est plate, large et arrondie, quand elle est-çne'parv&ssu^^mrûe dh'bttéia-’
nier modelé par une aejiom oenstante et-spéciale des »muscles, grâee à un exercie®,
qui fait partie,importante e t toute par ticuHèEe^e^hp;;état,
«Tout le monde sait que la scienee e t le tact du’Tneunier soufe^ojÉ^S sastt|
relâche à régulariser la machine du moulin, afin que la farinersoit toujours fabii-
çpée avec toute la perfection dont 1 ’outillage :pèt jnîsoeptible. Pro^oM^eMe,. for-
tune’ ou1 ruine,1' dépendent ^e'-T’ajustement parfait1 dès différentés^arties de la
mécanique. L’oreiUe du meunier est toujours en éveil sur lqlgfoilque forme la
meule roulante en tournant sur la meule dormante, le parallélisme âé'îÜÉ^jsmrA
faces-s’indiquant par un son particulier et se trouvait chose .de la prernièredïfûiél-
quenee. C^est-pourquoi la main du maître est constamment jJ a p é àeus« l’auget à
farine pour s’assurer, par upfptmtactir enouvelé, du.'caràctèpf^t defêeWfiJWiæ&ie la
farine .produite.
« Le pouce, par un mouvementppé^-froimeictt échantillon S i r a ë s ^ g # 1
Le pouce, alors, -employé avec‘adresse,’ devient la jauge de’ëê^û’eWà^^fc^i'iluit,
et »dey-là est venue la vérité du proverbe': « Cela1 Vâût*m^}kÊ?Ê-':$e Wi"lini4t^'
encore, «.L'honnête meunier ale pouceâ’or,ƒ»,''par,suite duprofil^ut^lul
soin dont il fait preuve. Mais, à la suite depèt usage s a n s n ^ l ^ ^ U ^ f f l e ’pS^ce
du meunier acquiert une forme aplatie q-u®-rappelle'’lLâue&dpf*fe/figiùM©¥(|8(^etit
poisson qui grouille dans le eanal du moulin, ce fo i a fàifdSÂÉbr le mêm&ùora au
commensal du meunier qù’à Forganëlïâ'toucher du
'I elle est 1 histoire du vieux (lonstable : ne $aiîtrfilfo plis
pêche H |
__ Ou prand le Chabot comme lë Goujon, ave’e lequel if|§|jf|gï plu*» m>îm
fonds de sæMe’e t^ e gravier. Ilseeàche sous t e p ^ ^ ^ p O ® y 'g ÿ ^ té î^ ^ É S ^ sur'
laquelle.il s’élauceuvec beaucoup de r^f^é^ÉR^Ït^gue le Cfiabi>
pour sê retirer, une espèce de pétft terrier prè1-
dans les balances<à écrevisses, où il vient ngur, manger l’appât aniiiiAl*M y iij If nd,ù
prouver que cgigd^rite*eS| earniv0^v- Il es% du reste, tres-vorace,* n,uie ave'cïii’îtî
gran&r^iditéquandIfiÇifùitté sà reli.ute. soitpoui .dlûqn'Si "sd*jîToie,
fuisses,nombreux ennemis.
Il fournit une chair rouge, saumonée,.excellente ep. friture,gôiftmt, Ie|Etai*ji/ni
on lui ôte la tête, sans grande utilité dans ce-cas.
Le Brochet, la Perche, la Traite en sont très-friands,-et 1’Angüiile te-pŸëfëre^à
toute autre ariïfireè vive.
