
 
		conferves  et algues ciseau douce qui  poussent à  la,surface,  soit les particules  nutritives  
 animales qui peuvent s’y  déposer. Quoique nous les-ayons longtemps-ofeervés  
 W01& n’avons  jamais  pu nous  rendre  compte exactement  de,.ce  qu’ils  
 leur estomac,^!®® forme de gésier,  toi'c6®téûant jamais qu'une purée elaife qui ne  
 laisse rien  distinguer.  Ce que nous  avons  dit  du Mulet  céphale peut  être  entièrement  
 appliqué à tous les Mulets, car leurs moeurs %ent identiques.  - • 
 .Dans la  Loire,  nous  profitions  de l’étude:. de  leurs  moeurs’pour  leuriâiÿe une  
 chasse  profitable.  Avant  tout,  nous  devons  prévenir  nos lecteuEiL qui’ voudraient  
 nous imiter,  qu’ils doivent  se  munir,  auprès  de" l’adjqdicatair-eude  la1 pêcheid’un  
 permis  et  d’un  second  visrà-yis  de  l’autorité  .pour  droit  de  port d!armes  an milieu  
 de  l’été.  Ceci  fait,  nous  p a rtie ^ /'m ü fîi T d'un ’excédent  fesil  Lefaucjæux,  
 chargé à balles  franches  et de quelques  cartouches- semblables ~flans.îyot^pmrlip  
 car,  à  cette  chasse-là,  oi-yne  tire pas si-souvent q u ’à  unew®vertùr,eVlsiiaîi,la|^éi‘drix,  
 Sur  l’autre  épaule,  nous  portions-une  épuisette  en  filet,  largeTdf0^,51),  È  
 montée  sur  un  manche en bambou.de 2 mètiés, cohtenan t’.Qknsf’son ^^pxieufb une  
 àlonge sem-blable^mâd^ renforcée d’une tige aeroH « u c^ fe r à l'intérieur, de telle  
 sorte  que,  déployé,  ce manche me permettait d’atteindre  à  3^,50.--4jou||fe-y  ce  
 ,,qpe pouvaient produire mun bras et les autres -aides fih%flmment ;  Hfc Btvon 
 d’action ;de 4 mètres à 4m,50 dont jq dtSjiôsâis.  ' 
 \Le  moment  pom^sé^ftetil;e’iH^f,ba^s'e>est  J1  hetîros  ilu matin,  ||g l|û g is  de  
 juin et juillet, moment où  la jrhalâaKtifp torride  su^Ks.bQçdp, du-fleuve:  Avais  
 remarqué  qu’à cette h e i ^ e t ’-quand  1 (ifeSml&dmdflhit dur, lesiMulets^emaiÆt  sve  
 frotter sur le sable dans îespetiti's ànses’jji'doi^m'esf-iit l,Vjùùîj£nt cLstiw^y-a-^.uit  
 de  leurs  oeufs,  ils  sortaient quelquefois  la moitié  fis 
 étiite'nt là  dix,  douze,  occupés de leur frai jTt^e ieur  far nientex faisant^M terK i r s  
 belles écailles au soleil. Malheureugel&ent,  il in’'estpa-'  l®M'ii u6 
 de les approcher.  La carpe,  dans  la même, position,  marcher  t a  Mtêtê: 
   Le mulet, né malin^est toujours aux^aguets.f 
 Il faut employer alors la tactique desT^nx-- Itrnnft« maeah-mtrt&^ ù e-^waut  
 ipe, créer un pas' dë.sbrprise .qui né produise  aucun bruit, qui, surtout, ne^êteSisse  
 pas,  qui ne fasse rouler aucpn câmou. Cela obtenu, je rae  gbs.sai-'uÿîfkfi'  Sf-ebii  
 quand: je  pouvais en trouver,  de t^uisson en buisson,  lors,que fëfteMçnâ’en oc troyai t  
 de  favorables,  et,  quand je n’avais-rien,  je.me,faisais un mur d’une tpM ® ’l » ) | |   
 d’une pierre,’si la' riveiétait-iiaë.T:’.. Dame ffe* iïïc •fenai^cbinbé,  me^ssiOTila®  
 à quatre pattes,  et me tenant assez loin  pour ne.pâC  donner l'éveil  à m oneiynemi.  
