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 pe*rla grQsseoeyfèrcée  .de Fempilâge-jet'ded’-ineonVénàenbde l ’anneau. Cet  anneau  
 A (fig.  14)>erferempitesir-néGessaîreïBentd!©iïWieeHfèjoeb en droit, saüs<iecÿpptei<fie!iioeu.d  
 qui existe .un peu-plus to u t,—teiisteestobstâeles empà&keûttdeifaire remonta suffisamment. 
 Ie-< ver  dont  on déa& eotrô»dilrameçdn. II. reste là une partie dure'que  
 le poisson  sent, 
 ^ |l#w ls4 à|WaEfc.  à  palette,  à  ee-momimfo’ühseèait  prisf,'parce>quë(!l;li'aîàfe!Ç©Ai  
 H  
 • ïC i* 
 Fig?  14. — Haine 
 présenté; assez (tamntage /mais'iwec lé   grôssfer  haiÿëfioitf‘-à-a-nneau  
 qui ne pique jfe3ej)oisson%^erâGh.é,,# là " v ^m  tout e s ta it.,  , 
 à' anneau,  onde pjmndip&r la pointe CB,  
 que Fon-place  éfohasrentre-des- ÉQigts^^enispa^ë’wiasas? l’anneau  A,.  
 Ifortoé  par la'hampje  ’ridoifeltée  sur elle-mêmd - eh# arriéré1;  P empile  
 en ficelle D ;  on Tait un noeud  ^ïRnt^'fe^’^ ^ tta c ^ e ^ ^ gM ti& iw ® 11  
 lu%jsecond  noeud  sinapi^un- ppu  plus haufo'Qu,ejque§ ^ëcbplpjÿffi-  
 lent  le  petit  bout  d«-< 1-empile  de .cordelette  ou  de  fil-Jqn^ife.emr  
 ploient, ouvrent'en la  d§^toMlmt^4p®rtie‘-(?of'respo'iiMftûte»,(te'ilSfeb*'  
 pile,  passent Jp^bqut  effilé , -une  fois,  revi&^éntv‘dleüÊ#ifei^ ^ L ® i  
 haut sur let^s pas, revriHeii®pput  et composant ainsi une empuirn-’  
 [sans noeucbsaillant.  C’est un  peu meillqçâr.v'.ÿ  
 ■r  lîe ^ q u ’oiiiîsfeuti'empîter  des hdMfri^W iÿt^^etHysar  florence  ou  
 sur  crin,  le seul, moy enjesfi*^redo  è s ^Itepi^fel^ss^jdan's 
 sonempiiag«,  Panneau,  le-erin ou lar#dF'emee*SdEtax-mèmeSfM^8f> foire  
 ture de Soie poissé^® estftOut StisÉlsimple- alpfü d’ei3^i^Si^a*rMë0 ^ ^ ( * » iiÿ e ,  
 qui a ÇincsBvénient (tefiarboudl^lfé-moins. Fair#o|liî^(^ûd3 v^!ê|É'empilésæst pifè*  
 Iencore  qu’aveeJa'eoiSfe,  ear il rèsfo forcément  unOMS$s#a£sliê << I^ÎIiPnpliqffoÿn* j] e  
 bouche  du poisson' H  1 aide à' l’am lu  <qu il  e^NniniVKriJ^'fr^ndiiCëîgoBjle >t t/<#nïiifoW  
 a n n e a u  a d é c r o g Re r .  ^^^^^^fesfÉifflMî^l^^rfi^ïtlptefediffiBagage  
 du pêcKêur, est un deè-pJus”utiles poiirÉaStpêOb®à la  il i?eBt*à> 
 la décrocher des racines dans-fâ^^rt^efleî^prënâ;ffé'qnte»«en»tfMfiiMga'|^rh^1  
 Iraeçon'des pierres sous desquelles !3f e 1aSfi^vefltl^P!^®Wi®«®A'*®É;ga4 ^|Sfct<’aiineau  
 esl d’aütantplusatile, que Bous reeojnpiandonS 
 dignqs de  ce nom,1 dé^sétefervir Jd%ata4Q(!)Ssit^fepeGte«étiwfe^eé^gî|i(ÉÉ^^'g‘elà,fis  
 hameçons,1 .quoique- nasfttés'sun.tip^eMpifos fortestafiBen-ctei^eig;. ne peuvent être  
 attachés  à  qn nàbtev-Ibest idonO^Ceptam« qafeKfe&s.  
