■ p o u r monter o c tro is' filets -ensemblej^bn faït-ehbïx d’un eMtoWbien net‘sur
të sol, soit sur du asdilejSbjt sur-Tberbe’ fiiîW fo i^ prairie. OndéplôiM%bèJ'dès
aumées que d’on tend fortement par l^qiiaWé'^faâ fa^ moyen'de piquets’pàSsaM
dans les boucles d e s 't^ le s ^ fe ë î’fiit, ©m [fasse' dans *1#i'détnier rang de mailles de
H la fluê)- tb® :aiÊ©mrvmï'' iojide fil de fo’iÿêt bie'n
(détordu et'd’unÉ-seul mOtceau/On place alors
la flue^àdr fl’aumée^pKMe ; attachant cette
ficélle- eVles angles Cte-da ftue aux pi(jùet$1t(M
tendentt Paumée -l^C ô e lî tW fa !cÈ^:isêltr6u7e
parfaitement têrfdiàe^Mîis-î la fiue ne#éët pa's,
ppbîàqu^Ô'l^it^^tSi'e^eaHafeëîfiîri^iS^grWde
que raumé'e', -qui est Jêfeous. Cto- ’disffîbfie
M B * tiv é i 11 réain les plis
■ ÿ ^u liè rèm e n f ? 'pbSSbWf^? la fodv%ù-
Fig. îoot, - iramaii. * ; -ït¥ur,ra f i n Jë®8^ â l ^ ^ é b B 'ù l i i f o r -
Snémerrt s u f ’fcuite l’étendue d ^ l ’aumée: e k ^ Ç ^ ^ ^ f e r s ’^ ^ l a ^ f lü e l a ^ ^ B ^
Plumée, qufcfon ten'd^comrfi# la; première, au'moyffMes t e % f lw f e ;fogfé^%ur
[les mêmes piquets, p u is,'au HtôyeS'le’-ffFieto'rs ' è®< J|é
mmïle des aumées correspondantes Surfe bord, enrayant MÏirinb^în tu Iré’<J\ 11(. fjÎR£
une maille de là fiue: On t e rm i n e travail en b o rd aM 4 ^ lo% file l|ii^ !n -B léy%d
moyen d’tmf ( oïde col idc* ïfe’Ti im 'ilom
qu’à garnir le h au t de flottes de liège et le pied de plombées. '
La pêebe au Tramai^14dans ïeâ-fleuvês et"darfe‘ ] e #AW i> v ia nm m p uiiép-erp
ta b li ballue ;-%g filet se place a poste fixe, en travers du cours d’eau ; il n ’est pas
nécessaire même qu’il le barre to u t à fait. Le plus souvent, il n e n occupe a p( u
près que le tiers du milieu ; mais, comme il est destiné par les pêcheurs de profession
à prendre les poissons de grandes dimensions, il se trouve bien placé, puisqu’il
e s t, dans la grande eau, leur chemin de prédilection. Le Tramail est généralement
soutenu à chaque extrémité par ü n rhateàu soit amarré au rivage, soit maintenu
par une pierre coulée au fond de l’eau, qui lui sert d ancre. .
