
 
		LICHE  G LA Y  GO S  (Lichia glaucus,  AcâïÉbê|t.  scombéroïd. Long. max.%J |»,6o. 
 Syn.  : Ü io s â ^ ,  ,vi 
 Espèce  plus  petite  et  plus.trapue,, pfaa  arquée  de  la L.  an^^p^écai^es,,®^grandes  :  (Bp  
 reste  les  couleurs et les  taqhés s,ont se jràiabl^mais plus vm a . 
 ^  55. A =  V -S ^ ^ 3 -2 4 . Îî ^ ’t7.  A g T l - f   Ë g 
 Ëspèeë ’â  ytudiér,  qui  pourrait» BSShîFêtre’ l u ’iihe 'yâi'igte d’âgéj d é fieu ,  ou 1 dé  sé-ke TOniïrne.  
 L IC H E  V A D IG O   (Lichia  ♦èil^p»J.l^^,»t4'®g!âÉÜ^Lîé80ffiSH;ïitt4ig-i'  n W t i fW j f t ;   
 Syn. ; Lezia,  Nice. Pjÿ  çlg&yi,olà imperiali,' Sicile.^  , 
 Mare  sur  nos  côtes  où'qE^ae-'Vient qu’eu  féYxieï'îtgûâ'rsr,; à, IafpouF|vltt§ des peti^  GJ,u.pes dont  
 elle se."Pourrit.  Forme plus  Ign^umet.moins  haute  que' l_es^autr|s  Liçlie^.-, Bleq p |k   tête, 
 le'âos et le’haut  des flaiicb’, déscendaut èn ondulatiops  aroOTa ligne latéralë^y^nfrë et^OT®ar£entés.  
 tkagebirëshlêuîïtrë's.  DehtlJfonicfdbVêur un  rang", séparées ërcrtfçhues.’- ! 
 +  2'9;  -  S4- 
 L IC H IA  AM IC li;;-^fl%SÉkîiE amie.) 
 L IC H IA  G L A U C U S .  -djflfoy-. LichbgSiïcos.) 
 L IC H IA   V A D IG O .  —,pfsy.  Lighe SAnièq^ 1«| 
 L IG O N S s I f î  N ôm - â e   la Florence dans  q u e h fu j^ lo sh lM é ii*   v   
 L IÈ G E ;  BatrcHQîf.). 
 L IE N N E .  -^  Nom du Muge sauteur du Mulet'sauteur,  dans p ré a u x  dS^oitou.  
 Cependant, -Duhamel indiquant que la <Lième p o p td jy n é î^ ç ^ jj^ g ^ i^ ^ fe i^ lie u   
 des ouïes j  ce pourrait être J e  ~Mufet-doné 
 L IE Ü  (Gadus  v ire sc e a s, L k y s ^  Merlangus  caèboparius,  — Malacopt.  gadoïdes. 
 Syn.  :  Pollock,  a n g l.—  Abgÿfjo,. üsjpig{y -   ï\%, 
 — Leonec, liànëc, loüann&y/hTeton. 
 ’  Ce poisson  est  plus  som b r é^ ^ u S s 'épâ^WéJa'llome'ffmSiB^uatovenrent^^TO^eur, I t   
 tête p tn ^ J ^ é f^ r ts^ lô â g ^ ^ p r ^ eS t^ la  mâchoire  'plTh^fô^u^q^ifiSSralwrt ‘i 1 -  ■  Il 
 manque de  barbillon,  ses  dents  sont presque  sans  aspérités  et la queue h’est pas  carree ôomme ci Ile  
 de  la Mefate, mfâiS'assez îouré&ifë. 
 Ce'poisson  a 'qttatle ’hi^ b p é^  i k ^ c h i 1 
 kis^&f*8ë*Faiftre  à'FarlicHlatfdh  de  la'mâchoire %iîé^em,e.-K S rk ë^ SW Î^ fiqw ffM ira richH v 
 du  mêm^côté  soqt  doratme articulées  tes^ËB^asaeUtB' autres,  et paÿfeEfe de leurs  extrémités  elles  
 répondent  aux  branchies  du  côté  opposé.  La  première  branchié  a  vingt-cinq  appendices,  durs,  
 pointus,  déliés  et  plaeés  comme  les  dents  d’un  peigne.  Cette Bfanchie est  garnie  de  19 tubei-caies  
 hérissées d’aspérités  à l’endroit où  elle  touche  la  seconde,  la  seconde et  la troisième branchie 11'®   
 que deux  raDgéestjfde.tobercules,  la  quaMème--n;ënJ}.qu'f&ea^?:;> ..." 
