
 
		pêche au fusil beaucoup  trop ■.connue  et beaucoup trop' peu, emÿo$êêjf&irtcmt par  
 suite de l'erreur accréditée-que ce-tir est extrêmement d^fieite  C'esb Jie^lPAtïaire  
 qui est  strictement vrai. 
 PÊCHE AU GRELOT®|^^.yv"SSiWsSCWj|WW!'M  A |PHP0T.) 
 La pêche  au grelot est exactement la pêche à soutenir ou \&$êche dafà,.^p,&ïote&  
 dont les  chances ^sonhimultigllée® par ?te  nombre desJignqS'  que,l’on  a tendues.  
 On prend  ainsi  tous^l^xqyoissons tôfèj fond, Carp'e,' Barbeau,  Anguille^^^liQaE-  
 don,  etc. 
 -  Alors qu’on pêche- seul, et qu?oïifne#Keut pas transformer-une dlglpâÇlftejbfeuii  
 travail, il,ne  faut pas tendre à laç-foi^plus igjp quatr^ligfiÇfîjiOar■ Acette. pfl^e,  fie  
 même qu’à celle dans les pelotes  la canne , tenue daps, la main^ il  "faut;  a'ipaiteop):  
 de  renouveler  la  pelote au  moins/toutes  les  demi-heures. t^}%^ejl^Sife^Ates.  
 c’est-àÆfte-.fehâ®e la terre dans unuétat  convenable  ^ q n ^ ^ ,^ a r|^ g ^ l?® i’ise  
 à l'éponge*  la pétrir,  y incorporer lesfastics'tSjîplafier'le tout à l’hameçpn^pî|i^;etlç  
 la ligne, enfin tous ces petits soins-prennent assez «de-âêmps nftuggàs^l^n  
 les  huit  ou  dix minutes, une  ligne  à)  relever.-i€He§t*asSeze :  
 fatigue.  .Au  reste l'activité,des  pêcheurs animés 
 ment à  augmenter le-nombre de ’leurs grélutS;,%hpar^»â|llp^Bt,-;à^Mti$s<^ 1'^É-ais 1 r  
 inappréciable d’être continuellement emmouybment. jp 
 Doit-on mettre, à sa ligne, un,plomb ^u'^m  mua-njjent au^fond 
 de  l’eau  la brochette d’astiootsven position  -.d’être  m a n g ^ ^ ^ e , p#ê.o®Â-»çme  
 après que la pelote a été dissoute par l^eguran^piais le pê&hero  
 comment, il  pêche,  car ia pelote la mieux  faite  jip 
 fond, etle pêcheur croit qu’il pêche dans,jtee’5pei|gse  d e.qu^hm-ai!.U.m4 ^ ^ p j fp?s  
 qu’il u’en est rien-ri’eau en ayant charriê-j les morceaux ajt-k>in  où.^Wfe )ife&nt S®  
 poissons^., 
 Le second moyen, lerIiége,  offre tou^lesg^vaatageg- d u ip ^ è ^ie t  >®s 
 inconvénients: La pelote a  disparu,  le f i ^ pW o n t e rb h ^ q@ n ^ g f e ^ ^ s |^® f f lP   
 apparition avertit le  pêcheur  de renouveler l^i-mn^réâStiS'JÉis  £t»S3fciçtçait  Ht  
 préoccupé,  le  pêcheur sera- plus yfte'averti qp’avgCiil^i^^[%|Su’il nevpjhxr^jCon-  
 sulter qu’en retirant sa ligue,  et dans  ce cas,  il  brise inévitablement les restes de  
 pelote  autour  desquels étaient peut-êtreiplusieu^sSjg^fe^Ofl^S^ÿ'^te^^L 
 •  Enfln0 avantage inappréciable surun.fqnd^de pierres, le  ^ouvent  
 entre elles d’une manière irrémédiable;  il faut»saoBifier;saÿ]j^^^||^^^|d au-  
 tant plus souvent à la  pêche au grelot que l’on nia pa^àêàçanne pour ..porter ||ffprt  
 le plus près possible de l ’h am e ç o n  et suivant une -Hgnq^artMàjîe.j^pM^B^ ® e  
 tirer suivant unedirection d’àUtant plus oblique qufrle  plombms^|o^f^Mp*lp-in  
 du rivage. Or cette traction oblique est précisémentlemqpnj^lus  pour 
 faire entrer  le  plomb  dans  les interstices  des- pierres posées  §an&ondïte.,le^jïi|es  
 sur les autres, et pour  le fixer ainsi dans,des fentes d’obil ne peuWplui sortir. 
 au contraire,  vous pêchez sur un fond un peu mou,et,vaseux,  la  pesanteur  
 du plomb pourra faire  entrer votre pelote  et votre hajneçon dans la vasçitippfle|pi  
 lé  poisson ne Iswlevinèra plus; tandis  que  la  peloté  .seute,;.s^itêbue-par  duffiàége,  
 n’entrera pas ou entrera moins. 
 Tous  les avantages se,réunissent donc en faveur  de h.pelote.sun  /î^ /^ .&’tout  
 pour la pêche aui grelots.  On peut  encore s’aider,  dans tous les ,6,as, pour |j|iefer  
 et mettre à l’eau des lignes, de la fourche à canne  que  nous'avons  indiquée..et  <IU1  
 rend de  si grands services. 
