passera celle  
 de 11 empila',  GetteLpmlp'ilésserar'èlfe-même.d'éAla ïB&Kie grosseur que  ce.-brin,  il  vau-  
 dfifitjmieux mêm® q ^ |le  ffilfes-dore un p - s , 
 Aiêe-'Tfrjn.offl en «âtta’ch%ifoflW-,pli&gifsi ei? àinüMeJ*sùsite à  quand  on est arrivé  à  
 l&giyutàUâÿletÿûsfgr^quedî®n  îpossèdfe£(o®  ’en "c^drfdeûi^faibles,  puis ®épx  
 '#Hn'f®fis'faitteSvpuildrois fo»W,' tJelf^mis'’ai'rëte là, car ceux-ci peuvent porter  
 un pbi'dsrénorme. ^ - 
 *  Si c’est une ligne en crin  que Ton veut faire,  on la commence par un ffiargotih  
 'ffigéJî’àntmàtcisinde.pluèïquef]ïavn«éet MSTongmt"n^*R^Mmbre^fecrins d’un  
 wldé deux à chaque’ 'S'i^o’tîn/'jptjvâ'nt la iJûgUeùr que Ü p v eq t donner à la ligne.  
 |p   Môme à l^pHM*^ mù*’%ou(#î^nwwj^te^jllU®"(le meltre au bbut de  la cordé  
 ifl^^iig/lupealtt^é'idejcrâfflydu? d ë i% > ro l^ 'q a j^ ^ g ^ imÆd^g-i’^mèpou,  fasse  la  
 ■Igpueùc, îpeu^j^g*t|iL^tôt  plus."  ^pm*tme^c'onsfruction 
 est,excellente ^piiir'gécbè"r'd^^®3r^H) 
 fiu|pa.ais .leur  / 
 QUEUE DES POISSONS. — La qu|tte'des poibsônsHa«l®j4 pas^SfeMjèfondae avee la  
 ipiëoîré' cafaS®?-'  llvjq.üeue' fsgjibl^,-JçÏÏeffi (lafphij^t^wmfo»upe partie  düattmps^ généralement  
 « ^Kpatpread' soiüSiai»^mn?!ta portion qui s’ét^a'd%fenus'à*Ia naSsànee dfe-la næfejjonîè caudale. 
 »   «La* ÿuewe. est^d^^coinppsée des^os <rat terminent JgfcmiPfnhp Wili lirait  dor-,JîliJJpi opmm nt  
 djSvft qyguaalÿ) stitiijWla portion c audùie. Les *ap,oph.y s es- ,de#®iaqge üye rtèbre de Ù Æjeue diffèrent  
 îrajpiup vonc iJW'-mtlpâj leur, nombre, soit par  
 leiyt.din&nsw^w’y 
 cor iri ms  jiüi^ônsli J^(tof|roi*par  
 i iu6®> \ ei  eanaal^jW. termide  par  
 dJAda?1, ap I a la A(etj^4jJLp|,>‘- ' ■] am  (  rtrémitë  
 lnuran  ilflffttjln-pviirveiUpii  ro*  i/yjns  do la  na-  
 gtv.Ef/ i p 
 QUEUE DE GANGUI."^^^. I aNbateaux*) 
   '  "  Sgadette^Carpe.l 
 QUlNfQÙE PORTE.  d ont -le^c^|ÿidsl|fdfaime  cubique,  et qui a 
 q u a t r e ( v o y .   ljo6véi:)f2v- 
 QUIOULETTE. — Poéhe J l :filet mutin dep'hi|ieû‘rs ' p i l ^  et  adaptée  aux  
 jf f ip   A ig u ille s 'd a n s ^   étangs' salis 
 -Quipot. — défilé par W^Sfeùrs du  Boulonai^à:  Ftg-  -fle 
 Une  .variété  de 'Libuttï-ét dont%ous"ddmions  la  ^Bdmina-  ''  fouet-  
 I^Tèt l’usage., Get en gin | e|t .|y-|put Él^É|l^%acpîereau, .quand di fait jour  
 w p i l ’'V  iOT®Juît( (Voy. ïnêbuRETC)  R 
 On  fait  choix  dîune  ligne  fil  de  foueU(/Cÿ;  894)  de  la^igros-  
 aek|rdu  tuyau  d’une  ordinaire,  au  h o ^ d e -  laquelle'mn’ 
 attache  un  plomb  conique  ou  ovale  ’^ ( ^ .,,8 9 6 )  • pesant Æyk  9  ki-  
 D   A proprement  parler  ^ m o t   quipbt  s’appliqua |)lutêt  à  l’aoa-'  Fig_  8#6;  
 lettë ou  baleîhe  qui  complète T’éhgin.'lîlïï  attache  donc  Un  quipot B,  rfomb'conique  
 Puis 6 autres  de 4 mètres'én 4 ’mf®!); Chacun d’eux^a là  forme  d’unfe  :I du<IBii>othaleine  
 B M 6“,1S  qÙelmnTixé'à'k^ËgSé  ëmpaâ^it un fil deux fois é^tk-oix pardessus  
 ( cétte baleine porte à  l’autre bout une empile de. fil de .lin  (fig,  897),  retors