42 AN-N EAU.
pe*rla grQsseoeyfèrcée .de Fempilâge-jet'ded’-ineonVénàenbde l ’anneau. Cet anneau
A (fig. 14)>erferempitesir-néGessaîreïBentd!©iïWieeHfèjoeb en droit, saüs<iecÿpptei<fie!iioeu.d
qui existe .un peu-plus to u t,—teiisteestobstâeles empà&keûttdeifaire remonta suffisamment.
Ie-< ver dont on déa& eotrô»dilrameçdn. II. reste là une partie dure'que
le poisson sent,
^ |l#w ls4 à|WaEfc. à palette, à ee-momimfo’ühseèait prisf,'parce>quë(!l;li'aîàfe!Ç©Ai
H
• ïC i*
Fig? 14. — Haine
présenté; assez (tamntage /mais'iwec lé grôssfer haiÿëfioitf‘-à-a-nneau
qui ne pique jfe3ej)oisson%^erâGh.é,,# là " v ^m tout e s ta it., ,
à' anneau, onde pjmndip&r la pointe CB,
que Fon-place éfohasrentre-des- ÉQigts^^enispa^ë’wiasas? l’anneau A,.
Ifortoé par la'hampje ’ridoifeltée sur elle-mêmd - eh# arriéré1; P empile
en ficelle D ; on Tait un noeud ^ïRnt^'fe^’^ ^ tta c ^ e ^ ^ gM ti& iw ® 11
lu%jsecond noeud sinapi^un- ppu plus haufo'Qu,ejque§ ^ëcbplpjÿffi-
lent le petit bout d«-< 1-empile de .cordelette ou de fil-Jqn^ife.emr
ploient, ouvrent'en la d§^toMlmt^4p®rtie‘-(?of'respo'iiMftûte»,(te'ilSfeb*'
pile, passent Jp^bqut effilé , -une fois, revi&^éntv‘dleüÊ#ifei^ ^ L ® i
haut sur let^s pas, revriHeii®pput et composant ainsi une empuirn-’
[sans noeucbsaillant. C’est un peu meillqçâr.v'.ÿ
■r lîe ^ q u ’oiiiîsfeuti'empîter des hdMfri^W iÿt^^etHysar florence ou
sur crin, le seul, moy enjesfi*^redo è s ^Itepi^fel^ss^jdan's
sonempiiag«, Panneau, le-erin ou lar#dF'emee*SdEtax-mèmeSfM^8f> foire
ture de Soie poissé^® estftOut StisÉlsimple- alpfü d’ei3^i^Si^a*rMë0 ^ ^ ( * » iiÿ e ,
qui a ÇincsBvénient (tefiarboudl^lfé-moins. Fair#o|liî^(^ûd3 v^!ê|É'empilésæst pifè*
Iencore qu’aveeJa'eoiSfe, ear il rèsfo forcément unOMS$s#a£sliê << I^ÎIiPnpliqffoÿn* j] e
bouche du poisson' H 1 aide à' l’am lu <qu il e^NniniVKriJ^'fr^ndiiCëîgoBjle >t t/<#nïiifoW
a n n e a u a d é c r o g Re r . ^^^^^^fesfÉifflMî^l^^rfi^ïtlptefediffiBagage
du pêcKêur, est un deè-pJus”utiles poiirÉaStpêOb®à la il i?eBt*à>
la décrocher des racines dans-fâ^^rt^efleî^prënâ;ffé'qnte»«en»tfMfiiMga'|^rh^1
Iraeçon'des pierres sous desquelles !3f e 1aSfi^vefltl^P!^®Wi®«®A'*®É;ga4 ^|Sfct<’aiineau
esl d’aütantplusatile, que Bous reeojnpiandonS
dignqs de ce nom,1 dé^sétefervir Jd%ata4Q(!)Ssit^fepeGte«étiwfe^eé^gî|i(ÉÉ^^'g‘elà,fis
hameçons,1 .quoique- nasfttés'sun.tip^eMpifos fortestafiBen-ctei^eig;. ne peuvent être
attachés à qn nàbtev-Ibest idonO^Ceptam« qafeKfe&s.
tire brusquement avee- lai’qanne, ofinassêraufe
cassera Fempilè et souvent la ligne elle-même, '-à|(É|s^|ir
trouve- ainsi-perdue,«AvéttSfl%^*pÿlO'ibbé'ë^ etc-. r ■
-^d)08n& autre dêtéy * cret anneau< -1 oin?d -lefeÆltéi-”'d e npi-
quants est - dïfficiler?^Bl©^@r?f‘S8)®i,S) findonvé^etîtsi djtaaita *Sà
poebe •' ou dans 'sonAae ;' 'et jpuésjs^iife ùn #kÉfi:ïvd!é^i^p^||;!
le pêcheur en porte déjà tant l- fi
rp®fbv®li^i-#.SSï,. qu’p^A- iin
«hife à' feire. ■ S i l’on va- pêcher \àp^dfelsnidliçÉlhfOttÉ,!
dans .une rivière inconnue, qu-’on.le prenne; si L’on pêche
de surface ou à la ligne .flottante, q®?.ôi»telaisse;:au logis,
Fig. io. — Anneau !à décrocher.
quitte à foris&t.‘-sa ligne sr un -abtâéent'arrive !