 PÊCHE  AU  LANCER AUX  MOUCHES ARTIFICIELLES. — (Voy. Mou-  
 aais  ija ïf I£fB4SS8r)ïn'i 
 L’observation  la  plus  superficielle a permis à  tous les pêcheurs de fonifi^ter  
 aulies^pflmom.d&aurÆLce Sgruparent. avidement Ae tous  les in-  
 -S ^ q u i  a-pp^j.chènM^a|,a|00]^ | ^ es,eauix.J,De là,est venue dMée de garnir son  
 hàme^iMud’uninsecte-et 4e ie^aisg^ tajA e r  sur  d’ofi est venue la pêche à 
 ’iM^mfe-maturiMMantA. AMeuirmrise...  <wf. irès-yj t*>  aperçu que si 
 ces pêches réussissaient,  c’est que la première se faisait du haut d’un pont ou d’un  
 jsècoiideiBjLemèrp  .  dans l’un  et  l’autre, cas, 
 parce  que  la ligne  tombant.  mmeûiMÆpau^aa, A peu près, le poisson 
 neSnoui »U  gi lju^o fli-’sj,.h{ÿugg^n «par un appât. 
 Or rien n'est sublil comme  la vue et agile  comme  la  défiance du  poisson  de  
 surface.  S!il  aperçoit le fil qui va  de  l’appât au  pêcheur,  il restera sourd  à l’appel  
 de,.la meilleure  esche  et gobera,  à  côté,  le premier insecte tombé, dès qu’il sera  
 m!k uujÆë  cacmSaocun. piégg,-],,.., ^ I 
 _,Itëg^quons M t o ,  a;os 'piu^wjiZ S hi Lent le plus  loin pepji|ie du rivage, 
 — fi0' 11  rc** 
 ^M ) iiit|^M m H ^ ^ ^ ^ ^ ^ ij> h d i)  imtofi. ’d’une  
 jout  d’^a|)§p^Ig, fil se-Æeaælùdans ljgau* pulphmeetfi.se: diiach.eEa) bien-  
 ^ i ^ a u t a n t p B B y îilca lia-tuiéeiyt-stemé ^ ^ S Le urenû^ r êdeur'À ^ s,parages. 
 pour  que  l'hameçon|in” 1’fi iFÎ^ljPrnlfliTflm nnt  au  
 plan.de l’eau ou,  du moins,  sous  un angle  assez  grand pour  que la fiorence sur laquelle  
 il est moulé ne.soit pas me trop facilement du poisson. Mais,  dans la prati-  
 qggjgüiguti e“et  noi-unt^  uraÿé.^ fti  se ^pré^ntA-Pour^^ntenimi’^À e   
 dans  la position voulue,  l faudrait mÊMi bout du scion  fût très-élevé  de manière  
 que la  canne  fit  à|j|Ç la  ligne un angle de 45°fà 50°,  au lieu de 90° qui  est l’angle  
 gne.  Par  ^ s ^ qp d ^ avbas&^hx>triangle.  q’est à-dire la  
 11 ! stance entre le  pêcheur  et le poisson,  se raccoureirâit S B B ff l heurterait à deux  
 grands inconvénients  : pêcher trop près du bord pour ramener  de  belles pièces,  et  
 découvrir -trop le pêcheur j | | |   qui ferait fiiir les  pêchés aussi vite  et  aussi  loin que  
 le Jameùx JEien qù^tout le MS^fi-sait. 
 Le remède  est faç|le,  allonger  la  canne  jusqu’à o,  6  et même 7 mètres,  lui  
 attacher une ligne plus longue de 10 mètres,  et, avec cet engin, le pêcheur enverra  
 dans de bonnes  conditions son insecte naturel à 9 à 10 mètres de lui.  Autre inconvénient  
 :  la canne ci e 6 à 7 mètres faite, comment la lancer ? Une semblable^anne, :  
 'lfiqufi^^^enjK^t^pg^^.là pêche  de Loxm^ -est déjà une .solive peu commode à ma-  
 lès paysan qui ^ ç m ^ n t   de p£u?dyge^.ppur ia  pêche  du  brochet,  
 les laissent-ils à vau-l’eau appuyées sur le bord. Pour la pêche aux insectes, au contraire, 
   il faut tenir et  toujours  tenir la canne : peu  de bras  et de poignets y résis -  
 teraient, et les pêcheurs doués- de ces avantages U’Hercule se compteraient comme  
 b  phénix et  scs  descèrffiants. Nous devons donc nous trouver  mille  fois  heureux  
 ffiCmnature ffltrnensé  aux pêchgurs en  faisant (lpousse^  -1er roseau,  pour  eux  et 
 plaisirs. 
 Le pêcherir se  procurera  donc  une honnemanne  en  roseau, en quatre brins,  
 de lm,50 à  lm,7o,  ou  en  cinq brins de 0"',80 à lm,40. La seconde division,  celle  en  
 Clncl morceaux,  est  plus  portative,  ploy-ée,  mais plus  lourde et moins  solide  que  
 la première en  quatre parce  qu’elle a  plus de viroles.  On renforcera  chaque en-  
 tçe-noeuds d’une ligature soignée et  bien  vernie,  l’on  montera  à  la  hase  cle  la