. Rien n’est plus, facile jjue de preodr<S| tlhaboV È, la ljgna îë_moindr-e^peB
morceau de ver rouge suffit pour cela^comme nous venons,idejedire,; mais,, dadk
les ruisseaux des montagnes où il existe en plus -.grandes quantité^- la ,piqij|eure
manière est de barrer a^ec-un .filet, et, à plusieurs- enfaatSiQu personnes, remonter
le cotfrapt ,en-remuant les pierres du fpndy y traînant des branejies^èi^^lêifaion à
déloger le petit poisson de son embuscade habituelle, et à'fcitifcê donner dans j ||
filet,
On pêche encore le Chabot à la fourchette. Tous les enfants ont fait ejette-pêche
dans les ruisseaux à eau vive et peu profonde. Elle consiste à-emman&berune vieille
fourchetterd© fer au bout Æilil petit bâton^’à affile^ .Ïïs- dents dp la^fourohette sur
une pierare, puis, ce trident improvisé à la main, à entrer-dan®. î ’^miusqu’auSvg^f
noux. Là, les jeunes pêcheurs se,mettent-enligne en remontantjdeucement -dé'
l’eau, et chacun, devant soi, retourne.les petites pierres, ptrÔhabôtia, jaii‘B comme
CHALUT. 16*7
une flèche, mais itigffitst. Eea®j.^ffiùs;pne pieflmvoMnnjil’enfant vojtape large tête,,.?.
deu& gspSi.jîeux d épais^a-ht^^ spfepr.^'mj^^uffiià^ ^ ^P fe ifejyB^li^àfeeAraverse la monstre,
(ÿiùjjyîent. [ftWj'aiàiittant.; ;^w§»,.@^lhpagni« à qu^îlq^Mdouïaâ.pê&d’antreSj d^&ïés à
une friture monstre, ou à garnir les lignes de ■f©ndjq|fed®/f )^I"e des pelits pêcheurs
veut tendre le soir !
j’&.kBhe seule,'ftspfeeif^nyPrapoe'. ■
CHAGRIN. —^SurnOTii,. ne la Oi-ujMiffidtiB&fcei 1 uniww^ftLiï^! d©( 1-Aube et de
1 (ïMivt. A. de -SMiféÉàiiifêa tG rem i mfe X ,m
CHAINETTE pour 1a ligne à Brochet. — ®f-**Én même
temps, Corde filée.)
chail lot. —^|% ^ p ânWd«d«a e mot.ËH
CHALUC. — X'oÿpi Nulgan-i-jà M« « / ¥ », Ikm&fyiyws« ^
chalüe. -SfïlioanjiiÉn Mu 1 et,n^feitolnH«danM«inlusieÆ p f e ^ efis de France!
(Voy. MULET CÉP1IALE.)
CHALUT. — Le < liai ni i u»i Me f r ()iù.qinsa^ ? è 'lji Jl'^ncl m.‘e ^ rU l^i îrijat
étranglana^S.1, às maillos-oeàfi. miMim. au r a H en ~É » ^hdê^ieupe de
la»¥cv.(u'Li-j!ihe-st i nhlû^9$B«j5jajj^«Ÿ,Miiyml)*iis4jitih,'.ld™,.>(yïitirmiA,iuiiTrîÿ M M ^ ^ ^
à^èhhcjine .ji^sesî^feBéndtés un E,dri®Mé poin^vid
peul'dôpdf^er Wi-kil^gb Ouant^feuputtie mttvin uui^jj^jwwti-rtmh
dèsfifl||ièeti 18Qjjbil'liHi. cb^f^iamète&'au plus,
wB d-uBd ■< ( lMüjftlhm3fW%ri@girfÆii|oi( 13 jn-’excéderaî pas#0 Iqjg^iMt |i
Fi#. 142, — À. Ealcau remorquant le B. Manoeu^re^ pjurî diriger le ûlet. — G. Amarres qui arrivent aux
manteaui^^^^^^.|itiïe: ^aiti8yi|I,|fôrmaHt rôu'verturè. -^ 3 ^ LieiiB->de fè,c |i|^éteiers. — 'If. Filet., —
K . Perche ou fm i§ $ k .. • r
L,jg^,é^ftfcmférie®eiiP du d’un renforfs^^^Bÿs
filets sur ühe'tohgueur dq 3^-^aètres, m^is^^te^feast 'entrerer.oiser
les m a ïlie ^ u ®-h‘aW|.p^|eJ|)r,éÉréciB4<v
H C i yftinrkl^MmTtsi-iP^d^l|MyætpBft,dui Chalut n’alteint pas la longueur de 11“ ,50,
l’armature de 1’©ng-in.f|Av%