
 
		logues.  Une  ligue,  attachée  à  cette  balance,  permet/d^li.  descendre  
 fondeur convenable. Lorsqu’on laisse les'Caudrëttes seules;' on loe*Sïuriit d’^ë^çrale  
 qui maintient les’eartiès à fô'sWKice  de  l’eau,  Lê‘s .pUiUes^K. fi^çt  ont emgî^êr^l  
 9  à  10 mîïïMè’tres 
 Quelques pêchons rn.dclîltf’&ty efws^frjne^êh^s-h'l^ir>e, afin d’empêcb^l^'^êor-  
 aelettes dg^Bp^aidnÿpjfôtQinB^r sur la Cowérettetôftffii'Pfâg. 4 ^©Vçi; dé faire fuir 1 »   
 animaux par leur déploiement, quand r ^ ’^ tv e  Fengin. A»Sgt effet.  IgT&OffdcIeLte-'  * 
 |suspension sont attachées;à"unmfeelle d e'0mÀO 4 Om,60rtepEflj^1§ f l a t t e , la-  
 raddlë^en  ^s’enlevant,  tient-tes  ootfeâltettes  fendues'. 
   'Au  est" "ëtephé ^nfeTfràgue tte 
 d’un  demi-mi' Ire ^jjwu'ptè^à. 1 AiÆ'^^Egpnrré  
 UÏ(i.iaauell&  est  fryc-U  à 
 I la surfec.eidnJt’.eau. - 
 ■ »TPdur -neft.ëfcjgêohe^  fèjïtevqti'e 
 nbii^^S'ans-démrp,  i  Li-grando  
 que  le-Sveaux  que 
 le  soleil  soit  descendu  ^ 
 eügins“d'dtei}jiit «fr  
 r eux que n()ns''çeri^rIV"de4Wÿïilïrè7  J'Æe, 
 [taiim;  Uni  est  de« 
 Lanets ; jl|Rsqffilmq*litfiO» par«'  qiK^ji ame^( $ $   
 forme  de poche,  est  couvert  par  de^fiplfe^onjr-  
 d«esd'un bord du corcteià ütjjtrriftorijrAantfcqij'iMe  
 Lune trame  à  larges  maRte^:  laquelle  on attache  
 Iles  app.Hs^do  pojss()risMi’Ai' 
 I viennen l le s at ta quer tomb ent à traver s ce s grandes  
 mailles dansaiei6ig|^quÉùd^n^ë^etè<f^fe,4ips’em -  
 hairassiuit  (luis  < es.hte-l-raigAeissiuv  
 vent s’échapper [fig.  144)7. 
 Fig.  141.  —“Grande Candrëtte. ' -  -    E«  mplIo  yér s  d•» ans un br  at,e  au, .l ^ 
 engins à toute profondeur, àdprèS' des rochers. „Mais  eetbe pêeàe  ete, fatigante, et  il  
 faut deux ou  trois hommes  pour 'mànoeûvreplsiis#' d^ÿn^-de.  grandes Oÿîidrettes... 
 CEINTURE HUMÉRALE. — (V(§73M®i HBMÉ«Ài^.$#B»i.ErrE4  . 
 c é la n   ou  cÉliAN GARDON, -^^arpoïss&n apparaît siig^ l i ^ ^ j ^ 'd e  Normandie  
 qu'and.dispapaît le Bloqué141 n ’en  difere, du reteo, *qdeipàwlatpfts%lia^ld;e  
 sécheresse de_sa chair.  Il  a beaucoup de-rapportsrâvec  la Sardine,  doffitil est très-  
 proche parent, mais les  pêchetûs-ne^lfeirploient  que  commeramorce,  aux  haine- "  
 çons,  pour la pêche 4gs poissons carnassiers. 
 Le mot Cébm n’indique pas, d’ailleurs, chez les-pêcheqæsune  espèce bien déterminée  
 >ni unique j  c’est^en quelque sorte-une  dénomination générale eomme  celle  
 de Blaquets. Aussi le.Célan est-il le plus  souvent  le Clupea  spratus,  Sprat, mai» gfcj  
 peut être aussi une variété  du petit poisson,  nommée Harengtflà  latutus, Lin.  Bien  
 plus,  la  Sardine  elle-même portessouvent le hom  de- Célan,  ou celui de Cékrin,  ou  
 celui de Beigmx vers Bordeaux. 
 c é l e r in  . -#» Même poisson que le  mot.)  1 
 CENDRÉE [Raie],  Mldetr |  § ||g § 
 CENTROLOPHE POMPILE (Coryphæna  pompilus,  Ltri.'. —  Acanthopt.  acombér.  
 Long. max. == O^gô;^. j.i 
 Syn.  : 
 Corps peu allongé, comprimé, palais lisse ; dorsale  commençant un peu en  arrière dé  l’occiput ;  
 Duhamel,  dans  ses Pd&fes, pl. VI,  f,.2, le nomme Serran •de Provence. 