^ q ^éttââneau est fait en cuivre ou enfer jjliSlï|^ÿv'§|\i|ï®â;j#^8Q:§1, grammes' aulplus;
•ÿR'*st muni de poittte^&éfeïmrbées* fyfyi ‘15.)foQuand on pêche àviWewîwsmrdiiK^j®,
saiî#moülinet,r0S peut choisir un anneannrdinaiFe/saîts eharnières, on-passe dedans
A N -N d EA U X . 43
d^W®a*év on- dividfeJavfOrAë ficette*. qui tient à F anneau, on laisse
c o û ta oélni^o-i^dong désaligné tendue par l’obstacle, et en tirant sur la ficelle, on
râflWe sowenMa raéin? efePhameçon dedans, ou bien l’on détourne la pierre, et
laëigne^nedewienbh'hr^ei .prête à-.recom-meneejM'-.-.
i Mais sev'ewuaé' canne àrtaabaLindt, — et c'esfr-ice^lie que nous: recommandons
toujours-," même pour aller -pêcher le Goujon, — il faut que la queue de L’anneau
soiA'dodblfe^E^nne.au s’euvre par unèî charnière •: pour d’ouvrir, il faut détacher la
clfeî£qui Servirafà?Jtirer dessus; on referme alorshaimeau au-dessus du moulinet;
âigrppasse.la cp|de.dans ^ s joeufefe|©qrneapondants des deux queues ; on la noue, on
emtWi|fsort enfin Fanneaù par l’h a ^ ^ p , sans F'dûvrir de nouveau.
,T.,p#aif»mëtre de^tianneau'-^^d e-feiM'à jQ?,08>. |
A N N E A U X . — Les Anneau* sont nédê^a’ites, dans la confection des cannes à“
mbÿlSb|,lT>our offrir ïm p !& ^ e ^ & ’fil'(ie l'a,ligné ^ ïls se placent de distance en distance
s |S a camje, espacés, dlabor-d 4e Oin,5p.v6rs;le/gsos bout, et se rapprochant
toujqu-rstJes un| des a u tr e s de -façon que-des deux tefnâers-ne soient écartés que.
dé#)m,10-, ver^^extrémité'du sc ion^,.
Tl-;' ëshboqMgiLlemênt. d’en avoir to^toîs. grandeurs, de "manière’''à mettre les
plus petits au?|Son, qu’ils M ^ ^ g g n t pis, et les plus gros auprès du moulinet.
if f S S ^ nneaux portent, dans. Le^boçpmerc^jq. nom d’Anneaux à eg0 m&, et. se
trpiUvèntnKe^lès.mercifers. (guben fait^M&puis quélqu© temps, qui sont enlevés à
l’.empdnl®pj^fie!dans-îdiés plaques de tôï^âfeten.t l’avantaged’être d’une seule pièce,
mais ama l f idésavantage d’^ t e é o u r S irréguliersf!coÉi^îie'‘épâ!Îssèur, e t'à bords
tç^nchantsset déchirés en dedans’etien dehors. Il- faut leur préférer ceux que l’on
fai| par iW-nci'enne méthode et soutien» # î de - lai'tod'soudA; ■’Geiixm, -quoique
m®jte^iliS^^p®ce que la soudure - n’ estqjh's tou- WÊ
jfgfeipprfaite,’F^b^è‘deîit' au', iûoins une tir'cOiTfé^l
ré^îé^fflfbndie et non tranGhanfè, et ^^h&fuent
I^B'mlérailîèr ni rdè;- feoufer. le fil de soie ae la
lig n ^ ^ ,
«^fe^kuVst'fst les .autres sont .étamés (ce sont-les
ou vernis àiI’hÈuMe-êt noircis.-' v
,'îCo^!:'Ànneaüx ëtanF'tffSisis“ÿüêfc. s'oifiVifei^ê^
égèr'erûënt à la,lime dbtMefü^wprs-bords,
et sa lanière de tôle,
. . . .à .mettre sur la came.
on procède à^leur-montage.^Pour cela,
»en^p.par eouper-, avec des eiseaux Ordinaires^, une petitedarn^/îc. 16)'de fêle très-
mine®'dont s^servent les marchands de-parapluie^- Gette petite lame doit âv&ir en-
liron 0ra,02 dé'Sôngé'Éir 1 millimètre çt'd'ën&i-à'â^n'ladgë ; on^ùi donne, en appuyant
ay§c 4dmo,igt,-»une,légère eni^burje, au milieu, de façon ?qp,e quand elle^sèra àppli-
quée s^^fe- canne elte laisselibremçnt'teuï^jFAnneah.ï^.àBs la petite cavité formé,#.
»* Qïra marqué; d’un;trait delime, la- place de l’Anneau snrlaùanhe, et l’o'n fixe le
tdfft au moyen d’une ligaturerdeÉôiiêippâsséèVdemvdë ftnnifé ou de cordelette solide
et bien retorse'.’ .rape: ligature oommencemfeq.ojj^six tours plus loin que l’un des
wits^de la petite lanière da$f>l;e,teontinue îugqüi’à FAnnfcto, pàssd d e ï’autrê côté,
et va, au* delà^èhieil eses t arrêtée «©iôq ,ou®:tôurs plus loin que la secmae extrémité
de i# lanière.
"'‘.èLorsque, foètte- iSgètthré’Test terndBeî^ oif la vernit au moyen d’un pinceau
tremp ^dfns‘(»»ërnis" noir à, Fes»foncèi',qÇfolJQÎç trpùyë’partout “dans fe commerce.
L^pHa^^p-ceuenetfa®'l’^ ^ s ô i u n peuclairevest afisonb%par le fil; elle