 tire brusquement avee- lai’qanne,  ofinassêraufe 
 cassera  Fempilè  et  souvent  la  ligne  elle-même, '-à|(É|s^|ir  
 trouve- ainsi-perdue,«AvéttSfl%^*pÿlO'ibbé'ë^ etc-.  r  ■ 
 -^d)08n& autre  dêtéy * cret  anneau< -1 oin?d -lefeÆltéi-”'d e npi-  
 quants  est - dïfficiler?^Bl©^@r?f‘S8)®i,S) findonvé^etîtsi djtaaita  *Sà  
 poebe •' ou dans 'sonAae ;' 'et jpuésjs^iife ùn  #kÉfi:ïvd!é^i^p^||;!  
 le pêcheur  en porte  déjà tant l-  fi 
 rp®fbv®li^i-#.SSï,. qu’p^A- iin  
 «hife  à' feire. ■ S i l’on  va- pêcher \àp^dfelsnidliçÉlhfOttÉ,!  
 dans .une  rivière inconnue,  qu-’on.le  prenne; si L’on pêche  
 de surface ou à la  ligne .flottante,  q®?.ôi»telaisse;:au  logis,  
 Fig. io. — Anneau !à décrocher. 
 quitte  à foris&t.‘-sa  ligne  sr  un -abtâéent'arrive ! 
 ^ q  ^éttââneau est fait en  cuivre  ou enfer jjliSlï|^ÿv'§|\i|ï®â;j#^8Q:§1, grammes' aulplus;  
 •ÿR'*st muni  de poittte^&éfeïmrbées* fyfyi ‘15.)foQuand  on pêche àviWewîwsmrdiiK^j®,  
 saiî#moülinet,r0S peut choisir un anneannrdinaiFe/saîts eharnières,  on-passe dedans 
 A N -N d EA U X . 43 
 d^W®a*év  on- dividfeJavfOrAë ficette*. qui  tient à F anneau,  on laisse  
 c o û ta  oélni^o-i^dong  désaligné tendue par l’obstacle,  et en tirant sur la ficelle, on  
 râflWe sowenMa raéin? efePhameçon  dedans,  ou bien l’on détourne la pierre,  et  
 laëigne^nedewienbh'hr^ei .prête à-.recom-meneejM'-.-. 
 i Mais sev'ewuaé' canne  àrtaabaLindt, — et  c'esfr-ice^lie  que  nous: recommandons  
 toujours-," même  pour aller  -pêcher le Goujon, — il faut que la  queue de  L’anneau  
 soiA'dodblfe^E^nne.au s’euvre par unèî charnière •: pour d’ouvrir,  il faut détacher la  
 clfeî£qui Servirafà?Jtirer  dessus;  on referme alorshaimeau au-dessus  du moulinet;  
 âigrppasse.la cp|de.dans ^ s  joeufefe|©qrneapondants  des deux queues ; on la noue, on  
 emtWi|fsort enfin Fanneaù par l’h a ^ ^ p ,   sans F'dûvrir de nouveau.  
 ,T.,p#aif»mëtre de^tianneau'-^^d e-feiM'à jQ?,08>. | 
 A N N E A U X . — Les Anneau* sont nédê^a’ites,  dans la confection des cannes à“  
 mbÿlSb|,lT>our offrir ïm p !& ^ e ^ & ’fil'(ie l'a,ligné ^  ïls se placent de distance en distance  
 s |S a  camje,  espacés, dlabor-d 4e Oin,5p.v6rs;le/gsos bout,  et se  rapprochant  
 toujqu-rstJes un|  des a u tr e s  de -façon  que-des deux tefnâers-ne soient écartés que.  
 dé#)m,10-, ver^^extrémité'du  sc ion^,. 