 '  ’ L’anus estplacé-aumiilieu  de-I^paçe eompris- entrejkxtre'mité  dei^ f f iP ypire^h^ëûre eüa 
 naissance  de  l’ailéïon de la cpfêtrev- 
 Les  écailles sont arrondies  oubvales^elle's -adhèrent à  une peati- 
 Le Lieu a le ventre  blanc  et-ô8ftê  cbillbiir  devient.bfu.iie  à  mesure  qu’elle  s’approche  du  dos  
 Quand le  poiésoù  sôrt de FSSE,  il  p a ra ît vert'RHteé,  fftwlque t em p S 'a pM ,J uM n i i |^ ^ oe em j f e   
 • foncé encore. V  , < 1 , -   -  ■-  ■  -  J . '  ‘.:.f ,v~  ” 
 Les  raies latérales présentent  une  forte  courbure au-dessus" de  l’anus,  et pour  se  rendre derrière  
 fes ouïes,  cette  combe-est’encore  augmentée.  Les  lèvres  sont  pourpré  rouge,  la  bouche  est  
 noire et  les  dents  très-petites.  Les yeux blancs d’argent etla pupille bi’êüë. 
 - Ces  poissons  ont trois  dorsales,  lès  rpr-enii&f'és  de  H  raybhs,  lés  dëjtx  antres  de  20  chaque.  
 Les pectorales  sont courtes,  déT9  râybiis, lè s   fSH-tMès ptifési  'dé  8  r'aÿ.ÜHs  seulement,  les  anales  
 doubles,  de 24  et iS,  et i'àhdùâaïe  ëêiiàncréé  arrondie J& '32 r'àÿbiis ; la quéiiè.jgarde  une forme sl-  
 lohgée  du bas. 
 |   -l i e u . —Le  Lieu-'se  pêcÉte ctSffiîiA' le Mérlïï (voy\M©mot),j etaux _mêm|s endroit 
 »; 6e rt’esh pas un poisson de. pa ssag e to u te  L’annéS --o®’lé5 pîî^nd  eu|.']^apô^s  
 de Bretagne.  Quelquefois il marché en  troup®^d’autres  fois, il  est seul? emmêlé à  
 d’dutrês pitfsé&nlJ'QîLprentP'foTDiéo at-eù des  hamefijoirs  qü’orr  ato'orhé  îÉt%toy|n  
 de  Lançons*  on  j e  --place  près, des'- côtes,/et  fréqujfoiUént  aüjSSi  sïïî^tffl'Bateâu  
 ranfiant  doueement*;  les’pêcheurs prennent* une c’anne  de  chaqtle main ef'itraînent-  
 une amorce àrcliaque- î t p ^ .,  ^ 
 LIGNE. . 433 
 "_®e-poiSson estelans  toute aânhonté  dfoctohre  en  novembre,  temps  pendant  
 lequelmkJîÔdeîaprès sa proie en grandes bandes qui fournissent une abondante cap-  
 tu j j p   pêcheur.  Il  nëgeià  peir  de  profondeur,  mais  atèc  une  
 grahd'e'napi.dité^Æfoquand il  est? attiré par l’app% il suit le bateau  
 jusqu’il raf^u’-il  en .soit  tout près»'  , 
 Les iLieux^s’assemblent  aussiïvdansfes'forts  courants  sous les  
 roebe®^d’où-ils- sfélâ-ELcent.sutfi-la-proie..morte.!oitîvive  que  l ’eau  
 anrène-âéleuf jportée.  gsjpoursuivent. également les bancs- de Ha-  A  
 rentMi-'-'effidétruisent? une  grande quantité;  <  | 
 La zÿftii.éuEé,m'amèreï-déîpBeù’dre ee^pmssons^est de profiter de  B  |f  
 le® proÿgnsîcùiv que>nous  citionsv4out. à^’heüre;  à suivre le®.ba-  :  V  
