spéciale ’se dénote encore p a t une-.handfl_blanche argentée'qui part de <k
pour joindre la base de l’opercule, j
La ligne la t é ra l a 32 écailles. B _ H | 1
D’après Frier et EkstrSm, ce petit poisson présenterait un j m cuneûx e tw u j e r j f me^, laeue
de -y é rifle r' dans1 les^elldtôît^ oït^cet animal' est loin Æ’êtVe ra're'. fiw sfo ’îi ■CM^nTOpfKtnf f ^ Pdu,|||,
laisse apercevoir-deux rangées de-taches' h ^ 'l é ê laffçs ,* sépt sitf’-d'SSàîs •êU'Mïnf au-dessoùsïdte la
f i f f . 20ï .. ?-#- ietëaalaïlTe. des jocje.»
Dgne latérale. Si le poisson est troublé^ ies-tai-lys.K’cv^iftjns^-iit.ij^i^ini.ii
instants, quand leurportèfaj;'feâèvient trâtt^alle. ,
La nourriture de ce poisson consisté en petits crustacés, néréides et'fflMsmçfr
CTÉNOLABRE DES ROCHES —IRion do nom <\uf ,1 ’ W
pStil iïa strk; b f fe^ïéfid très-facilement
gravette. '■ ■' P
> 1 1 1 1 fait qui «cas estarrivé, en prenant un étô#8 ^oiss<k^iaonbfe!^<|udBfe»6 ^É«
voracité des "habitants de la mer. Je relevais ma
drc un de’ces Gténolabres, tandis qu'en la retirant «ÈttfBî’assë,J jV’Séffit-i# iS^telle
secousse -que le fil faillit m’échapper dès main«} ^hifstflêt?fé«f^îit®p®Mo'n aïfiVi
dans le bateau, il avait perdu la-moitié' & soït individu;, en leY é ^ ^ u ti-^ ^ ^ ^ ^ ie
dent, par un poisson Beaucoup plus gros dont-
ï^e- ôMlS' qui avait erfr la?bénnennspirâtion de lOBüèr
dé manière à raserd'baEnéçbn 'sans' s’ÿWcWc1§lr;.' ;’ 11 ’
Les poissons ont de- «es, adresses-Jà^ .'. -,,
CTENOLABRUS RUPESTRIS. — (Voy. Cxènolabre des h û g h e s . ) , . ;
CTENOLABRIDÆ. — (Voy. CtEnolabrES . )
CUCULUS ® ™ W ^B k t8î888l 1 4,-Raie é&aiou ) 1 ' ' r -
CUILLER (Pêche à, la|ÿ®-Efl. Angleterre, en Irlande et sürtétft‘feV F-c ^ 1V^
rivières 'se livrent à une série de cascades et' de rapides i u myÿeùjièstpiels
jouit une'population de Truites magnifiques..C’est là qu’on trouve Ha truite
saumonnée.^Fann’ar^nteMs), que les Irlandais nomment tés
Écossais lâ Queue' nuire-. Les apiète#S'3dwiêSjp«wïis pëseit|»Tun'24 livres'èt
Bouillonnantes
qu’on va attaquer ’JiÆwûÿe'éluHjMlîrT^eAii'&'&i^KâSâî^, P arn.);rau pied
« r o f e p ^ L d t i‘tiii]L.3Jjjjp *j«é i Tiuite commune ne s’y fait pas remarquer
noiftpir ^ ü ' >n «]i«u 20$ <UnaensionaÿCj^§pd-,e^/< Qiiateei étant
i n . i 3 R s n o’. . . La plqSTgjpsâlmÿe, 17 livres',ides£ferpis autres
opLC une; 1 o !... Vivent les Écossai s !
HpSViiin^.illiiiri». oublier la grande Truite des lacs (Salmo ferox) ; encore une amie
( dj“}Bj l , anwmoM fi ^cUiuÔ't"ptôÊbto* Timte
nio^.éi^WaCia^Mmkk* S S v aH m o j\ S j ^ l d j h s i Y a r -
rell. On .]£ue offre aussi en holocauste de jeunes Bro< hets qu elles acceptent avec
II est VE^i‘1yiwfe@i^iM®^^6s^ïl£Î>4‘il4 res ! c’é tait la plus grosse.
(Ap<-q u i 4 ena-i l^pj.'e'- ‘* i b a i y / j k j&f e i j c ! ^ ?c‘ MÜR d e rn i^ ^ s ^ eu p l'p S ^ ^ 'ïin® 9 tu-
vet!... seulement 27 livi o^„
— Comment aller attaquer de semblables monstres?
|||jgpf-A: la cuiller.
» lu i .rafeo f e MJwJriaà!H^(|i.i<liiàjfeiôtjfinjlo d.f.nii'-.pi'mngi'OTi’diBi'iiino
gla©fe> l ^ ^ a^ptflu&lqu^li ^ â 'd ^æBafe^t^et..,. aii'ller-
■'JnoiliifrPHXf!- b L , u 1faffaire.
On n’en est pas arrivé là du premier ç<|]®p.
n q^wkieurs l i q m b r , e u ;S(?dllms^o qï.l^tîlMBcjfiî^oBiiüImu
e àleur$hàS®jêg^Î!àun ®^$9elîvil.igOawÿ§^êi®gJnasplulfiktdteLdHfelé8-
^ ^S bB u ü lo n n an te> ,..(H^ |l^ At^ ^ ^ n jiim H P ^ S -^ (,viriTJii»lwfi)k.rÆfeJ.-q)ie\|)i',‘
rienceen les^péebéuïrs S f o q u ’t r é ^ è É r i f e '
pas assez de ri sistance pour une tra< tion semblable à celle que h n f<in(lj|i4%i!$bù§:
bouillons d’ean tombai!I sur lui. I)e plus, ils se sont aperçus que 1 n*Ti 11ite, toujours
^nÿià'sseïdans teMjoarsiaiî®- («gmBtSfjyi^q^aifl-W^fMfee ®
une rapidité formidables pour atteindre sa proie qu’elle voit tourbillonner au nvilüé^i
^ n t " pÿéteSJ et a
iiqiitn du [j ^ ^-'Qii. pai OU'oàlpd'aUraped.lîM'KflT|t ^ ‘'JÛmiSM«J’H»^(lidp.'i^ep®
è ^ p p .p tp îé ;à ' £
De toutes ces déductions, et de nombreux essais, est né là Tue-Diable. (Y^oy. ce
HfMa'] ‘-srp j el q ne,: f hIv. h uiy UMll.ou’rr ih iT u e -1 fi at d i miufporté
ou mis en pièces par les
qtajftnr^orn^4lEani'n-asde la rive,
aura inventé la caw’Zfer (/îÿ. 208).
aÿà HgUreztyoüsla partie creu.s.e
d’une' cuiller à "dessert,, iceUpée
près db manche, Btu’lejt un trou
en haut pour y passer unerCordo,
filée et une grappe d’hameçons,
-Fig, 20S. — Gui
pendante sur la cuiller môme. Percez un second trou à la pointe de la cuiller, et
îBe.ttez-y une seconde grappe d’hameçons, pendante, cette fois, dans le vide. Attachez
à 0m,20 au-dessus dfeiBjÿiillpr, de.uïbons et solides émérillons. F.aites qbÈ la.I
Gsi^eç.s;oit brillante noi>em.indèU’arnenkouide^S.; .et, lanceg; dans: la ^ ^ cade^,. y,
■■■\ A l’instant même l’eau, frappant irrégubèrenïent dans la cavité de la cuiller,
lui « p r im e un mouvement J|ê;è rotation extrêmement rapide, quoique irrégulier.