 Plusieurs fois j’échouais,,...  l’un des malins poissons me voyait, jôïêTéïs #utôt 
 qu’îlTnejsentait......donnaitun vigoureux  coup;de'-‘queue q p M o ü c f t a i .Ml 
 un  clin  d’eetl,  la  troupe- êntiëre'était  par  4m,5®*cL’e^d à  ^SfmSïlës' dfe^wàge,  fl  
 moi,  sans  perdre  patience,  ie- cfnrmhmiêcfeiremonter silencieusement leEp f e   de  
 l’eau:’Tant que- je  tcouyais^es  arbrés’’ ou  qës -bûisspppjjfj^QCCâsion  ^présentait  
 belle,  j ’arrivais  à 1 6 ,4 5 /^ 0  mètres  des_mulets,  je yisàis-,afqp!.’;pr,éeâution  
 plus  près  du  bord efjdes plus immobiles.  Il ne  faut pasjjne, graûde.Ëpi|ilcté à  
 pgtite distance,  pour lui fracasser  la tête en-lui visant  l’ceili- C’est ce que Misais,  
 prenant bien garde que  le  soleil ne reflétât pasdeJbfillant dû canon. 
 était bien tiré-, mon Mulet restait  quelquefois  surplace fepu  dans  
 M à  50  centimètres  d’eap  ;f®’,un-,rbondi j ’étais  auprès,  de^-jui, -et meffi, épuisette me  
 Je  ramenait: Mais voiëi'Ie revers de La^é4aüle. 
 *1  -, Quoique très^prçpremeiÿf^;? ë-rt-lay-moitié ^d,es->Mulets avait  le-,temps, |^n(R6cevant  
 leteap;,  de  faire,ju^e  eufeute.  Or.  une', culbute,? chez  un  animal  aussi agile,  
 pçend des Apportions de  t  à 2 mètres,  et  du  c o u j^ sR e   frouvait.par 2  à 3 mè-  
 (!J ^ d îpMsKR:çnlre  end tU£,  el^KLqUgeant ^ ^ p lu s  qu’une  pieirè.  I  
 ’  :CJ^t" .adors  qqe, Simte épuisette  venait  àvmoj^sefîpürs,  toutes,-ypiles  dehors,  
 -»mbjtimeeap. je me mettais  ^ ja a n ^ |g Ë c e a p ,  et, ma  foi, j ’en  repêchais  bien  
 -deux sur,tMÎs, m^ .tfmpii^ fejtonhearidjéuAhii-.^.Al^ipfimdtmiibiffps étaient  
 lient être r.&n:éméa;i.U(Viiai tini  plongeon  ilon gjhiei  une Wm dans  
 i[im.paîjieK^ilO(Jidii<,liLs,  et  le jiril  (LunumnifykeArn-â n < ylc l 'mli e., j^ ffip re -  
 nais  J.C  sertfiçr de la^guerp',  fprqan ffl^c7i/ÿ/;gA du.nf&i-  lès  doigts 
 sur 1 p.-na.n on fi.nRa-riescmtj.de^nn. fqgil. 
 K  trois qiu^pgw^^^^^qpÆs-Ml'Iêi»':  ik sifelMuiotmisic pen-  
 daiy gWon‘1(intl g jùleSrrarnl .Sojt^bûlf  umcymm  m s ; 
 iii-n^Mjillttü-t-M  u.queJc.(-b^ y_eui  mn^t  na-yÆéln* dujpn j-tantr ,-‘lÇuj(.ql’-^i^-lWnJidTdi-  
 siwrpfyïïb'ineiil  11’un  1k uijjdi^  icmbde 
 (■ojai-j;è3^jrbumatismes. 
