
 
		dans  la terre.  Gaux r.  renient  enfiQ les  dcuxi^ijütt./lontjr'et  orgaqo  pM  foi mi*  et ,p ic  J'dpunpl  efi£  
 tr ’ouvre pour cet objet.., 
 .  Les  m&le’s  font entendra  lo  bruit  appelé chant,  en frottant leu rs  éljtre s  l’une eontte ,.L’autre;  
 pendant les soirées chaudes de Tété pour appeler les femelles. Les Sauterelles  ^j&séiit a’tr prin temps :  
 d’abord trèsrpeMtes, elles grossissent xapidément  et-ressemblent-bientôt  aux.animaux  adultes.  - 
 sa u t e r e l l e s .  SftNoT&* »populaire  -ifds\€nëvetteÈ  .en1,.certains  emïmirat  
 (Yoy. ;©ftS7E.TïES.^M 
 SAVARY. — Nom du Doucet à Caen.  (VoVÿ-ee m o t |j  ’ 
 SAVENEAU, SAVENELLE  et  SAVONEAU. IpljCeÆle't à maint sefeempose  
 d’ia j g É&ppè-simple de  filet AB,  iirontiiej^wqeiix 
 Ibâtorfs (fig.  948;  quel l’oîwmj riifi 1 c quenouilles.  -_ 
 ^£ÿJllff^|»oohe^]Sti,riiit  d’autres  lilel»  inijBojôs  
 Isûr  noâ  cStus^iï  s£  oonfona  yjuYeiidûa\( < jpifx,  
 d’autant plüs-fadlemënt  q^jt.ous'ïorment S  ’&r  
 Liégarifeftës-filets _q,ue~le pêcheu^ffi^^a, ^«piédî^de-  
 [vant lui, sur  lis gi t vf s pout-pi/ n'dit^Josip tLitsïeàl^-  
 tacés; littoraux et_quelqdeSipoi^epsS/ 
 Parmi lëff.S’ayenèaüx, les uns ont  
 /es“qui  peuvent  Se  <TOisM-<5rp^autJéy.uori c celui  
 que représente la figure  est de dpSïdemiers'.îLies 
 J  premiers: rentrent, tou t à.fait  dans la  c.itégbjSjjSl, d(p>  
 Bichettes .(fig. 949); alorsf les quenouillés'sont « ourbes ;  ou  des Habmeeatx  
 et les bâtons demeurentl|Klp!§f^ 
 Le filet du. Saveneau  a ’environ 3 mètres de longueur^TâTqojrde A 
 ■  filet  en avant) .est t^MjaàÆloÆdS.ée.'  
 Quand jesisï^avepeaux  
 les >pêeheursi i-preïmerrP^tû^Kùqiae-  
 Inooefle'dâns î\6baiqü&,-main  eft-'pté*-  
 sentent à i ’eaii- le filet .tmÿ ujxvêrt' :  
 [aussitôt qu’ils sent<ni t   g 
 a donné;idedans^æls rapprocMèntles  
 'qaeBdinlles,r eesqrii  pll#l&yffiléiÿit  
 le poisson'est pris; Cette, manoeuvre  
 doit se faite rapidement. 
 Lorsque lés Saveneaux  sont» plus  
 grands—àAmèii’eside longueur, —  
 pécheurs se. mettent  deux/un  à  
 J tiff.9 ^ 9 . — Bicliellc  '  " F ig .  9ô0.—  Haveneau ou Saveneau  à  
 ou saveneau à.que-  ’  —  -- -.quenOBines-opoisées. 
 nouilles  courbés'. 
 |  chaque  quenouille;^‘'Cêiîfil'et^' servent, 
 comme la Bichette, à  prendre les poissons qui resténtdans lés endroits 'ob. -sé-  
 journepeu  d’earn iiles-femDafesyleSiemplojent peuplés chevrettes f" 
 SAVETIER. — (Voy. Éfïsochb). 
 SA V ON CE AU. swSynonyme ,de Caudrette.  (Voy.  ce m o i s i t 
 SAVRE  ou  SAVREAU.  "Ce  filet  sert  surtout, à  prendre  les  Lançons.  
 (Yoÿi^e mot.) On fait ainsi des Savres à râteau, .'(jÿj servent à  ramasser 1 kGdxèfdt&  
 ou à prendre la Blanchaille!'(y oy.  ce’s'môt^.) 
