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 La fente des  ouïes-est yartîcala et revient au-dessous en face de,l’oeil. Leux barbillons,  comiuie  
 dans  l’espèce  type,  se  cachent 'outre  les  branches  de  là mâchoire  inferieure,  rails'^Wdnt;  inoins  
 longs que chas le  Rouget. 
 P =  4. D =  7-1-  l  +  8. Â =  2 +  6.  13?P =   17.  g. g ■/ 
 Les eôtés.portent  trois  lignes  forées ^Emïtiett du  beau  vermillon,  des flancs,  elles  soht surtout  
 marquées au  temps  du frai; en'mai.  Le  dessoSs-du  poisson esfhlads ' rosé.  Les nageoires sont  
 rouge variable, un peu jaunâtre, sur l’anale e^ les  ventrales-.  S| 
 X^ceiliBsIôrpâle  portant quelques'points rTOÿes,  prunelle grande  etjioire. 
 .Les oeufs 'sont excessivement petits et en nombre erfornûe. Point dovéssia natatoire. 
 SURMULET. — Ce poisson  se  pêche  en  grande  eau  pendant tout le mois  
 de  juillet.  Sa chair est très-bonne  durant  l’été,  ffV approche  alors  de lajurface  
 de l’eau ;  on  en trouve sur la côte de  Bretagne. 
 SURMULETUS (Mullus). — (Voy.  Surmulet.) 
 SU R PR ISE  (Pêche à. la ). -—-Cette  pêche qui,  dans  les  fleuves et les grandes,  
 rivières,  rapporte beaucoup de poissons en Zferds-, Chevesnes,  Fandotsesjjgtftordonne  
 des Truites dans lès  ruisseaux où il s’en trouve« 
 Ÿoïèf cwn’ment ou la pratiquei  On.est armé  d’une, canne  en* sapin  creusé  
 et  collé,  terminéepar un  scion  d ’orme  fermant,  en  tout,  uae, longueur  de  7  à  
 B  mètres. On y  adapte  un tout  petit mopiinet,  avec» 15 mètres, de  saje.-pourrias  
 très-gros poissons. On monte une avancée de I  à 2 mètres de-.florence;.~à laquelle  on  
 pend un hameçon n° 5 à 8 Short Skank Roach àpalette.  Aucun' hameçon;'--- même  
 le f ffiièricks à palette  qui sont tr è s -b o S s jl ne  rêm$l|c'e tout1 à  
 exceptionnelle.  On esche au papillon blanc, à la sautereftefou .mouM&p^niecte  
 puis, marchant sans aucun bruit,  on avance le long des perré» ehifir^’dés^-lèâ^^et-  
 des obstacles'avançant da ns le courant de l’eau.  Si Ton voit'un poisson de  surface,  
 on  fait  sautiller la mouche  et on la  laisse  tomber  ad ro item en t» c en tim è tre s en  
 arrière <te sa tête....,TiT se retourne’ aûSsitôt.  Il faut être très-vif à  ferrer, et%nlever  
 de  suite le péissoh. kfln de. ne paâ'effrayer lês'fcnbïSfcî^' 
 ^ l ïB 'ï a s  faire de.bruit, ne  pas  piétiner.^ S ê t e n i r a r bres  
 et les buissons^Sil’oh n e jo it pas de gros poissons à. la 's u rÇ ^ trn  fadlrm^êr  
 la  mouche,  en évitant de la laisser manger  aux ablettes ($'petits' ddràs “qui ne manquent  
 pas  d’arriver. Au bout d’un instant le  bruit-etdemouveoegfit  qaefplpetits  
 mènent sur l’eau attirent,  réveillent les gros; et on fait leua^captüre, 
 H faut avoir gain, 1° de'remonter le "courant,  afin d’a rriW  toujours derrière jà  
 poisson;  2° de choisir  le  vent de,façon  qu’ilçhasse  la  m o u cB ^ ^ iv a n td u -p è -  
 cheur,  et loin  d u h o rd ;  3°  dépêcher  depuis  11. heures  durniatin  jusqu’à  3  ou  
 4 b eürès  dirsohy car, 'quand le  soleil frappe  la floreS# en face, le poissoirïSrVoiftj  
 se méfie' et ne mord plus. 
 Il faut avoir soin encore quèla monture entière Sk la_,l.i‘gnè*èoit èol-ide, afin'de  
 ne" pas ménager  un  ÿbifsofl, mlême s’il se rencontre un jiéù  fort,  il' eSrtmpdrtant  
 de  l’enlever brusquement  et de suite  afin d’éviter  Ie^jHtôs -petit BMftrlLe  mouline^  
 nê sè ft qne pour les grosses pièces que l’on  estfSFç| de nçÿer. 
 On pourrait remplacer avec  avantage  une partie de la  florenee par dq. crin e^  
 6, B et 12 brins eii haut,  pour éviter-le luisant. 
 |   fSopAne pouvons nous empêcher  de  déclare# que, pour houSj  cette pêche est  
 la reine de toutes les autres. Elle tient de la chasse par la. marche Contteuelle qù’elte  
 exi|petsM ruses sans nombre <üi5ëlLê force àemployer. Il faut savoir à p ro p o ^W   
 des arbres,'  -ces ennemis' du pêcheur à la ligne, — et en tirer tote^e profit qu’ils  
 donnent à qui sait les utiliser. Combien de fois; passant i i a ’Canne entrejeurs bran- 
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 ^ches,  avec mille prëcaùhionsyet desïsoihs infinis,rdayant plus  que ’0”,50 devancée,  
 n ’ ^ j  è >ptfS'<1i3h,fitîu^é|‘‘Sbds1 tes9 TAeineS;J1d’ érfèrîÉ^^l'fruites  nepohvaient -supposer 
 jju un^êteè humain eût l ^ S l l  Jl  Vê^fr.l^Sffà^uêrtdctaS' leiir fort? ! 