 \M8ro aR J  u i dS£n>jyl3Hi^ oti-fvo ve//<tufe~Æ ^ ^pl 11  M u 11  31 UVîO1  îO d’eau, 
 ’uyt'iffvpXsî,  ; à  I, 
 à 01“. I Q'Sirèi>/. iin-lc.  le ,coup-est sûr. 
 b'(‘MM3et en rivièreJse  prend  au  m(iponid«;igraiidcs  senm  
 deiiwS-.G'ndu  bat le  raiiionl 
 au mo\tn  d’une  icnne.  Ta  Mulet  ne «-e  I nSt-(vp,i>-  loujour-,  laiiepaei'IemeiWl'by^a  
 'ia   i:%"  (Jli  d^tés 1AiVWoi^aTit. ïsrrali^u .aulaPs  loi s^ilÿi (y . ^ m |^ y ^ i1^1i<,èj[uiLieii I  
 (  irï^Sor  sa  blu-rlc. ^Au  f û n a u j r ^ u - l à ] « S m e f f l ] , I  riwn>,bie11wwm 
 iaSH ïIp ’f e ’iafôi-ï*f?4i‘ K’sje ilwsaub'  l^Lem'i'nl  pu  nessuylltSii'^Wifo'aaolÆs,  
 !■ iin ni  t 
 -■ itjSSflài’-tu I.bI bande  tout  entjoie, „T'un  ajyes  lÿaulie^ ( 
 l’iiMEg^j'Je's  fSjM^Ke  tiornpei  de  chemin ou  1 na. lâ,(iVi ï i jffi^lai  1 {plsÜlïfttftd  
 l|||ijTM^!j ^ ^ ,l^ilsf^Kpi^uR‘-ftm ^M ^m ^ < n |-b'TTÿ.ÛuTufeii^Kejfnu,S|S 
 En.meV, oü  prend  ^Mement  le- Mûlet a-yec  a  uyJéa 
 nijjMmbîiii/l  imsriiL <bojsij's'ora miroir (ju’il .©nrapren s.n’U r i H   iLs-fîbÿ,*ën font  
 l'éj la 11  rhbfenb^i^^im'ia-lji.s dans  un p i - V ^ ^ a l f e J ’fou]duis  T’écoup  
 d e Pi'111 j ? f e e ■ u£ 1  
 r 1 s  pu-, quelque  f Æ^M'inmc  (lui  Mulets  I  Jfl 
 fiSi^^^Bpas^mx q^M.es,gèns.dupaysonl riiîf,h.‘ïps.,yti,wift d<  nous,  ivuli 
 ■ H H   Mans,  dans ces^ias-^uop  ne-rcccude pa<  a Jpue 
 B uùxffi; (ljablesÀoiMAau^ent^tiènd^tHaJ.roipV)ent.scii'xante^,f3^ijti^MEad5' bouillie;  
 de|s^®|iifi 'pour dïnçr,  pôur déjéè^ér/é^^ùl^^^per. 
 '^éMura^afiiJonJ'sc^OTfficl à  la JSLn^ibfe^frÆ'vnjV le  11 
 mais rarement.  Sa  m i^m p ^ ^S t  pas  dii^miî^-erjVs.t'ib-sfihëe  
 est d’être  mangé  ut.  n a i ^ êma 
 lesjA||es d& ^ q s s   diverses  qui<servenKd&,tg|.ture  aux»carna&siersKde Measn|ëoüGe:  
 ^MÏ5 haS'âsjc  llappétigJü'dL-'thrni^fe^-îniaTi.nfe.^li^/â^'îe^T^fetibiïi-iervqùi^^suit, 
 * it ^ mMjagne  dlunë  amitié  tasl^^abjê' ët’J ^ ^ S l ^ t ^ ^ l l j îm   mm^laAP'ér - - 
 —4 e ifïter d’eau faJuceâ  —CaUGOruPiaii^MaSuit  (WMSmîfllë^^ le tte s. 
 LaB’sjle^por.ts  de, mer,  jè^Mulet  W&èn  trqupes  auprèsi% 4æiisseaiîx-jy'fiawi  
 ('uù^{Arbriruue'  ffl.estictonne ule  rien  s|n fae*  rl^^wPn%»fTB^faui tf