 teaux.fendis que l’ômest sous voile;à une-allure modérée, ou même  â 
 ' 9 ^ B  P^ie, simple-mousemen-t des aurons, onfeisse traîner  jfl  
 |  ljTriècêola ligne toprcée*(/fy-:.sk).,É!ette ligne-est une |or®de'’  c i l   
 I■ ■ ■ »  • A est lM^ae.oa filefcèn^qrdfede la grosseur  I  
 deÆ'4gureïSJ-8.. En-iG,-  est unVsplom.b em^livje trèsr’allongée jerê'é  -  ■ 
 (la^^ùtbAs-^l'i’Uigueur etstrave^ipar une ligne de crin-en 20 brins  J 
 fui1fàBm^une^b0ucle.H,D,!ibfom(®^éeià'cbaque extrémité.;-  --  | 
 baleineigrostéomme* une paille, long,1  i  » f.  iléj^^pnnviîio11’ portabLau.foftjeu.uneans©empilée D, et sur toute!  M W ®   
 s ,1 y ^ g p -m e ' garaittèe '.s^eiiyppiæfo;  et  poisSéfe de,fi!;de  f o u e t - - ^ ^ ^ » ,   
 fin-;w^|^m^i'ima<dm)j6fo[à obacune dès*exfeémités delà petite ba-  
 -s®nb„passées  celles des; empiles des hame-' 
 çons®,®. 
 vGettê'i -ligàe;  miseiià- L’eau,-â>be'Æ©urne sur  elié-.même  q u e ^ f o t ^   
 pêe^^ptea^sezîriGheîpour ià-eètee'un ém-éril- '\*-  
 -?11  ^e''  Gomiùebemlpetite/-engins^jSj|^^É 
 ^ ‘^^^^i^Kfbe^-ilesjp-êehbuKnènl! imaginé!  
 aùt^®b^s!er-'j^estle Flomh-Toumarit  (fig;.SQ9)l 1 
 Fig. S37. — Fil de ligne. Fig.  B38-? 
 hl’^^gai'é^iMàp^se.-d’un fplûmb  triangulaire; emdlive,  traversé par un. fil' de  
 énpipieq®' ootobée^eta muni  d’unedibbele  à* ehaquev  _ 
 -se'met,  sur le trajet de, la ligne,  à la plaèésdu  ,  L   I  
 P  ob^ii'^p-§â8); lfoau frappe touiours oblianemp.Tit sur *>«.  ,  : ; A ’ , 
 la-G^ ^ ^ m l btoufner.  Ib-vaut mieux,  daùs^ewsas,« ne mettre qu’un.  ° °W 1 
 '^ p * ^ p is ^ is 'd 'a 'b a la n e e 'i..,8W ;n b to ^ ^ b   ; '. j \ n  b'ibuO  ^  jW   
 E B B aüssi pêcberi fosLîeux avec un-filet à>mailles,  de deux.  ] ■  ! 
 d'emi ^ ^‘e - obufe, a et avec des lignes  de  fond semblables^  -  f  ’  
 | » e îi ’°Ii b ^ oie pour ies-Congres',!lesiïlaies,tetc.-  .  I  ' 
 LIGNE,  s-,'Toutle monde sait ee  qu’est unê Igné à pêcher ; et  f / 
 c6^ ! ® 1101“  es*réteûdu,, tantôt à l’appareil-tont'entiër-^ii serais  I  _  , 
 ( or^Æfid:eîla.(en?!jîe -et de la ligne proprement dite, tantôt il estera-  j  /   
 W Ê m ^ B B È Ë È  eortâes,  ou autre engin de  fond  en mer et.  / 
 c®  daIÏSîd’^ eêp'tion  à'laquelle-nous  devôûsr restreindre  O 
 ktjv«îreS^U n neioin^ifiû.««quebon attache l’bamecon ou Fig- s39- ~  
 u ld T ^ 01-3'  ®u’el^ sP*t  fixée -patine  extrémité à  une-  canne,  dansTîig  
 a  f *®®:à te mai^mi'Ôândonnée 'à sm V m * 
 “ njornsL-la-même signifieatioû# m 
 Plomb 
 mettx-c g 
 •elle.