 Tl-;' ëshboqMgiLlemênt. d’en avoir to^toîs. grandeurs,  de "manière’''à mettre  les  
 plus petits  au?|Son,  qu’ils M ^ ^ g g n t   pis,  et les plus  gros auprès du moulinet. 
 if f S S ^ nneaux  portent,  dans.  Le^boçpmerc^jq. nom d’Anneaux à  eg0 m&,  et. se  
 trpiUvèntnKe^lès.mercifers. (guben  fait^M&puis quélqu© temps,  qui  sont  enlevés  à  
 l’.empdnl®pj^fie!dans-îdiés plaques de tôï^âfeten.t l’avantaged’être d’une seule pièce,  
 mais ama l f idésavantage d’^ t e é o u r S  irréguliersf!coÉi^îie'‘épâ!Îssèur, e t'à  bords  
 tç^nchantsset déchirés en dedans’etien dehors.  Il-  faut  leur  préférer ceux que l’on  
 fai| par  iW-nci'enne méthode  et  soutien» # î  de - lai'tod'soudA; ■’Geiixm,  -quoique  
 m®jte^iliS^^p®ce que la soudure - n’ estqjh's tou- WÊ  
 jfgfeipprfaite,’F^b^è‘deîit'  au', iûoins  une tir'cOiTfé^l  
 ré^îé^fflfbndie  et  non  tranGhanfè,  et ^^h&fuent  
 I^B'mlérailîèr  ni rdè;- feoufer.  le  fil  de  soie  ae  la  
 lig n ^ ^ , 
 «^fe^kuVst'fst les .autres sont .étamés  (ce  sont-les  
 ou vernis àiI’hÈuMe-êt noircis.-'  v  
 ,'îCo^!:'Ànneaüx  ëtanF'tffSisis“ÿüêfc. s'oifiVifei^ê^  
 égèr'erûënt à la,lime dbtMefü^wprs-bords,  
 et  sa  lanière de tôle,  
 . .  .  .à .mettre sur la  came. 
 on  procède  à^leur-montage.^Pour cela, 
 »en^p.par eouper-, avec des eiseaux Ordinaires^, une petitedarn^/îc. 16)'de fêle très-  
 mine®'dont s^servent les marchands de-parapluie^- Gette petite lame doit âv&ir en-  
 liron 0ra,02  dé'Sôngé'Éir 1 millimètre  çt'd'ën&i-à'â^n'ladgë ; on^ùi donne, en appuyant  
 ay§c 4dmo,igt,-»une,légère  eni^burje, au  milieu,  de  façon ?qp,e quand elle^sèra àppli-  
 quée s^^fe- canne elte laisselibremçnt'teuï^jFAnneah.ï^.àBs la petite cavité formé,#. 
 »*  Qïra marqué; d’un;trait delime,  la- place de l’Anneau snrlaùanhe, et l’o'n fixe le  
 tdfft au moyen d’une ligaturerdeÉôiiêippâsséèVdemvdë ftnnifé ou de cordelette solide  
 et  bien retorse'.’ .rape: ligature  oommencemfeq.ojj^six  tours plus loin  que  l’un  des  
 wits^de la petite  lanière da$f>l;e,teontinue îugqüi’à FAnnfcto,  pàssd d e ï’autrê côté,  
 et va, au* delà^èhieil eses t  arrêtée «©iôq ,ou®:tôurs plus loin que la secmae extrémité  
 de i#  lanière. 
 "'‘.èLorsque, foètte- iSgètthré’Test  terndBeî^ oif  la  vernit  au  moyen  d’un pinceau  
 tremp ^dfns‘(»»ërnis" noir à, Fes»foncèi',qÇfolJQÎç trpùyë’partout “dans fe commerce.  
 L^pHa^^p-ceuenetfa®'l’^ ^ s ô i u n   peuclairevest  afisonb%par  le  fil;  elle