 ,,  Tl Allait  ’mes e'ffôrts pour ’iâitiger 
 >1^)^ 4caï'lst!  a|i   ^ l,iû e   d em a n d a it p^s xnipux que 
 destesirma<ligjieipaw,me|»]hsfl^îaden4 5 6 J » M a æ » a i \ i l ^ è i ^ ^ ^ ^ d   la  beÉ»;  
 sauvage  aux mouchetures sanglantes entrait,vite têtë-da  preteüêïlh  dans  l’épwette 
 ^Woürabl’hçjTie  fné  tendait  •* 
 ■l yAjl^dh'lier ’d é m o l i s i ç y r a r f f i n ’e<1 -^ hV -P0-''îble  
 faut unreoffipaghqÆh :cdoqpe  pf|jglr1's.u  e n tJ ^ e s t 
 i© uetteriné dailA% en §§- bas monde,v;.n)a  de 
 . ■  uneompagnon ?  .r 
 parce epdî^pêcîjêlir, 'miiiîi  dfejiè  èanhe)ft^id lpij^u’étïf l'frdi'qïïéè^Aê peut,  
 lyul^en faire te s,ftryie&.r . V.  â . 
 né^èga^^ag(My^.^oiiE.fe pêg^%eç^ipt:ipn, de  
 ^  ®nnfegiganitesqiue^mètBes)jf^àlrleû ,a asà®.- 
 lbu®re  et, ïme  bdfàè  teffi -motévi 
 ^ant  or|,qup d e i < 11^pas mym^  ..uqhifel 
 p ù ^ ^ h e q fM   que "<%j^»]ppôser  d’a u f e n t^ p lT ^ ^ é ^ ^ l^ ^ n 
 ^ a s s k ;  çqtt&^pêolte fe it être faite emjoelfet et aOût.,tetaml.bm©ut‘dfe^/îifc^f rn te il^   
 dhaud  midi à 2 heuB . * / ’. 
 marcie^donc^d'eva^J^^^^^^^^.6. ^e plip  
 ^#hêi4^^4¥te<7p^ep^%i^ppft^ re n ecY,a n-;a<;>|if;ft<a‘t:i -sai] 10  ivuMjndjé i 
 f ^ x p i^ d u -fiom p a g a o n ,  leq^^sans,Haoh dire,  te.décrbeh%ite » è t- dans]%fe«^ç;  
 retienM^bam,èq o # d û '^ td eu x   jsatr ûiéêcte 
 ^ 'ilh ie h ^ ^ ^ r e P d r 'e ’a ^ ^ ï ï ^ ^ ^ ^ P Ç ^ W C 'p î   111 (^ aTc^À r';. -ÆW'1 
 4 a|P% j^ < p 8j^ h e  ... ./P a ff1 fi. )  J l . 
 e ttgouvept il  arpive^Si^a&jmhlgi^4»^^pdMLCè  des^tespetes  
 fe r ffirq i^ en t  toiltés’parts,- —  6®ialheur^^i,7àiiB6dÿ^#è'qP^gisar- 
 ^ g n d é   p a ^ q u   j p d e   s | ,met^e,  Tésflf|ÆÆki.- 
 Kce^aiiuv''  - v j   TH#dteI  a lo r s.....  L^pêcbe™  d em eu ^ g n   plaçea^^ ^ ^ ^ j ^ é s « a u   
 ^■V.%^®01ïiPaga(>i  rétrograde' devfiièlq^ue  ^ J u a n t e   paT’ et.^ha^'ef.fjn.reGulant,-  
 jusqu-àtfi§ que  lajÿ®J|e:à naouehes  soit .de nouveau  approvisionnée.  Il  revient  vers  
 K ®   et n’en' â p ^ ^ rh e  j;Érhads.. .r  q^àHfeagrÉdf»  â lf^ h h e d ’. .-..  Si»t*fet 
 fe n d a n t,  à ^ lo n g u e u i^ ^ p d ^ j^ q ^ ^ t^m ï^ ^ p g ^ '^ ^ |n t im 1 i s e 11e  
 souvent portée par  le^piêcheuf.  d’^ llî u ^m T h \i^ jJ itu fl(l^ t^ ^ ^ ïL j '6.s 
 ii^cpmmod.e,autant  l’u n-qm^’gjijïïq,  mais-elle. .est.iq4ispcnsahlè‘ ehjnar^co®s|®ùent  
 ^éfit&b.lft.'si.vv. n- 
 0n_ se résigne,  en  la  y&yant  à l’oeuvrq., 
 « è f e t ' P m T ;  pas  t o u j 'ç ^ ^ r f a b le s ,  Surtwt q u a ^ p ^ b d e  K^^,or,abjeillfes:  
 ,et  autres^  dotqestiquesr.c®i.i^aiiivages.>Jl*jy(bP59*beaaacoup; et-K±^fee03tte,Ojap d ’espèces ;  
 qu’on  ne, l’aûblie  pas,  parce'tque  ÿ ss-M ÿ fnè fe-b êtes  voùs;^ ï ( f e n t   parfâiteïhgftt 
 *"Cèttê pêcnè ^st .exte.éjme.Cé^Æucm ^mé.-n&iis,afwns  p r ) s ^ o u j . e n t '^ '^ |^ !   
 gpes, dé-poissons  dan^ u%h^^^'l@idi,-é-^ansïuuflr^ ^ e au ,’deï&*^iÈftres G^farge* ’  
 Coulant au milieu des p r a n ic a ,to u ^ B ^ ^ ^ ^ ^ ^ S B