Le Tramail posé, les pêcheurs descendent à quelques centaines dë mètres au-
dessous, et là, déployant une "senne à larges mailles qui, met Le fois, barreTa rivière
entière, ils remontent lentement'vers le Tramail. La senne, ici, n’agit que comme
cloison mouvante.-Aussi, dans la Loire, par exemple, les pêcheurs la remplacent-
ils par une simple chaîne de fer, garnie de cliquets de bois, qu’ils traînent au fond
de l’eau: Quel que soit l’engin employé, chaîne ou 'senne, le poisson effrayé-s’enfuit
la tête au courant, et va donner dans, le' Tramail, où il demeure embarrassé. Il se
méfie d’autant moins que, voyant les larges mailles des aumées, il y passe facilement,
et, renconLraùt le tissu flottant de la fiue, qui cède sous la moindre prèssionJË
eroit le refouler pour se livrer passage, mais iî -n’aboutit qu’à former unejpochfe à
travers une des-mailles de l’aumée opposée, poche qui augmeû^-avec làïürfë-de
ses mouvements, les paralyse bientôt e t le conserve empêtré. Bans Tés petits -ruis-
seaux, on ne se donne plus là peine dé rabattre lé poisson dans la
sen n e ; on boule vigoureusement su t chaque bord et au milieu avec dés perches,
etc., remontant vers le Tramail, on y fait fuir le poisson. On cerne.également,
au moyen du Tramail, lés abords des crônes ou cavernes sous les racinés et
les berges, puis le bouloir fait son jeu ; les poissons, attaqués, dans leurs retraites,
fuient éperdus le tapage, et s’emmaillent d’autant plus aisément que la vase, sou-
«=vee p ar cette manoeuvre 11— p+ H - nuis :u-n- -r--ui—sseau ae îJCU u etcuuue, iroume rapidement
" i l + ? H P°1SSOn de discerner son chemin. En somme, le Tramail est le WÊÊÈË I K M de Pr° feSSi0n’ ^ pengin quAui rapporte le "fu s It quoique la manoeuvre en soit assez pénible, tant à cause du poids du filet que de sa M i l 19 celui auquel il a recours le plus souvent. C’est la véritable Lppe
- les f e l u n - n0S es p0iss0ns s’y germent, sans exception ; même
- pel ts’ 5UI le u rra ie n t passer à travers les mailles de la fine, et cependant s’v
accrochen t et s y embrouillent par les épines de leurs nageoires. P 7
■ tTRA m tUX SÉDENTAIRES- - Les-tramaux sédentaires et toute espèce de
M M M M » H d6Stine à Avenir fondriers, demi-fondriers ou flot-
W Ë oooTn M E I de °m’033 en carré> ot les mailles des aumées
e “ Pl0?ée h' l’‘mb°"°h™ * 1 1 " PO- »
P* Jtüie bâtis Douannen,*; * Tannes, on dit
, » g n e ^ ™ HSIi^ S ' ~ E ‘Pè“ & petites « « * » {»r- ce mot) usitées en Bre-
TREMA Cl. Nom corse du tramail. (Voy. ce mot )
Cette sorte de filet fce s'emploie
TRESSE AU. — Nom
t du ' câble dés nasses du
ïtAMPROIfi-,)
TRESSONS et TRES-
SURES . jk # . Espèces de
petites cannières (voy. ce
mot), usitées en' Bretagne;
TREÙILLE. — Trahie
à chevrettes dont cm se
sert à l’île de Ré. Au lien,
d’être montée sur deux
bercleâ;' elle l’est sur deux
’ parallèles, la figure
Fig. 1002. - Pêche à la TreuilI
- , / - o — 1002 donne ™ e idée parfaitement exacte de cettt
Pêche élémentaire qm se fait entre les rochers de la côte.
T R E U L O T . — Nom d’une sorte de Trouble adoptée pour la pêche des Crevettes.
(Voy, Truble.)
TREUX. — Truble à chevrettes, aux environs de Royan.
t r id e n t . — Synonyme de Foëne. (Voy. ce mot.)
t r ig a n . — Nom du Goujon dans le Lot. (Voy. Goujon.)
^ ^® J *A . — (Voy. Grondin, Genre.) •
TRIGLE [Genre] (Trigla,Lin.). — Acanthopt. è jouesTuirassëes.
Premier genre de la famille qui suit immédiatement celle des Percoldes. mais eomm-rmm à -
I. lit ., minée d. p l i , , « .1 d'dpi„„, ' « S l | t
en lu t séparer, qooiqu’Ils n’aient pas non plus d’epines lisses en avant de la 1« dorsale
Ce genre comprend les IKghs ouÆrsMfAw, nommes Rougets à Paris, mais impropre n.,n