 Le  Savre (/?p.  951)  est composé d’une  grande poche,  en^filet dont les  mailles  
 ont 25 à 30 millimètres  à l’ouyerture,  et 8 à’ 10 au fond, ij^e  filet est monté sur une  
 grande traverse de 2 mètres à 2“ ,50 de longueur qui sert à maintenir un demi-cèrcle  
 de bois. Un manche fort long de 4 mètre’s'A4“,50 est posé sur le cercle et surJa  tra- 
 •\ja3M&-mai*dl.dépâ*ûcd( 
 mleui'ïm.e  1^1)4-lf-> n -ja tlê eü ^ i^M e o jjÆ i^Q u lie a .re io jD d re .le s  .d&n.'xjbouts 
 de  la  traverse it-pei 
 l’instrument  « fe s'eApfas^éilenîte^ t   sur  le  sable  
 .  La pôche au>.^^ÆPs!tefaBtos<i  
 tait'  depuis  ju in . ms<foi5afo«am^^   
 cheur choisit la  m m t i vWÊmà  
 s’avance  dans  l’eau j us qu’à  
 le  Savre dressé devant lui ;  mais il  a soin de se  
 pl'ae,er^à.lite??^ii^di^:e-eux,aui^p^akfeTiWai^j?^]  
 leux. Au lieu de regarder  la grande mer,  il lui  
 et ^Sgyd^k^pla.ge. 
 momtafi^wiéidLd i^ te i^ ^ ri'èW ^ lfri^ . il mar'ahqa  
 dans  le m ô m ^ ^ ^ f q p ’e lj^ jts^ râ ^ çaA e à& 'iM   
 frappe le  sable et le remue pour  eùlfaire sorlir  
 les Lançons  (Ammodytes  tobianus)  qui  se  sont  
 pg$$4s  dans  m’.qp^rjiftmfqq.nf 
 SCARDINIUS. L^^g.^^g|ï|(^ç5çgGen.reî. ) 
 SCHIETTA. —-Nom  dggjp Jfftéçjfire dans  
 S O  II (  RI clabe. )  F '9 '  9o1 ■  _  Sawe' 
 SCHIFF. ■— Appellation du .VffMhfifeifeisfoêehjkii^pedATiianaafeie. Wàf  Æ ç s - ] 
 DBOSTÔME  NASE.) 
 . SCHIEIFERMULLERI fSalmnV  ,  ’_. 
 .  SCHNEIDER-KARFFCHEN^m ^ / ^ ^ f e . ^ ^ A ^ a Z to /^ ^ ^ n ^ o . 1. de  
 tSKI,1Jlj»ji8l1’ ifi’  Lie 
 sciabica.  -— ce mota^^ 
 SCIABIGOTO. —  Filet  spécial  au  quartier  de  Bastia,  5°  arrond. marit.  Le  
 ttI»AI9 fiovi mbu  1^> j'1  lui  donne les  dimensions suivantes  Wri^^dé^fiiiLqià»:  
 âà-Çss^^SO.  f -  PÉ%/j^Pyenne^,60, ,-^joiÉæKt ê e ^ n o r   C,i roonf 
 m o y e n n e , M a i l l e t 1 .CbxU-éjüailé  do  là'  pooliv f (J T i . n l s fcLola 1 Idfij  
 plomb 'âdàffiiau 
 ?f~. A.|^j^^^)uobure  dujsa^^j.y  aura^ .en outre  2 - küqgBan®^^^^plo ni  
 sera-soutenu  j^ffiitigmottes -earréeside -Om.Ofi à  d& a fe 
 •'seur espacées â 0m,40. 
 -  scie. — 
 SCIENA AQUILA, —  Maigre.) 
 SCIE NA CIRRHOSA. --- - (^Qy. Umbrike commcçie..^ 
 SCIÈNE [Gsnyej. — Apppthop.t., 
 ,Ga Kcarede piisLbns^dont  le pnnAijil’tjpe  f it le"Jf'A$«>  f\o%Tir’ niVit'sr ilîsfni^^ pur  
 me Botnoé^,  par sa'adrâaîë ^rofondémetit ec^W^e^''êfP  lîéam??f!îp plit>i 
 longue çfde^l’d^inlfise^Anale coiiate ;<l»ïéopÀbbtffe'Sftt5iIélè)* iôiperb'ult-1i®hîlf8î^aS§è^^îbf>®îq,Iiêt:é  
 entièrement. écafilBUseplîeûts fortes aux deux; îTi*â Ghoipfispp^s 'de e an i o el^ii^de, bu rbiilQ n s, 4 ■ - 
 Tréissespeot'i, ïioat le Maiçre seul Kabi’t^n^ègux. 
 SCIÉNOIDES.— 38 faiÿlfoAes  AMflfewfeifiWîéM., G&tta.famille..^^^ï.plus  grandp raîi-  
 ports axlb-pelle des lPbrcpid.es, et ^e subdiVisb^iie la méinrf^sui'vante ■  i‘ltdorsdiès, Maigre, Corbs.  
 ÜmEWnéV'èfe. ; 2“'t 'âùrdatë, èt'suBdtM^e fofi-^lus otf'mvîns  exwques. 
 SCIÆNA. — 
 SCIÆNA CIRRHOSA. -  (Voy^lfi«BRW^|^