
 
		ils ne mordent pins hl’hamcçon  
 d( Jn a n îl^q u *   "de quelque  bateau 
 iS^a.Ali-rMPui/enUecxtiJLbVs'Mt v uBÂâL fMd des  autres ■   
 les  prend  souvent  en  la is s a a t^ ^ ^ e u ^ e  un  
 }ô^^ha.fr.ippnu7parw i)^ ^ p y.l-e.tBiant»èitg®>bAusquemeat^ on emac-l  
 ï^ ® ? ^ d ( 'R R ?^ ïîd ^ S aV R d ’|p a r / l # |® l i% i? i® ‘d®il>pS.  
 v  OffiSj^ôl^-'TOim eel i mle^ITFk'dlt/,1  (>ùg!M;ffift.pm.. qui*  IjMi  fait 
 f f l j ^ f rn iiv ôm .  t f Fig' 48  — Bricole-1  
 M 5 E i à i ,l.,i.U°n.est,,fu nuitibi p\dP^ç£djunt> qïn nigblai pnopiLél(vd]émettre un son  
 JSiMumI m>us Jtfed+i^jStU'ifiin'iSÿ'Wn (^.ld^nfMrmsnie  qùiideufr permet cette  faculté.  
 Ti^d^nllJ'ffe^sVm f*a'éfruilë^buile-^àïr  ne fevé’c®'â|i^e4;^id,e  la'^duole*!^ 
 le,,;omn-ivore, fc^MÆMTOaSain]fljfd.es  ^ll^Sn’ts.à gôût'fqçt1,:^ 
 'MàMÊmàisp. ‘dë®^Ke>R»ès-fortj eji^MS#i  lui  esfcagréaMè.,  il  le re-j  
 I5n  i'Ii'1.  bll®MWJ ç#|iiip.1! ' ! r  foM^®ïd 
 fe iïr  M M V ^ u n -   d ' u S i A l - ' ’de 'lar^è1 '’de  mouche,  àla-  
 ^ p f l r l iii)  i[)[)çjuli(V' (^nM^Séveloppé  à  f.mjd^méir lu  ^ f ;M-~Grapmaffifasia' 
   t .qUfVM^tÿàij^^idans  les lieux (|f?- déjectiops les plus infectes. 
 ^HnBHpKaAder aiuxq)'èoheurs-le<ifc®u3C'î<^MEeè de ffi|a*llerj@her6her dà, ifetpeut’s’en  
 d^m^^U'Méi^ifgO'te.nte  -dans ies'tët&Mesà'Tache^ -otp o®?les'récolte  
 ‘(Lnv- l JSRmHu i af t üe01  ncn^lee^imml jc b r.J - /  
 oeFfcw'i: n>uuo  o Milium, mais  à l’automne  et hu/pâînfepips,  pendantlês£-gae&,  i  
 iv^rLayésiitable «pèche d«ÂayhiJfen!,je^&st la-, pêche dans les  pelotes*,  et plus  géné-  
 ra’l'émeqt -toute.pêdhfefde fond,  la ligne à>s’d0tmil?*Ss||i^4‘1lÿ s ''i^ p ^ d e   nuit;  car  
 ,TO^ïS—fm moTd1'l])(!U enjourJ'e^^^pvèniPiddV'soîd^'n'.rrîmn.'.iu ('répuscule.  
 A^,pn  pBul  ^galeiin ni  escher  à^ la ' ratej de paceùf,  , quà  la  viandepc^îté: quel-  
 conque.  , 
 B A R B E A U   M É R ID IO N A L   (Barbus meridionalis,  Rîssq}^^-» Malacop.  abd.  Cyprin. 
 ==  0-,50._*_ 
 pflB()V'iÿinaire-des' rivtèrBS-'du;iMdi de  la France,  ce poisson se  distingue tout  d’abord du Barbeau  
 j&ffîmmn', parce quV sa  dorsale  est  dépourvue de gros-rayon  denté. Conteur grise,pvontre argenté,  
 iJ&flrofoFàrïtar,  yeux  petits,  jRsîdbjèéîp  l 
 D.=5  simples,  9,brapcàms,  tachée  de  brun,  plus large  que  chez  le B.  commua,  tandis  que  
 l’aiiale  est plus petite.  Opereule un peu  pointu  en  arrière. 
 Se prend dans  les rivières  du Languedoc et de la Provence, le  Lez,  l’Hérault, la  Sorgue.  On  le  
 trouve  aussi  dans toutes  les  eaux  des Alpes-Maritimes,  il  présente  les  mêmes  habitudes  que  le  
 B;»'cbmmun ;  on  le pêche de îa'ttMme manière. 
 b a r b e r i n .  — “Nom  vulgaire  du  Surmulet  à 4 Bordeaux  et  à  Bayonne. 
 fl URMÜLET. ) <| 
 b a r b e t t e .  populaire  dé* lâ  Loche franche-dans, certains  endroits. 
 (Voy.'Loche  franche.) 
 B A R B IE R   CO M M U N   [Serranus an th ias,  Val.].  [Hist.  Nat.) —  Acanthopt.  percoïd.  
 :-Long; mâx. =fed“v25. 
 Syn. : 'Sai'pûnànto,  ital.  - 
 Le Barbier de  la Méditerranée *êst  l’un des  plus beaux pqissoâs de* oettc mer si fertile en espèces  
 remarquables.  Corps rouge rubis avec reflets  d’or  et d’argent, et les Jedkjÿcotivertes de bandes jaunes.  
 -Lea”Ventralesée!prolongënt beaucoup  et se tertninent par  des  filets singuliers  dont l’inférieur est  le  
 -plug long. 
 V«  -Troisième  rayon de  la  dorsale  s’élevànt du double *dfeé  autres, «K panache. Les  deux mâchoires  
 'èOeAout du museau  sont, chez  eè  poisson,  garnis d’écâilles  petites, mais  sensibles.  Caudale  très-  
 fourchue  et  terminée  en ülets gracieux. La ligne latérale,  plusiobnvexe  que le dos,  sè  redresse vers