 H  assez rage, jteis.la Méditerranée  et dansJ'Gcéan, est couvert de  petites 
 écailles  curieusement  striées :  il  est entièrement noir, les  nageoires  intenses, le ventre  un peu  plus  
 clair ;  li'origine de la  ligne latérale est  un  peu bronzée. Cette ligne est légèrement courbe à  son  commencement. 
  Douche petite, Wngfiièg-raride',  dents petites sur les mâchoires ;  <Sil'proéminent et brillant. 
  'Les pepiorelÊs^ntjgçijatjjèey Jp  eaudaje fourchue.  ■ 
 d —38.  c7=^»,,^ 
 Ce poisson^jliidai;! jé  tç ^ p -qu’on  le pêche  et qu’on  le tient dans le filet,  change  de  couleur  
 et^esuomèsTicvienncht hléns.  Les  individus  du Midi Sont plus beaux, comme  couleurs, que  ceux  du  
 Nordfc-*;. 
 g e n t r o l o p h e  POMPILE. J— '.poisson  est un prodige de vélocité et de  
 filète'tendife pouf le ÿlhacnon à  l’éioabôuèhïire  des  rf-  
 mois  de novembre.  S i force est'telle qu’un individu, pris ainsi, frappant  
 4lp,<H,e'f ied ? ^ ’fitet,  l’emporta avec lui par-Éé^üi la « »de de tête. 
 MVJ'a@$‘4r©uva des  débris  de  plantes  dans l’estomac  de ce poisson ;  Ruysch  
 -r4%pé®te le mêr^e'teit, mais  dit^q#’if-'s«riourrit également de chair. ' Ehez un autre,  
 moui e C^jpquiMée âe sâ'iJoquillé', un morceau de Brème de mer,  
 ^ É M Esl^efix1 provenant sains  aucun  deuté ’de l’amorce d’un hameçon. 
 On prend aus&ihcép'oàgsejLàl'aligiîe.-en amorçantaveê-des morceaux de Maquereau. 
 CENTHOLOPHUS POMPILUS. —  (Voy.  ci-dessus.) 
 C É PH A LO PT È R E  GIOKNA  (Raia  Giorua,  Sehneid.).  — Chondropt.  à br.  fixes, pla-  
 giostome. Long.  max. =  im,50. 
 Syn. :  The horned Ray,  angl. 
 Espèce  de Raie à grandes ailes aiguës et se prolongeant en  avant de façon à former comme deux  
 oreilles  S la 'tête de l'animal, laquelle  est tronquée  en' avant.  La  queue,  grêle,  porte  en  dessous  un 
 Corps noir  sur  le dos, bordé  de  violet.  Se prend  dans  l’Océan  et  dans la Méditerranée.  Taille 
 Le  mâle suât la  femelle, et paraît lui  porter un  grand  attacîiemenL(Risso). Us arrivent près des  
 eûtes  vers le mois de juillet  ; c’est  alors  qu’on en prend souvent dans  les Madragues ou dans les Bour-  
 digues.  La  femelle  prise,  le  mâle  demeure  aux  environs  pendant  plusieurs jours,  approchant  et  
 cherchant à deviner où est sa compagne. Deux jours après, on le vit, dans  un  cas  semblable, venir retrouver  
 sa femelle  et mourir dans le même compartiment qu'elle. 
 Les jeunes  éclosent en septembre et  viennent d’oeufs jaunes et longs qu’a pondus la femelle. La  
 | | « l ^ « % s . a m maux consiste’surtout  en céphalopodes  et  en poissons. 
 Meurent  en  sortant de l'èàur4"' 
 CERFEUiLou.' Ch e r f e u il . j§M  Appellation  populaire, en  beaucoup  d’endroits, 
  de la larve aquatique de la Frigane jaune ou Portefaix. (Voy.  ces mots.) 
 c e r is e   {Pêche  à la).--^- Vers  le  mois de  juin,  et  pendant tout  le  mois  de  
 jufflêt,  on  peteÉ»  dans le climat  moyen  de  la France,  se Servir  de  la  cerise  pour  
 prendre  le  Chevesne.  Un ignore  si ce fruit  est du goût particulier de  ce poisson,  
 otite-ce  dernier prend'la couleur vermeille du  pfemier  pour celle du sang  dont il  
 est très-friand. Toujours est-il-  que  la  cerise réussit très-bien,  et rapporte  souvent  
 ati pêcheur de fort beaux poissons,  de  l’espèce que nous  venons d’indiquer. 
 Il  faut  faire  choix d’un  hameçon  n° i  ou 2,  empiïé  sur  solide  florence,  et,  
 © F 1'  Péche^  on se servira avec avantage des hameçonsLÉoaerick sans palette.  
 Oh fait entrer le  dard par  l’endroit où  la  queue du fruit était attachée,  puis,  tournant  
 adroitement l’hameçon autour du hoyau,  on  réussit à cacher le fer tout entier  
 sOus la peau  du fruit,  sans  déchirer celle-ci  et en faisant très-légèrement saillir la  
 fine pointe  de l’hameçon)' 
 Le  fruit  ainsi  enfilé  semble  garni  de  sa  queue  naturelle,  que  remplace  la